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La Basse-Meuse en émoi: une Oie Sauvage a pris définitivement son envol

 

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Après avoir livré deux dernières prestations musicales de haut vol samedi, Philippe Steenebruggen est décédé la nuit suivante dans son sommeil. La mort à 51 ans de l’un des fondateurs du groupe « les Oies Sauvages » a ému toute la Basse-Meuse.

 Né à à Hermalle-sous-Argenteau, le Warsagien Philippe Steenebruggen a consacré une bonne partie de sa vie à sa passion : la musique. «  C’était l’un des membres fondateurs du groupe ‘les Oies Sauvages’. Il était déjà présent en 2001, soit au tout début de notre fabuleuse aventure  », explique Philippe Clerdent, l’un de ses meilleurs amis. «  Philippe était en grande forme. Je ne le sentais absolument pas fatigué. J’ai donc été surpris et très triste lorsqu’on m’a annoncé son décès dimanche matin  ».

Outre la musique, Philippe Steenebruggen était également connu dans le microcosme politique dalhemois. Il appartenait en effet au parti ‘Renouveau’. De surcroît, celui qui est né le 16 mars 1963 gérait un magasin d’optique dans la rue des Francs Arquebusiers à Visé, la ville où il avait effectué ses études : il avait été élève au Collège Saint-Hadelin. Il travaillait ces derniers temps en compagnie de son fils, Virgile.

Sur Facebook, les marques de sympathie et les témoignages de condoléances se sont multipliés tout au long de la journée.

À noter que son corps se trouve au Funérarium Hauben – Nihant à Visé. Quant aux funérailles, qui précéderont l’inhumation au cimetière de Lorette à Visé, elles auront lieu à la Collégiale Saint-Martin jeudi à 11h dans la Cité de l’Oie.

Yannick Goebbels 
 

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