En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Médecin de garde : du lundi au jeudi soir de 19h00 à 08h00 : un seul numéro : 04/379.09.00.
Pour leur sécurité, les médecins de garde de la Basse-Meuse sont en liaison avec les services de la Police.
Attention : un poste de garde médicale est ouvert les week-ends et jours fériés de 08 hr à 20 hr rue Basse-Hermalle n° 2, à côté de la clinique. N° unique pour le médecin de garde : 04/374.09.34.
- Dentistes de garde : former le 100 pour connaître la liste.
PHARMACIES DE GARDE
Pour toutes gardes entre 9h et 22h : www.pharmacie.be ou www.appl.be
Pour toutes gardes entre 22h et 9h :
Appeler le 0903/99.000
- le samedi 02 avril 2022 : Pharmacie DEFAUWES-MEERTENS, rue J. Muller, 23 à Warsage
Tél : 04/376.61.51
- le dimanche 03 avril 2022 : Pharmacie BOVY-NEYBUCH, rue Haute Saive, 7 à Saive
John Halleux effectue son grand retour à Visé. Après avoir été responsable du service des Finances de la Ville de 2003 à 2006, le voici directeur financier à partir du lundi 2 mai prochain.
Lors du dernier conseil communal de Visé, le nouveau directeur financier, John Halleux a prêté serment en séance publique. Il a été désigné à l’unanimité ! Il succède à Isabelle Allaer, 59 ans, qui a pris sa retraite anticipée et qui était entrée en fonction en 2003 comme directrice financière après avoir été cheffe de bureau au service des Finances de la Ville de Visé. « John Halleux a terminé premier devant un jury extérieur et nous avons déjà travaillé ensemble », se félicite la bourgmestre de Visé, Viviane Dessart.
Visétois pure souche
John Halleux, âgé de 48 ans, est un Visétois de pure souche. « J’ai toujours habité Visé et ma famille aussi. J’ai obtenu un graduat en comptabilité à Sainte-Marie à Liège et de 2003 à 2006, j’ai été responsable du service des Finances de la Ville de Visé. Pendant ce temps-là, de 2003 à 2006, j’ai suivi les cours du soir des HEC ULiège et j’ai obtenu une licence en gestion en sciences commerciales. En novembre 2010, j’ai remplacé le receveur de la commune de Blegny, Léon Schellings, ancien arbitre de football international (lire ci-contre) », précise John Halleux.
« Je connais donc bien Visé. J’ai déjà travaillé avec Charles Havard, le directeur général de la Ville de Visé avec qui je m’entends bien et j’ai déjà travaillé avec plusieurs membres actuels du collège communal de Visé. Je ne fais pas de politique, comme tous mes collègues », ajoute John Halleux. Il débutera ses nouvelles fonctions le lundi 2 mai prochain.
Par ailleurs, la Ville de Visé a lancé un autre appel à candidatures pour la gestion du port de plaisance de Devant-le-Pont. Le gestionnaire, qui était en place depuis 2005, Jean-Marie Raes, prend sa retraite à l’âge de 70 ans.
C’est là que pourrait s’installer cette usine de pellets. - Google
Par Aurélie Drion
Une demande de permis unique pour construire et exploiter une usine alliant une unité de cogénération à bois usé non-dangereux ainsi qu’une unité de production de pellets industriels vient d’atterrir sur la table du collège d’Oupeye.
Pellets Ardents, une société en construction, souhaite implanter une usine en bord de Canal Albert, à Hermalle-sous-Argenteau. Cette usine serait construite rue Al’Fosse, sur un terrain qui avait fait parler de lui voici quelque temps.
Occupé par le transporteur Jost, ce dernier y avait entreposé des dizaines des remorques de camions, sans aucune autorisation. Plainte avait été déposée et l’entreprise avait été contrainte d’évacuer ces remorques.
À l’époque, les autorités locales s’étaient émues de voir qu’un terrain industriel si bien situé ne servait qu’à stocker des remorques de camions. Il pourrait donc prochainement servir à autre chose, en l’occurrence produire des pellets industriels et de l’énergie.
Serge Fillot. - L.H.
C’est en tout cas la volonté de Pellets Ardents, qui va présenter la semaine prochaine à la population son avant-projet d’usine. Derrière cette nouvelle société et ce projet se cache IBV, Industrie du Bois Vielsalm & cie, une des plus grosses scieries du pays.
« IBV est la propriétaire du terrain et elle nous a approchés voici quelques mois avec son projet, explique Serge Fillot, bourgmestre d’Oupeye. Je n’ai pas tous les détails. Comme la population, je dois attendre la réunion d’information de ce mercredi. J’ai cependant été rassuré sur certains points. Les bois qui arriveront là seront des bois de catégorie B. C’est-à-dire qu’ils sont non-traités et donc non-dangereux. Au niveau de l’activité, nous avons reçu des garanties que tout se passerait en intérieur, ce qui limiterait les nuisances sonores. On demande également que la voie d’eau soit privilégiée pour limiter le nombre de camions. Enfin, on a souhaité qu’on porte une attention particulière à l’intégration de l’usine dans le paysage. »
Réunion d’information
Son usine de cogénération en bois non-dangereux servirait à produire de l’électricité en brûlant les sous-produits du bois comme les écorces ou les découpes. Cette électricité serait utilisée en interne et le surplus renvoyé vers le réseau. Quant à la production de pellets, elle serait alimentée par les sciures et plaquettes provenant de la scierie de Vielsalm.
Ce projet n’en est qu’à ses prémices. Ce 1er décembre à 19h, une réunion d’information doit ainsi se tenir au Château d’Oupeye. Elle aura pour objectif de présenter le projet et de lancer l’étude d’incidences. Ce n’est qu’une fois cette étude terminée que le projet définitif, et modifié suivant les éventuelles remarques, pourra faire l’objet d’une demande de permis unique.
En raison des mesures sanitaires et des contingences dans le cadre du COVID-19, l’inscription préalable est souhaitée, par courriel à l’adresse contact@com-une.be. Notons que la commune n’aura qu’un avis à rendre sur ce dossier. C’est en effet la Région wallonne qui délivrera le permis. (Source : La Meuse)
Plusieurs fêtards sur la piste de danse. - Goebbels
Par Yannick Goebbels
Reportage au cœur de la nouvelle boîte de nuit bassi-mosane qui a ouvert ses portes vendredi dernier dans la Cité de l’Oie.
Ces quinze dernières années, les discothèques ont mis la clé sous le paillasson les unes après les autres en Basse-Meuse. À Visé, au numéro 20 de l’Avenue Maréchal Foch, à quelques pas la gare ferroviaire, ce n’est pas un club mais deux qui ont fermé leurs portes après quelques mois ou ans de fiestas. Ainsi, si « le Titanic » s’est échoué, « le Manhattan » s’est écroulé malgré des débuts prometteurs. À l’instar du « Cap Vert » de l’autre côté du pont, aucun club n’a tenu. Ce ne sont pas toujours les directives des autorités locales qui ont mis fin à la fête, certains clubs ne parvenant simplement pas à attirer un public d’habitués dans une ville qui regorge pourtant de lieux de fête et où il ne manque que ce genre d’établissement pour prolonger cette dernière.
C’est donc un petit événement qui a eu lieu vendredi soir. À 22h, le Tac-Tac ouvrait ses portes au public. Cette boîte de nuit se trouve, comme ses deux prédécesseurs, au numéro 20 de l’Avenue Maréchal Foch. L’entrée y étant gratuite, de nombreux curieux s’y sont rendus. Pour avoir effectué le déplacement, on affirmera que l’endroit est agréable. Quant au décor, il se veut harmonieux avec de nombreux miroirs sur les côtés. Les jeux de lumière donnent une saveur toute particulière à la soirée. Quant à DJ Sun, son répertoire est varié. On y trouve également une salle plus « lounge » où il est possible de s’asseoir afin d’acheter une bouteille et de la partager entre amis.
La salle «lounge». - Goebbels
Par contre, deux éléments sautent aux yeux au moment de comparer le Tac-Tac aux anciens clubs locaux. Tout d’abord, les prix des boissons sont élevés. Logique me direz-vous dans un club. Le hic, c’est que l’entrée étant gratuite, de nombreux fêtards font de ce lieu un endroit de passage avant de repartir dans les bars à proximité afin de dépenser moins. De quoi faire retomber l’ambiance. Ensuite, le voisinage s’était habitué au calme. Le fait de garder la porte ouverte de la discothèque toute la nuit pourrait ainsi amener son lot de critiques. Attention donc de ne pas répéter les erreurs du passé…
Dramatique accident ce jeudi soir au passage à niveau de Cheratte-Bas rue Césaro. Un jeune garçon de 10 ans a traversé les voies avec sa trottinette alors qu’arrivait une locomotive qui l’a percuté. Il a été hospitalisé dans un état critique.
Ce jeudi soir vers 18h15, le petit Alessio, 10 ans, circulait sur sa trottinette et a décidé de traverser le passage à niveau situé rue Césaro à Cheratte-Bas alors que les barrières étaient abaissées et que les feux étaient rouges ! Lire l'article en entier dans notre édition de demain