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Circulation

  • Attention, les trois premiers radars fixes de la Basse-Meuse flashent !

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    Depuis ce début de semaine, les trois premiers radars fixes de la zone de police de la Basse-Meuse sont opérationnels. Ils seront rejoints par trois autres dans quelques mois.

    Installés depuis un an, les trois premiers radars fixes installés au sein de la zone de police de la Basse-Meuse sont enfin opérationnels et flashent depuis ce début de semaine. Ces radars sont installés rue de Berneau à Visé, rue du Roi Albert à Oupeye et avenue Hoffman à Bassenge.

    En novembre dernier, on nous annonçait que ces radars devaient entrer en action dans le courant de ce même mois. Les policiers affectés au service roulage de Mosa devaient être tous formés à ce radar afin de pouvoir rédiger les procès-verbaux. Finalement, ce n’est que cinq mois plus tard que ces trois radars flashent.

    « Il a fallu que les radars soient homologués et que nous recevions les autorisations de la tutelle afin que les PV soient conformes »
    Christian Dejace

    « Il a fallu qu’ils soient homologués et que nous recevions les autorisations de la tutelle afin que les PV soient conformes », explique Christian Dejace, chef de la zone de police de la Basse-Meuse. « Ça a donc malheureusement pris plus de temps que prévu. »

    Ce délai a néanmoins permis aux nombreux automobilistes qui passent sur ces trois axes de prendre le pli, de lever le pied et de respecter les 50 km/h en vigueur sur ces axes. Un respect des limitations des vitesses qui, s’ils doivent l’avoir partout, sera d’autant plus nécessaire dans les mois à venir puisque le dispositif va être renforcé prochainement.

    La zone de police va en effet doubler le nombre de radars fixes au cours de cette année. Les axes retenus sont la route de Housse à Blegny, la rue Provinciale à Juprelle et la rue Joseph Muller à Dalhem.

    Chacune des six communes qui composent la zone de police de la Basse-Meuse aura ainsi un radar fixe sur leur territoire. (Aurélie Drion)

  • Une piste cyclable entre Cheratte et Argenteau

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    Dans le cadre du projet « Wallonie cyclable », la Région a apporté un subside important à la Ville de Visé pour la réalisation d’une piste cyclo-piétonne entre Cheratte et Argenteau le long de la E25.  
    La Ville de Visé a attribué le marché public pour l’aménagement d’une piste cyclo-piétonne le long de la rue Pré d’Awans à Argenteau et de la rue Sartay à Cheratte, entre les accès 3 et 4 de l’autoroute E25. Cette piste cyclo-piétonne sera située le long de la voirie, du côté de l’autoroute.
    L’entreprise visétoise qui a remporté le marché entamera les travaux le 11 mars prochain. La durée du chantier est estimée à 110 jours ouvrables, c’est-à-dire environ six mois.
    « C’est un trajet d’1 km 600 en site propre sauf une petite partie d’environ 440 m qui sera en couleur ocre. Cette piste cyclo-piétonne délmarrera du pont de Hermalle jusqu’à Cheratte, un peu avant le passage à niveau. Tous les travaux préparatoires ont été réalisés. À l’issue des travaux en automne prochain, il y aura donc la possibilité de se promener à pied ou à vélo de Maastricht jusqu’à Cheratte en site propre sécuriés. Pour notre territoire, de Lanaye à Cheratte et ainsi pouvoir rejoindre Visé, centre administratif, commercial, culturel, sportif et scolaire. Nous avons un subside important de la Région wallonne dans le cadre du projet « Wallonie cyclable » de 500.000€ sur un montant total des travaux de 625.000€», détaille Xavier Malmendier, échevin de l’Aménagement du Territoire.
     
    Circulation déviée
    Durant le chantier, la circulation de transit sera déviée par l’autoroute, mais la circulation locale sera maintenue. Le stationnement, ainsi que toute occupation du terre-plein, seront interdits de ce côté de la voirie. Un courrier est distribué toutes boîtes aux riverains concernés fin de cette semaine.
    « Sur l’ensemble de la législature, cinq kilomètres de pistes cyclables en site propre auront été réalisés », se félicite l’échevin.
    (Marc Gérardy pour La Meuse)

  • Le pont de Hermalle va être rehaussé de 1,75 m pour développer le trafic de marchandises sur le canal Albert

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    Nous vous en parlions voici un an : quatre ponts qui enjambent le canal Albert vont devoir être rehaussés. Si une étude a déterminé que celui de Lanaye avait finalement la hauteur nécessaire, l’enquête publique pour le relèvement du pont de Hermalle vient de démarrer.

    Le canal Albert est la voie navigable la plus importante de Belgique. Chaque jour, ce sont des centaines de bateaux qui l’empruntent pour transport des marchandises. Un mode de transport que les autorités veulent développer encore plus dans les années à venir puisqu’il permet à la fois de décongestionner le trafic routier et réduire les émissions de CO2.

    Mais il existe un frein important au développement du trafic de marchandises via le canal Albert : les ponts. Et plus particulièrement ceux de Lixhe, Haccourt et Hermalle. Ceux-ci n’ont pas la hauteur nécessaire pour permettre à des péniches de passer, tout en étant chargées de quatre couches de conteneurs. Raison pour laquelle, dans le cadre du plan de relance wallon, il a été décidé de procéder à la rehausse de ces ponts.

     

     

    « Initialement, un quatrième pont aurait également dû être rehaussé, celui de Lanaye », nous explique Sarah Pierre, porte-parole du SPW Infrastructures. « Après études, il apparaît qu’on a déjà le tirant d’air nécessaire. On ne va donc pas toucher à son gabarit, par contre des aménagements seront réalisés pour y intégrer les modes doux. »

     

     

    « Initialement, un quatrième pont aurait également dû être rehaussé, celui de Lanaye. Mais après études, il apparaît qu’on a déjà le tirant d’air nécessaire »
    Sarah Pierre, SPW

    Pour les trois autres, les dossiers avancent. La rehausse du pont de Hermalle est d’ailleurs soumise à enquête publique depuis ce 21 novembre, elle doit s’achever le 22 décembre. Le dossier peut être consulté au service de l’Urbanisme d’Oupeye.

    Cette rehausse sera de 1,75 m et nécessitera de redessiner quelque peu la rue d’Argenteau ainsi que les voies qui permettent d’accéder au Trilogiport d’un côté, à la rue Voie de Liège de l’autre côté. « Nous en profiterons également pour réaliser des aménagements qui permettront d’intégrer les modes doux au pont. »

    Le dossier Haccourt est plus complexe

    Quant aux deux autres ponts qui doivent être rehaussés, on sait déjà que la demande de permis pour le pont de Lixhe devrait être déposée en janvier prochain. « À l’inverse de Hermalle, les voiries qui mènent au pont de Lixhe sont régionales, ce qui fait qu’il n’y aura pas nécessité d’organiser une enquête publique. » La rehausse sera ici de 1,6 m.

    Quant au pont de Haccourt, les choses sont plus complexes. Il doit être relevé de 1,9 m. Le hic, c’est que les rampes d’accès, surtout côté Devant-le-Pont, sont déjà trop raides. Il va donc falloir les redessiner et les allonger pour adoucir leur pente. Et c’est là toute la difficulté au vu de la situation et d’un manque d’espace à cet endroit. Un bureau d’études est toujours en train d’analyser les possibilités.

     

     

    À bonne source, on nous expliquait l’an dernier que trois pistes étaient retenues. Soit déplacer le pont de 20 à 30m, soit exproprier les deux concessionnaires qui se trouvent le long de la rampe d’accès côté Devant-le-Pont, soit faire un mix de ces deux pistes. La réponse devrait être connue fin 2024. Quant au planning des travaux, il sera affiné dans le courant du premier semestre 2024.

    (Aurélie Drion pour La Meuse)

  • Visé : les deux remparts fermés ces jeudi et vendredi

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    Le Rempart des Arquebusiers et celui des Arbalétriers vont être fermés à la circulation ces jeudi et vendredi. Des travaux qui avaient déjà été reportés. 
    Le SPW poursuit en effet la rénovation de la chaussée. Durant ces deux jours, il sera non seulement interdit de circuler mais également de se garer dans les remparts. Une déviation sera mise en place via la rue de la Fontaine et l’avenue Albert 1er. Toutes les voiries perpendiculaires aux remparts seront mises en cul-de-sac. Initialement prévus à la fin mois d’août et au début du mois de septembre derniers, ces travaux de rénovation avaient été reportés à cet autonome pour permettre une meilleure fluidité du trafic dans le centre de Visé, déjà fortement perturbé par la rénovation de la place Reine Astrid. Notons qu’en plus, ce chantier se déroule pendant les vacances scolaires ce qui, là aussi, réduit les problèmes de mobilité, si du moins la météo le permet.
    (Aurélie Drion pour La Meuse)

     

     

  • Début du pavage de la place Reine Astrid à Visé

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    Photo DR

    Les travaux de pavage en face de la place Reine Astrid à Visé ont débuté ce lundi et devraient durer un mois. Avant de terminer les voiries par la suite. 

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    Ce lundi a débuté le pavage de la place Reine Astrid à Visé, de l’autre côté de l’avenue du Pont.

     

    « Les ouvriers ont commencé à paver du côté de la banque Belfius et du restaurant chez Adam (ex-Stulens-Nopri pour les anciens) afin de recréer la nouvelle placette triangulaire. Ces travaux devraient durer un mois», précise Xavier Malmendier, échevin de l’Urbanisme et des Grands Travaux.

    6141617.jpeg« Et lundi prochain débuteront les travaux pour couler le grave bitume sur la bande de circulation de l’avenue du Pont qui est interdite actuellement ainsi que sur la partie vers les Remparts devant la Poste, la pharmacie et le Carrefour Market. Il s’agira ensuite de couler les bétons de voiries les 27-28-29 octobre sur une bande de l’avenue du Pont et sur la parcelle vers les Remparts. Dès lors, l’avenue du Pont sera à nouveau accessible dans les deux sens de circulation, normalement le 21 novembre prochain tout comme la partie vers les Remparts qui est actuellement en cul-de-sac », détaille encore Xavier Malmendier.

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    « Les derniers travaux en partie souterraine pour l’installation du gaz sont réalisés entre le Carrefour Market et le centre culturel de Visé ». La fin du chantier total est toujours prévue pour le mois d’avril 2024.

    (Marc Gérardy pour La Meuse)