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Police

  • Trois cambrioleurs arrêtés à Visé: ils avaient visité deux maisons et une voiture

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    Vendredi matin, la police de la Basse-Meuse a mis la main sur trois personnes soupçonnées de plusieurs vols commis à Visé la nuit précédente. L’alerte avait été donnée un peu plus tôt par un habitant des hauteurs de la Cité de l’Oie. Réveillé par les aboiements de son chien, il avait vu sa porte d’entrée claquer brutalement lorsqu’il s’était levé pour voir de quoi il retournait.

    Comprenant qu’il venait de mettre des voleurs en fuite, il avait immédiatement formé le 101 pour signaler les faits. Plusieurs équipes de la police de la Basse-Meuse se sont alors mises en chasse. Et l’une d’entre elles a eu la main heureuse en gare de Visé, où trois individus à l’allure suspecte ont été repérés. Leur contrôle a confirmé les soupçons des limiers bassimosans : le butin du dernier cambriolage a en effet été retrouvé en leur possession.

    Ce samedi, ils ont été déférés au parquet de Liège, où le magistrat de garde a requis un mandat d’arrêt à leur encontre. Ces trois personnes, en séjour illégal, sont en effet soupçonnées au total de trois faits, commis dans les rues de Berneau, de Maastricht et de la Wade : un vol dans une habitation, une tentative de vol dans une autre maison ainsi qu’un vol dans une voiture. Ces trois faits auraient tous été commis dans la nuit de jeudi à vendredi.

    Apparemment originaires de Maastricht, les trois voleurs ont donc été cueillis alors qu’ils se préparaient à rentrer aux Pays-Bas avec leur butin.

    Par Geoffrey Wolff

    Journaliste à La Meuse

  • Basse-Meuse : Christian Dejace en tête pour devenir le chef de corps de la zone de police  

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    Ce mercredi matin, Christian Dejace et Jean-Luc Lentz ont exposé leur vision pour la zone de police de la Basse-Meuse devant un parterre de choix. Ce dernier a dû trancher : Christian Dejace est en première place pour prendre la tête de la zone.  
    Le 1 er août, Alain Lambert quittera la police de la Basse-Meuse pour prendre une retraite bien méritée. Le Collège de police avait fait montre d’une belle anticipation pour lui trouver un remplaçant, puisque le poste a été ouvert en novembre 2022. Les commissaires-divisionnaires intéressés avaient alors jusqu’au mois de décembre pour postuler.
    Deux candidats avaient déclaré un intérêt pour la fonction :
    Le premier était Jean-Luc Lentz. Il travaille au sein de la zone de police de la Basse-Meuse depuis près de cinq ans et occupe la fonction de chef de zone adjoint, après avoir été directeur de la proximité. Et si sa candidature n’était pas une surprise, c’est notamment parce qu’il a récemment obtenu son brevet de direction. Il a donc le grade de commissaire-divisionnaire, sésame indispensable pour postuler. De plus, l’homme n’avait jamais caché son envie de prendre la succession d’Alain Lambert.
    Le second faisait plutôt figure de surprise. Il s’agit de Christian Dejace, chef de la zone de police Beyne/Fléron/Soumagne depuis 2008. En octobre dernier, son nom circulait déjà. « Une rumeur reste une rumeur », avait-il déclaré dans nos colonnes. « J’en suis à mon troisième mandat, ici, à Beyne/Fléron Soumagne et je vais devoir demander un renouvellement début de l’année prochaine, car je n’ai pas l’envie de partir. Néanmoins, il ne faut jamais fermer de porte. »
    Ce mercredi
    La commission de sélection s’est réunie ce mercredi matin. Les deux candidats ont été soumis au feu nourri des questions du Procureur du Roi de Liège, du président de la zone de police, d’un intervenant externe et d’un autre chef de corps. À l’issue de cette commission, un classement a été proposé. À bonne source, nous avons appris que c’est Christian Dejace qui arrive en tête de celui-ci. Jean-Luc Lentz est donc second.
    « Vu le contexte serein mais complexe dans le cadre du renouvellement d’un chef de corps, je m’abstiendrai de tout commentaire jusqu’à la désignation officielle qui doit intervenir le 21 juin », déclare Serge Fillot, bourgmestre d’Oupeye.
    Le 21 juin prochain, en effet, le Conseil de police devra se prononcer sur ce classement, sur base du rapport de la Commission locale de sélection, de l’avis du Procureur général, du gouverneur et du Collège de police. Généralement, le classement est suivi, mais on n’est jamais à l’abri d’une surprise. Le candidat retenu devra encore faire l’objet d’un arrêté, soumis à la signature du ministre de l’Intérieur. Une fois que cet arrêté sera publié au Moniteur, le chef de corps pourra entrer en fonction.
    La zone de police de la Basse-Meuse a plutôt une bonne réputation. Elle dispose d’infrastructures plutôt récentes et offre de nombreux défis. À charge du futur chef de corps de les relever.
    Allison Mazzoccato pour La Meuse
  • Une voleuse interpellée à Visé après plusieurs vols, dont un dans un café

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    Photo d'illustration - D.R.

    Une dame a été privée de liberté pour divers faits de vol, à Visé. Elle venait de piquer plusieurs objets dans un café lorsque la police est intervenue.

    Une dame a été privée de liberté à Visé après avoir commis un vol dans un café. En effet, plusieurs objets dont des boudins ou encore des clés de voiture ont été volés dans un établissement horeca. Lorsque la police est intervenue sur place, les objets ont été découverts sur cette femme de 50 ans.

    Une visite domiciliaire a ensuite été réalisée chez la quinquagénaire. Là, plusieurs objets ont été découverts, ce qui a permis aux enquêteurs à faire le lien avec d’autres cambriolages. Elle avait même volé des oliviers qui se trouvaient devant une habitation.

    Les différents faits qui lui sont reprochés ont été perpétrés le 7 et le 13 janvier.

    La suspecte a été privée de liberté et déférée dimanche au parquet de Liège. Son dossier a été placé à l’instruction et une demande de mandat d’arrêt a été formulée à son encontre étant donné qu’elle est connue de la justice pour des faits similaires et qu’elle a d’ailleurs été condamnée pour cela en juin 2021.

    (Laura Salamon pour La Meuse)

  • Un homme arrêté pour tentative de vol dans une habitation à Visé

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    Photo d'illustration

    Jeudi, sur le coup de 11 heures, un homme a été privé de liberté pour une tentative de vol perpétrée dans une habitation de la rue de Visé, à Visé. Seul un des deux protagonistes a été interpellé.

    Jeudi, un témoin a contacté les forces de l’ordre après avoir repéré un manège suspect à proximité d’une habitation située rue de Visé, à Visé. Un homme sonnait en permanence à la porte d’entrée d’une maison alors qu’un autre faisait le tour de la maison. Les deux individus ont ensuite tenté de forcer la porte d’entrée sans succès, ils ont donc tenté d’entrer par le jardin, mais une fois de plus, n’y sont pas arrivés.

    Rapidement, la police est intervenue sur place, mais seul l’un des deux protagonistes a pu être intercepté.

    L’homme en séjour illégal a été privé de liberté et déféré vendredi au parquet de Liège.

    (Laura Salamon pour "La Meuse)

  • Deux candidats sont en lice pour devenir le nouveau chef de zone de police de la Basse-Meuse

    Dans sept mois, l’actuel chef de la zone de police de la Basse-Meuse partira à la pension. La procédure pour son remplacement est en cours. Et surprise, il n’y a que deux candidats. Le choix devrait se faire en mars ou avril prochain.

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    Le 1er août prochain marquera la fin de l’ère « Alain Lambert ». Après dix années passées à la tête de la zone de police de la Basse-Meuse, l’homme partira à la pension.

    Début novembre, la procédure pour lui trouver un remplaçant était lancée avec un appel à candidature. Les commissaires divisionnaires intéressés – c’est le grade requis pour pouvoir postuler – avaient jusqu’au début décembre pour rentrer leur candidature.

    Cet appel terminé, on connaît donc aujourd’hui les candidats. Et ils ne sont que deux. Une nouvelle quelque peu surprenante. La zone de police a en effet très bonne réputation, elle dispose d’infrastructures qui lui sont enviées et de finances très saines. De plus, c’est une zone de défis, voisine de deux pays avec la criminalité trans-frontalière qui peut en découler.

    Elle s’étend également entre ville et campagne (Bassenge, Blegny, Dalhem, Juprelle, Oupeye et Visé), avec les problématiques spécifiques qui vont avec. Le président de la zone de police, Serge Fillot, s’attendait donc à avoir quatre, cinq voire six candidatures. Il n’en est donc rien puisqu’ils ne sont finalement que deux.

    Lentz Vs Dejace

     

    Et le premier d’entre-eux n’est absolument pas une surprise puisqu’il s’agit de Jean-Luc Lentz. Il travaille au sein de la zone de police de la Basse-Meuse depuis près de cinq ans. Il occupe la fonction de chef de zone adjoint après avoir été directeur de la proximité. Et si sa candidature n’est pas une surprise, c’est notamment parce qu’il vient tout récemment d’obtenir son brevet de direction, et donc de devenir commissaire divisionnaire. L’homme ne s’était jamais non plus caché qu’il était candidat au poste d’Alain Lambert.

     

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                                                                     Christian Dejace (SP)

    Le second et dernier candidat est une demi-surprise. Il s’agit de Christian Dejace, chef de la zone de police Beyne/Fléron/Soumagne depuis 2008. Demi-surprise parce que, en octobre dernier, son nom circulait déjà comme candidat potentiel. Lorsque nous l’avions interrogé, il laissait néanmoins planer un certain doute sur ses intentions : « Une rumeur reste une rumeur. J’en suis à mon 3e mandat ici à Beyne/Fléron Soumagne et je vais devoir demander un renouvellement début de l’année prochaine car je n’ai pas l’envie de partir. Néanmoins, il ne faut jamais fermer de porte. »

    La suite ?

    Les deux candidats connus, la procédure de sélection va encore connaître quelques étapes. « La commission se réunira une première fois en janvier, précise Serge Fillot, également bourgmestre d’Oupeye. Nous analyserons les candidatures et notamment les titres et mérites. Nous déciderons ensuite des étapes suivantes. »

    Le président de la zone n’a pas souhaité faire d’autres commentaires, préférant rester prudent. On se souvient en effet que depuis la fusion des polices, la zone de police de la Basse-Meuse a connu plusieurs couacs de procédures pour désigner ses deux chefs de zone précédents. Des procédures qui ont entraîné de nombreux recours au Conseil d’État. Pour y mettre fin, un accord financier était trouvé avec le candidat malheureux. Il avait touché 250.000 € pour arrêter tout recours. Un scénario que la zone ne veut pas réitérer.

    (Aurélie Drion pour La Meuse)