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Cambriolages - Vols

  • Electricité : réaction des ONGs environnementales au nouveau rapport adequacy and flexibility d’Elia

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    Les ONGs environnementales Greenpeace, Inter Environnement Wallonie et Bond Beter Leefmilieu réagissent au nouveau rapport d'Elia (adequacy and flexibility) publié aujourd’hui. Elles estiment notamment, à la lecture du rapport, qu'un mécanisme de soutien à la sortie du nucléaire (CRM) n'est pas nécessaire !

    Elément marquant de ce nouveau rapport ? Les estimations des nouvelles capacités électriques nécessaires pour accompagner la sortie du nucléaire en 2025 sont encore revues à la baisse. Elles étaient estimées à 4,1 GW en 2019, et elles passent à 2,2 GW dans cette nouvelle version, dont 1,7 de nouvelles capacités. Cette révision à la baisse découle principalement d’une meilleure prise en compte de l’évolution du climat (augmentation des températures hivernales attendues).

     
    Pour les ONGs, cette baisse questionne davantage encore la mise en place d’un CRM prévue par le Gouvernement. “Il existe sans aucun doute d’autre moyens, moins impactants, pour combler ce gap”.

     
    Le rapport souligne ainsi l’énorme potentiel de flexibilité et de stockage qu’offrent les véhicules électriques et les pompes à chaleur. “Selon les estimations d’Elia, une utilisation optimale des batteries des véhicules électriques ou des pompes à chaleur pourrait éviter la construction de 1,5 GW de nouvelle capacité soit plus ou moins 2 centrales gaz” souligne Jan Vande Putte…

     
    D’autres variables-clé impactantes dans le choix de mettre ou non en place un CRM sont également insuffisamment prises en compte. Elia reste notamment coincé dans une vision pessimiste en termes d’évolution de la demande électrique. Dans les faits, leurs projections de demande croissante réalisées jusqu'à présent ont été systématiquement démenties. En outre, ils sous-estiment toujours le potentiel d’efficacité et de sobriété énergétique, ou minimisent l’influence de la crise COVID sur le long terme. “ Il est temps que notre Gestionnaire de réseau challenge sa vision en terme d’évolution de la demande, comme l’ont fait d’autres GRT, comme RTE en France qui prévoit maintenant une stabilisation de cette demande à l’horizon 2030”.

     
    Enfin, certains investissements déjà réalisés comme des travaux d’upfitting en cours dans la centrale de turbinage/pompage à Coo ne sont pas pris en compte, malgré leur impact positif sur la sécurité d'approvisionnement.

     
    Arnaud Collignon conclut: “au total, si on intègre une vision plus réaliste en terme d’évolution de la demande électrique et de la gestion de cette demande, ou en terme de croissance des renouvelables, on arrive aux alentours du seuil de sécurité d’approvisionnement requis par la loi, soit une LOLE de 3H00. Comment dès lors les autorités peuvent-elles justifier la mise eau enchère CRM T-4 prévue pour la fin de l’année ?

     
    Le rapport d’Elia propose également un scénario appelé SAFEEU qui tient compte d’une moindre disponibilité des réacteurs nucléaires français. Dans ce scénario, le besoin de CRM réapparait. Pour les ONGs environnementales “il serait inacceptable que le contribuable belge paie pour le manque de fiabilité du parc nucléaire français.

     
    Contacts :
    • Arnaud Collignon, expert Energie chez IEW, 0477/70 04 56
    • Jan Vande Putte, Greenpeace : 0496/16 15 84
     
     

  • Zone de police Basse-Meuse : Information de prévention

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    INFORMATION DE PREVENTION.

    Mesdames, Messieurs, Chers concitoyens bassi-mosans,

    La période actuelle faite de contrariétés liées à la gestion de la pandémie COVID mais également liée à cette vague de chaleur que nous subissons, a peut-être tendance à amoindrir notre rigueur.

    Je vous demande d'être particulièrement vigilants car nous venons de constater plusieurs vols dans des habitations non verrouillées, mais également des vols de ou dans des véhicules fermés, mais non verrouillés.

    Ressaisissons nous et faisons attention à ces petites choses qui peuvent avoir des conséquences très dommageables.

    Soyez attentifs
    Portez-vous bien

    CDP A. LAMBERT
    Chef de corps
    ZP Basse-Meuse

  • Haccourt : un homme a rapporté les 200 clefs de contact volées au garage Denis

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    Il y a deux semaines, un vol était commis au domicile d’un des gérants du garage Denis, à Haccourt. Durant la nuit, 200 clés, correspondant aux véhicules mis en vente par le garage, étaient dérobées. Les gérants promettaient une récompense de 3.000 € à qui les rapportera. Samedi dernier, un homme s’est présenté au commerce avec les précieux sésames...

    Lire l'article complet dans nos éditions du jour

  • La criminalité en hausse dans la Basse Meuse. La zone de police a communiqué ses statistiques

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    Photo d'illustration
     
    Les chiffres de la criminalité pour l'année 2018 de la zone de police de la Basse-Meuse sont connus. Après quelques années stables, ils sont en hausse pour pratiquement tous les faits.  
    Si on ne connaîtra les statistiques 2019 que vers le milieu du printemps, les chiffres de la criminalité en 2018 sont eux établis. Ces statistiques englobent tous les faits commis sur le territoire de la zone de police de la Basse-Meuse. Et si on ne devait retenir qu'une chose, c'est que la criminalité a augmenté en 2018. « Étonnamment, alors que nous avions connu une période très stable entre 2013 et 2017, les chiffres de 2018 sont à la hausse pour la plupart des infractions", commente Alain Lambert, chef de la zone de police. « Dans la plupart des cas, nous ne nous expliquons pas ces augmentations. » Pour d'autres, les raisons sont identifiables.
     
    Les vols de métaux
    ont considérablement augmenté entre 2017 et 2018 passant de 14 à 47. Mais la cause principale, c'est Chertal où plusieurs vols avaient été constatés. Avec l'aide de la police fédérale, une filière roumaine a été démantelée.
     
    Les vols habitation
    sont passés de 671 en 2017 à 845. En moyenne, il y a donc eu 2,3 cambriolages par jour sur la zone de police. « On a vraiment eu un pic en 2018 alors qu'on ne cessait pas de baisser depuis 2015. »
     
    Les vols de vélos ou de motocyclettes
    est lui aussi en forte hausse de 41% passant de 43 à 61 faits en 2018.
     
    Les coups et blessures
    augmentent eux de près de 10% passant de 1.496 constats à 1.654. Parmi eux, près d'un tiers concerne des violences intra-familiales qui passent de 475 à 529, soit près d'une plainte et demi par jour. « Je pense que si ce chiffre augmente, c'est parce qu'on ose de plus en plus dénoncer ces faits. »
     
    La criminalité informatique
    n'a connu qu'une baisse marginale passant de 314 à 311 faits. Parmi eux, 150 (149 en 2017) PV ont été rédigés pour des faits d'escroquerie.
     
    L'immigration illégale
    est elle finalement très stable avec 46 faits en 2017 contre 48 en 2018. « On parle ici de gens en séjour illégal qui sont interpellés et verbalisés. On contacte ensuite l'Office des étrangers qui délivre un ordre de quitter le territoire. Pour Barchon, il y a une autre gestion. Le problème est beaucoup plus complexe. En collaboration avec les communes de Blegny et Soumagne et la zone de police voisine, on essaye de lutter mais c'est assez compliqué et frustrant. Quand on est appelé pour un problème avec des migrants, ils ont généralement fui à notre arrivée. C'est un problème très complexe qui, à mes yeux, dépend avant tout de l'Union européenne. Parce qu'à notre niveau, nous ne sommes pas en mesure de prendre des mesures concrètes. Néanmoins, nous tentons au mieux d’atténuer le sentiment d’insécurité liée aux migrants de Barchon. ».
    Et si 2018 a connu une hausse des faits, Alain Lambert tient à les relativiser. « Au regard du nombre d'habitants, 83.000, la zone de police de la Basse-Meuse reste gérable, où il fait bon vivre. D'autant que la tendance 2019 est à la baisse dans toutes les catégories de faits. »
    Nous y reviendrons dans quelques mois.
    (Info Sudpresse)