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Sécurité

  • Gouverneur de la province de Liège COVID-19 : récapitulatif des mesures

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    Récapitulatif des mesures applicables sur l’ensemble du territoire de la province de Liège jusqu’au 1er mars 2021

                                                              Travail et commerces

    • Le télétravail est obligatoire, pour les fonctions qui s’y prêtent et dans le respect de la continuité de la gestion des entreprises et organisations, services et activités

    • Les commerces sont ouverts dans de strictes conditions en matière d’hygiène: gestes barrières (lavage des mains, distanciation physique) port du masque, 1 seule personne sauf mineurs de son foyer ou 2 personnes maximum si besoin d’assistance), 30 minutes maximum dans un commerce et 1 client par 10m², rassemblements à éviter, pas de fun shopping

    • Restent fermés les instituts de beauté, les salons de manucure, pédicure non-médicale, massage, coiffure, barbiers, tatouage et piercings

    • Les marchés (1 client par 1,5m d’étal) sont ouverts, mais la consommation de boissons et de denrées alimentaires est interdite

    • Les commerces, night-shops, ainsi que les magasins attenants à une station-service ne peuvent ouvrir au-delà de 20h

    • Les cafés et restaurants sont fermés. La livraison et le retrait sur place de plats à emporter reste possible jusqu’à 22h00

    • Les réceptions et banquets organisés par un service traiteur ou de catering professionnels sont interdits

    • Tous les types d’hébergement (hôtels, gîtes...) peuvent rester ouverts à l’exclusion de leur restaurant, de leurs débits de boissons et de leurs autres facilités communes. Les villages de vacances, les parcs de bungalow et les campings sont fermés sauf pour le propriétaire et son ménage ainsi que les résidents à titre principal

    • Les fêtes foraines, marchés annuels, brocantes et marchés aux puces ne sont pas autorisés

    • Les salles de jeux, bureaux de paris et casinos sont fermés

    • Les formations et examens de permis de conduire sont autorisés

                                                                       Enseignement

    • Les cours en présentiel sont suspendus dans l’enseignement supérieur

    • L’enseignement maternel et primaire est maintenu en 100% présentiel. La reprise des cours se déroule en code rouge.

    • L’enseignement secondaire est organisé en 100% présentiel pour le premier degré et 50% en présentiel pour les autres degrés

    • L’enseignement artistique est organisé en 100% présentiel pour les élèves de moins de 12 ans et par groupes de 4 élèves maximum pour les plus de 12 ans.

                                                                             Généralités

    • Couvre-feu de 22h00 à 6h00 sauf déplacements essentiels (urgences médicales, assistance à un proche, travail).

    • Le port du masque est obligatoire dans les lieux suivants :

    - les magasins et les centres commerciaux

    - les auditoires

    - les lieux de culte

    - les bibliothèques, les musées

    - dans une file d’attente

    - dans les bâtiments publics

    - sur les marchés

    - lors de manifestations statiques sur la voie publique

    • Les contacts rapprochés sont limités à 1 personne

    • Possibilité de recevoir 1 personne maximum chez soi (2 visiteurs maximum non simultanés si personne isolée)

    • Les rassemblements sur la voie publique sont limités à 4 personnes maximum

    • La consommation d’alcool sur la voie publique et dans les espaces publics est interdite

    • Le porte-à-porte est interdit

    - aux abords des écoles une heure avant et une heure après les heures d’entrée et de sortie habituelles

    - pour les spectateurs et accompagnants lors d’événements sportifs et participants quand ils ne pratiquent pas leur sport

    - dans les cimetières

    - dans les endroits à forte fréquentation identifiés par les bourgmestres

                                                   Loisirs, sports et évènements

    • Les centres de bien-être, les jacuzzi, cabines de vapeurs et hammams sont fermés

    • Les discothèques et dancings restent fermés

    • Les établissements (ou les parties d’établissements) sportifs sont fermés au public. Néanmoins, les salles de sports et les infrastructures sportives intérieures peuvent rester ouvertes pour : accueillir des groupes scolaires d’enfants jusqu’à l’âge de 12 ans accomplis (50 enfants max.) dans le cadre des activités scolaires et extra-scolaires et accueillir des activités, stages et camps sportifs organisés ou autorisés par les autorités locales

    • Les sportifs amateurs de 13 ans et plus ne peuvent s’entrainer qu’à l’extérieur. Ils peuvent faire usage des parties extérieures des infrastructures sportives (par exemple terrain de foot, de basket,…) et il ne peut y avoir plus de 4 personnes à la fois

    • Les compétitions sportives professionnelles se poursuivent en extérieur et en intérieur à huis clos. Les compétitions sportives non-professionnelles peuvent seulement avoir lieu pour des participants jusqu’à l’âge de 12 ans accomplis. Seul un membre du ménage des participants peut assister à ce type de compétitions

    • Les cafétérias, buvettes, vestiaires sont fermés

    • Les musées et bibliothèques sont ouverts

    • Les piscines sont ouvertes

    • Tous les événements à caractère récréatif ou de type hobby qu’ils soient, entre autres, festifs, culturels ou folkloriques, organisés par les villes et communes ou soumis à autorisation des autorités communales sont interdits

    • Les offices religieux et laïques sont autorisés avec un maximum de 15 personnes et 1 personne par 10m². Sont également concernés par cette disposition dans les bâtiments du culte: les funérailles et les mariages. Les règles du port du masque et de distance physique sont de rigueur

    • Les parcs d’attraction et les parcs zoologiques sont fermés

    • Les teams buildings en présentiel sont interdits

    • Les lieux culturels (salles de spectacles, théâtres) sont fermés, sauf pour les groupes d’enfants jusqu’à 12 ans accomplis dans le cadre d’activités organisées Maisons de repos et de soins et autres structures résidentielles

    • Les visites aux résidents dans les maisons de repos, les maisons de repos et de soins et dans les autres établissements d’hébergement et d’accueil sont autorisées aux conditions suivantes:

                          Maisons de repos et de soins et autres structures résidentielles

    - Les visites au sein de la maison de repos (et de soins) sont limitées à maximum 2 visiteurs par résident (1 par 1), toujours les mêmes pendant 15 jours

    - Les visites sont exclusivement organisées dans un espace dédié de l’établissement

    - Les visites en chambre sont autorisées et obligatoires pour les cas exceptionnels de fin de vie ou en présence d’un syndrome de glissement ou dont le déplacement dans l’espace dédié s’avère difficile;

    - Le port du masque chirurgical est obligatoire pour tout visiteur et tout résident

    - Une hygiène des mains méticuleuse devra être réalisée par les visiteurs et le résident au début de la visite et à son issue.

    - La distanciation physique de 1m50 doit être respectée - L’aération des locaux doit être assurée le plus souvent possible - Les sorties des résidents sont possibles dans le respect de la distanciation et des gestes barrières Loisirs, sports et événements

                                                      Organisation de Funérailles

    • Le transport de tout défunt ne peut être réalisé que par les entreprises de pompes funèbres agréées et à destination d’une chambre mortuaire qu’elles abritent. Tout retour de défunt à domicile est interdit • Les périodes de visites ou de condoléances sont limitées à deux périodes s’étendant sur une plage horaire d’une heure • Un maximum de quinze personnes est autorisé à participer aux funérailles d’un défunt, à partir de sa sortie du funérarium, jusqu’à l’inhumation ou à la crémation • Les réceptions après funérailles ne sont plus autorisées

     

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  • Themis : la patrouille supplémentaire de la police de la Basse-Meuse

    La zone de police de la Basse-Meuse n’est pas la seule à dresser ce constat : il n’y a pas assez de bleus dans les rues, la faute à une surcharge de travail et à un manque cruel d’effectifs.

    Alors, en mai 2019, la police bassi-mosane a posé les jalons d’une nouvelle équipe de patrouilleurs, composée d’agents volontaires qui ont accepté cette mission en plus de leur charge de travail habituelle. Condition sine qua non pour faire partie du noyau de policiers : le travail de base doit être fait dans les temps, et les policiers doivent être à jour dans leurs formations. Thémis -c’est son nom- a officiellement débuté en juillet 2019. Thémis, c’est aussi la déesse grecque de la justice, voilà qui plante le décor. Car les 30 à 40 policiers qui la composent ont de l’ambition… et des résultats plus qu’encourageants (lire ci-dessous) !

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    L’équipe est composée à chaque fois de trois policiers : un gradé et deux hommes qui patrouillent sur l’ensemble de la zone, à raison d’une sortie par semaine et d’une autre sortie par week-end. Trois hommes, n’est-ce pas un peu trop maigre pour une zone aussi vaste ? Pour les aider à affiner leurs recherches, Thémis peut compter sur les renseignements donnés par les commissariats de quartier. « Lorsque la patrouille démarre, elle emporte un bulletin de service avec les points d’intérêt. Après, nos policiers ouvrent aussi les yeux », explique le commissaire Jean-François Duchesne, chef de zone adjoint.

    « Avant, dès qu’on devait faire quelque chose qui sortait de la routine, ce n’était pas possible », poursuit-il. « Cette patrouille de policiers volontaires fait immanquablement la différence. Ils se concentrent sur les incivilités comme les mauvais stationnements ou les rassemblements de jeunes, mais aussi sur les deals de stup, la criminalité, etc. En fait, tout ce qui est inscrit dans le plan zonal de sécurité. Il y a quelques jours, ils ont notamment interpellé un dealer de stupéfiants dans le centre de Visé. »

    En première ligne

    Thémis n’est pas un service spécialisé comme le PAB peut l’être, cela reste une équipe de première ligne. « Ils arrivent sur les lieux en voiture banalisée pour ne pas se faire repérer. Par contre, quand ils sortent, ils sont équipés d’armes longues, d’un gilet pare-balles : leur fonction policière ne fait aucun doute. Ces membres ne reçoivent aucune formation supplémentaire, ce sont des policiers ‘normaux’ qui ont à cœur de faire leur travail correctement. »

    Déjà 23 arrestations!

    Entre juillet 2019 et décembre 2019, la patrouille Thémis a procédé à 1.059 contrôles. Lors de ceux-ci, 112 P.-V. ont été rédigés, dont 42 qui concernaient les stupéfiants. Douze personnes ont ainsi fait l’objet d’une arrestation judiciaire. Pour 2020, tous les mois n’ont pas encore été encodés, mais 680 contrôles ont déjà été réalisés. Onze arrestations judiciaires ont été menées et 32 P.-V. ont été dressés pour des faits de stupéfiants. La drogue constitue toujours un réel problème en Basse-Meuse. « En 2013, quand les Hollandais ont fermé leur frontière aux étrangers, on a vu une chute vertigineuse du narco-tourisme. Mais on a pris conscience que la problématique était toujours bien présente. »

    (Source : A.MA pour Sudpresse)

  • Basse-Meuse : enfouissements de déchets radioactifs durant 500.000 ans

    Une interpellation citoyenne au conseil communal, il y a longtemps qu’on n’avait plus vécu pareil événement à Blegny. C’est Mathieu Simonis, avocat au barreau de Liège, qui l’a effectuée. Et cette dernière a été couronnée de succès, la commune ayant formulé sa plus vive inquiétude vis-à-vis de ce projet, tout en refusant à l’unanimité une implantation dans son territoire sans une enquête sérieuse et complète au préalable.

    Il faut dire que le sujet est sensible. Concrètement, le gouvernement belge, ou plutôt L’ONDRAF, à savoir l’organisme national des déchets radioactifs et des matières fissiles enrichies, est à la recherche de nouveaux sites d’enfouissement pour les déchets radioactifs dont la durée de vie est de 500.000 ans.

    Le Pays de Herve est l’une des zones envisagées. Ce qui provoque une vague de critiques. Une pétition a d’ailleurs été lancée. Les Bassi-Mosans ne voient pas non plus ce projet d’un très bon œil, comme l’a notamment expliqué Mathieu Simonis.

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    « En fait, il y a trois façons de ‘stocker’ les déchets radioactifs », précise l’ancien conseiller communal. « On peut les recycler, les placer dans les piscines en surface ou les enfouir au fond de puits dans des sols argileux à des centaines de mètres du sol. Trois possibilités seraient pressenties pour la troisième option : en Gaume, dans le massif de Stavelot et dans le Pays de Herve. Le souci, c’est que ces déchets ont un impact négatif sur l’environnement vu qu’ils sont radioactifs. Bref, leurs conséquences sont néfastes pour la faune et la flore. Et ce, que ce soit où ils sont enfuis mais également dans des communes limitrophes ou à proximité. »

    L’ONDRAF a lancé une enquête publique qui expire mi-juin. Mathieu Simonis avait interpellé sa commune qui n’était au courant de rien il y a quelques semaines. Il est ensuite passé à l’offensive. Une décision logique vu que Blegny, d’après différents plans, pourrait se trouver dans la zone préconisée par l’ONDRAF mais surtout parce que le village de Bolland (Pays de Herve) est voisin de la commune blegnytoise.

    Une motion à Bassenge

    Si Bassenge n’est pas limitrophe avec le Pays de Herve, ça ne l’empêche pas d’être vivement inquiète.

    Jeudi dernier, Ecolo (opposition) a ainsi déposé une motion contre ce projet, votée à l’unanimité. « Ce qui est déjà interpellant, c’est que cette enquête publique a été lancée en plein confinement, quand la population et les communes étaient focalisées sur la lutte contre cette pandémie », amorce Philippe Malherbe (Ecolo). « Actuellement, aucun site n’a été retenu pour accueillir ce stockage de déchets, mais on sait que l’ONDRAF propose au Fédéral d’adopter le stockage géologique. Bassenge est donc potentiellement concernée. On a donc préféré prendre les devants et faire en sorte que Bassenge fasse savoir qu’elle s’oppose et s’opposera à ce projet. Parce qu’outre l’aspect environnemental, on demande de s’engager pour des centaines de milliers d’années, avec un coût d’au moins 10 milliards d’euros. Or, en cas de stockage géologique, qui serait irréversible, on ne sait pas prédire les risques sismiques à si long terme. On ne sait pas non plus comment vont se comporter les fûts dans lesquels seront stockés les déchets avant d’être enfouis. »

    Ecolo souhaite donc que les autres méthodes soient étudiées par l’ONDRAF pour ainsi pouvoir choisir « la moins mauvaise solution ». (Source Sudinfo)

  • Coronavirus : Marius Gilbert craint un rebond d'ici une semaine

    L’épidémiologiste a communiqué sur Twitter : « Une des grandes inconnues, c’est le nombre de personnes infectées et immunisées dans la population, et dans les différentes classes d’âge. Ce nombre va devoir être déterminé très prochainement et sera important pour guider les stratégies de sorties du confinement », commence-t-il.

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    « Depuis plusieurs jours, nous sommes à un plateau avec un nombre de personnes en soins intensifs et hospitalisées qui évolue très peu. Le relâchement mesuré par une augmentation de la mobilité fait craindre un rebond d’ici une semaine », a-t-il ajouté.

    « Les nouvelles admissions diminuent, mais très (trop) lentement, laissant craindre ici aussi, les conséquences d’un rebond. Du côté des décès, l’augmentation continue, mais l’augmentation des temps de doublement se confirme. »

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