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  • 1.000 foyers touchés par la panne d’électricité samedi dernier à Visé: des réparations sont toujours en cours

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    Grosse panne d’électricité à Visé samedi soir qui a touché près de 1000 foyers suite aux défauts de deux câbles électriques enterrés. Un câble a été réparé et l’autre est toujours en cours de réparation.

    Samedi dernier, la Ville de Visé et la commune de Dalhem ont subi une importante panne d’électricité en début de soirée vers 18h30. La veille, le SPW avait déjà obtenu une intervention de RESA pour que le rond-point devant la Collégiale à l’entrée de la Cité de l’Oie soit illuminé lors de la Corrida de Visé, un jogging couru en soirée avec 2500 participants !

    «Nous avons connu samedi dernier deux défauts de câbles électriques enterrés. Nous avons donc placé trois groupes électrogènes le soir-même de la panne de samedi pour réalimenter les clients (NDR: un devant la salle des Tréteaux), un rue du Gollet devant l’Athénée et un rue de Navagne devant le Collège St-Hadelin primaire). La grosse majorité a été rétablie dans les cinq heures, l’autre dans l’heure», explique Laetitia Naklicki, porte-parole de RESA.

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    La chaussée ouverte

    «Un des deux câbles a déjà été réparé rue du Gollet grâce à l’intervention d’un camion labo qui, comme un scanner, voit en gros ce qui se passe dans le sol. Il a fallu ouvrir la chaussée pour réparer et le temps de cette intervention ce dimanche, il y a eu à nouveau une coupure de courant durant un quart d’heure. Une seconde intervention est en cours depuis ce lundi rue des Récollets à Visé pour réparer un second câble. Au total, cinq cabines étaient out, ce qui équivaut à plus ou moins 800 à 1000 foyers privés d’électricité», ajoute la porte-parole de RESA. La Ville de Visé rappelle que la circulation reste interdite rue des Récollets.

    Une panne qui a aussi impacté VOO ainsi que de nombreux commerces et restaurants visétois.

    Marc Gérardy pour La Meuse

  • Mélanie, 27 ans d’Oupeye, décède juste avant Noël : « Je lui ai dit au revoir et deux heures plus tard on m’annonce que ma fille est décédée, c’est de la négligence ! »

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    Dans la nuit du 19 au 20 décembre, Mélanie, âgée de 27 ans, est emmenée aux urgences du CHC à Hermalle-sous-Argenteau, pour des difficultés respiratoires. Elle perdra la vie quelques heures plus tard. La famille attaque l’hôpital en justice pour négligence.

    Les problèmes ont commencé dans la nuit du 19 au 20 décembre : « Mélanie avait pas mal de soucis de santé. Son œsophage se refermait et, ponctuellement, il fallait le dilater. Elle était aussi diabétique. Ce jour-là, elle a eu des difficultés à respirer. Elle a été emmenée aux urgences du CHC à Hermalle en ambulance », explique Cindy, sa mère, fort émue au lendemain de son enterrement. « Je suis arrivée le lendemain. Ils devaient d’abord la mettre aux soins intensifs. Mais finalement ils l’ont mise en chambre normale. Quand je l’ai vue, j’ai compris que quelque chose n’allait pas. Elle était trempée, elle avait du mal à respirer. J’ai demandé au médecin pour faire un scanner de ses poumons. Mais ils n’ont pas voulu. Ils m’ont dit qu’elle avait un petit sifflement aux poumons. À 18h45, j’ai quitté ma fille, en me disant que ça allait aller. Les équipes médicales m’ont dit que ça allait ».

    Mais quelques heures plus tard, le téléphone de Cindy sonne. À l’autre bout du fil, c’est l’hôpital. La terrible nouvelle tombe. Sa fille a perdu la vie : « On m’a téléphoné vers 21h16 pour me dire que ma fille était décédée suite à un arrêt cardiorespiratoire. Comment est-ce possible ? Ils ne l’ont même pas mise sous monitoring alors qu’on voyait clairement qu’elle n’allait pas bien. Pour les équipes, il s’agissait simplement d’une bronchite. Mais entre une bronchite et un arrêt cardiorespiratoire, il y a une différence. Pour moi, c’est de la négligence. Mélanie avait son caractère, elle avait aussi des problèmes de santé. Elle était connue à l’hôpital et suivie là-bas. Souvent, quand elle parlait de ses symptômes, on ne la croyait pas. On voit ce que ça a adonné de ne pas l’écouter. Aujourd’hui, je suis dévastée, c’était ma seule fille, ma princesse, ma meilleure amie. Toute la famille est dévastée. On ne veut pas y croire. Notre monde s’est arrêté avec son décès ».

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    Si ma fille est morte c’est à cause de leur négligence. Ils auraient dû faire des tests complémentaires. Je veux que justice soit rendue. Elle devait se marier l’année prochaine »
    Cindy, La maman de Mélanie

    Déposer plainte

    Nous avons contacté le groupe CHC pour obtenir une réaction. S’agissant d’un patient, et par respect du secret professionnel et médical, il ne donnera aucune information sur ce dossier. L’hôpital explique que si la famille le juge nécessaire, il existe une procédure pour déposer plainte : « Nous allons le faire. Si ma fille est morte c’est à cause de leur négligence. Ils auraient dû faire des tests quand elle est arrivée. Je veux que justice soit rendue pour ma fille mais aussi pour les autres personnes qui se rendent à cet hôpital. Elle devait se marier l’année prochaine ».

    Mélanie Bruyere a été enterrée ce vendredi à Seraing.

    Source : La Meuse

  • Le château d’Argenteau à Visé va devenir un hôtel de charme d’une quarantaine de chambres

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    Excellente nouvelle pour le tourisme en Basse-Meuse. Un nouvel hôtel de charme ouvrira ses portes en 2028, au sein du château d’Argenteau (ancien château Van Zuylen) totalement rénové. Il comptera une quarantaine de chambres et neufs apparts-hôtels. C’est l’architecte bien connu Luc Spits qui a imaginé le projet.

    Situé entre la chaussée d’Argenteau et la rue de Saint-Remy, le château d’Argenteau est niché au cœur d’un domaine verdoyant d’une soixantaine d’hectares.

    Construit sur un rocher qui domine la Meuse, sa forme actuelle date de la fin du 17è siècle et il a longtemps appartenu aux comtes de Mercy-Argenteau. Racheté voici quelques années par un privé, ce dernier a confié le futur du site entre les mains de Luc Spits, architecte visétois bien connu.

    Le château sera ainsi transformé en hôtel de charme, ce dont manquait cruellement la Basse-Meuse et qui va donc aider au développement touristique de la région. Une transformation qui se fera en préservant les lieux. « Nos interventions resteront modérées et ponctuelles, avec des touches contemporaines dédiées à mettre en valeur l’ancien », explique l’architecte Luc Spits dans un communiqué.

    Il s’agira donc avant tout d’une restauration dans les règles de l’art, d’un aménagement respectueux de l’architecture originelle et de son style néoclassique. Aucun bâtiment ne sera démoli, uniquement rénové. L’intérieur est en effet d’un luxe inouï, offrant à l’œil de se perdre dans les détails d’époque merveilleusement entretenus. D’imposantes cheminées côtoient des escaliers majestueux, des moulures et de hautes portes en chêne. Ainsi, l’ensemble du rez-de-chaussée du bâtiment principal sera conservé en l’état. La quarantaine de chambres déjà présentes, destinées aux anciens militaires, sera sublimée grâce à un aménagement épuré et moderne. S’y ajoutera une vingtaine d’appartements neufs construits à l’emplacement de l’ancienne bergerie et disponibles à la location suivant le modèle des apparts-hôtels. Ces nouveaux bâtiments auront une architecture épurée et minimaliste pour ne pas faire d’ombre au château.

    Services et espaces verts

    Les clients de l’hôtel et des apparts-hôtels pourront profiter de différents services comme un restaurant, une brasserie, des salons de loisir et de détente, des espaces de conférences, une piscine intérieure, un sauna et une salle de sport. Une salle sera également dédiée au magnifique piano d’époque et à la musique, un art qui a toujours occupé une place majeure au sein du château. Du rocher, sur lequel le château a été construit, les clients pourront profiter d’une vue exceptionnelle sur la vallée de la Meuse et les environs ainsi que du parc, des jardins à la française et du bois privé que compte le domaine. Son emplacement ainsi que les vélos disponibles sur place en feront le point de départ idéal pour de belles randonnées et excursions dans la région. L’ouverture est prévue pour 2028. Elle devrait générer la création d’une dizaine d’emplois permanents.

    (Aurélie Drion pour "La Meuse")

  • Gardes médicales des 14 et 15 décembre 2024 pour la Basse-Meuse et la vallée du Geer

    images.6.jpegMédecin de garde : du lundi au jeudi soir de 19h00 à 08h00 : un seul numéro : 04/379.09.00. 

    Pour leur sécurité, les médecins de garde de la Basse-Meuse sont en liaison avec les services de la Police.

    Attention :  un poste de garde médicale est ouvert les week-ends et jours fériés de 08 hr à 20 hr rue Basse-Hermalle n° 2, à côté de la clinique. N° unique pour le médecin de garde : 04/374.09.34. 

     - Dentistes de garde : former le 100 pour connaître la liste. 

    PHARMACIES DE GARDE

    Pour toutes gardes entre 9h et 22h : www.pharmacie.be ou www.appl.be

    Pour toutes gardes entre 22h et 9h :

    - SAMEDI 14 DÉCEMBRE 2024 : Pharmacie Mangili, Rue Du Commerce, 31 ROCLENGE-SUR-GEER Tél : 042861509 

    - DIMANCHE 15 DÉCEMBRE 2024 Pharmayou Avenue Reine Astrid, 23 OUPEYE                             Tél : 042642383

  • Marché du livre d'histoire à Visé

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    Samedi 14 et dimanche 15 décembre

    Cette année encore, nous vous invitons à notre traditionnel Marché du livre qui se tiendra bien au chaud, dans les salles 2 et 3 du Centre culturel, les 14 et 15 décembre, de 14h à 18h (juste à côté du « Cloître en fête »).

    Nous vous proposerons d’acquérir une multitude d’ouvrages plus variés et plus intéressants les uns que les autres.

    Envie de (se) faire plaisir juste avant les fêtes ? Venez donc nous voir ! Outre les nombreuses publications de la SRAHV, il vous sera à nouveau possible d’acheter des livres sortis de notre inventaire (car ne correspondant pas à nos centres de recherche) à prix modique, ainsi que des livres en double.

    N’hésitez pas à consulter régulièrement la rubrique « Livres d’occasion » dans « Publications » sur notre nouveau site internet (www.museedevise.be) car des nouveautés arrivent chaque semaine ! Autre nouveauté : vous pouvez désormais faire vos achats en ligne sans vous déplacer. N’hésitez plus à remplir votre panier puis à vous les faire livrer, ou venez les retirer sur place. La liste régulièrement actualisée est disponible sur simple demande. Les thèmes présentés sont la Basse-Meuse (Herstal, Oupeye, les Fourons, Bassenge, Dalhem, le pays de Herve, Visé et ses villages), l’histoire régionale, la préhistoire, les grandes périodes de l’Histoire (Antiquité, Moyen Age, Temps modernes), les deux guerres mondiales, la dynastie belge, Liège, l’art religieux, les beaux-arts et l’archéologie, le folklore, les traditions wallonnes, les voies de communication, la généalogie et l’héraldique,… 

    Infos au 04 374 85 63 ou par mail : info@museedevise.be

    Bienvenue à toutes et tous !

    Pour la SRAHV,
    Marylène Zecchinon, 
    conservatrice du musée