|
|||
|
Presse
-
Bulgarie : RSF appelle la justice à abandonner les procédures-bâillons ciblant des journalistes d’investigation
-
Benjamin Maréchal quitte la RTBF et rejoint… Sudinfo: «J’avais besoin d’un nouveau challenge»
Il y a 20 ans, il entrait à la RTBF. L’animateur et journaliste la quittera dans quelques semaines pour rejoindre notre groupe où son indéniable connaissance des médias lui permettra de relever les nouveaux défis digitaux de Sudinfo.
Benjamin Maréchal, c’est l’homme de toutes les surprises… de tous les défis aussi. Grande nouvelle dans le monde des médias, Il quitte donc Reyers pour rejoindre une autre famille, celle de Sudinfo (La Meuse, La Nouvelle Gazette, La Province, Nord-Eclair, La Capitale et Sudinfo.be).
Derrière lui, il laisse sa casquette d’animateur. Mais il embarque celle de journaliste qu’il porte depuis le début des années 2000. Homme de radio, d’abord, avant de devenir une vedette de la télé, le grand Maréchal (il approche des 2 mètres) s’est fait repérer, pendant ses études à l’UCL, par… Bel RTL. Il passe plusieurs mois, les week-ends, sur les ondes de la radio privée avant que feue Fréquence Wallonie Hainaut (c’était avant que VivaCité naisse) ne lui confie les commandes de sa matinale. En 2002, sa voix en impose, pas encore sa stature, ni son ton, parfois incisif. Il faudra attendre la naissance de Viva et d’une émission de débats d’actu, « C’est vous qui le dites », pour que la « Maréchal touch » s’impose. On est alors en 2008 et le talk-show radio – puis télé – en est à sa deuxième saison après son lancement par Jean-Louis Lahaye. Le rendez-vous du matin, qui permet une grande interaction avec les auditeurs devient rapidement incontournable. Mais le journaliste bruxellois est lui en passe de devenir l’homme du matin. Le succès de « C’est vous qui le dites » fait des petits : le concept du « 8/9 » (en radio et télé) voit le jour avec Benjamin Maréchal en chef de bande. Dix ans plus tard, le rendez-vous, désormais piloté par Cyril Detaeye, est toujours numéro un le matin.
En bon hyperactif, devenu père de famille – Harry naît à l’été 2017 –, le journaliste veut relever de nouveaux défis au sein du service public. Il débarque là où on ne l’attend pas : aux commandes en télé et radio de « On n’est pas des pigeons ». Trois ans plus tard, mission accomplie : « Je pars apaisé, l’émission se porte bien » dit-il.
Car voilà, cette fois, il ne s’agit pas d’une rumeur : Benjamin Maréchal a bel et bien décidé de quitter la RTBF. Encore une fois il surprend. Encore une fois il se lance un challenge : apporter toute son expertise et son expérience pour relever les défis digitaux qui attendent notre groupe, sa nouvelle maison. Les téléspectateurs des « Pigeons », quant à eux, auront encore le temps de faire leurs adieux à Benjamin. Il reprendra bien l’antenne le 10 janvier – après une période de quarantaine et quelques congés – pour quelques semaines, avant de refermer un long chapitre. « Quitter des amis ne sera pas émotionnellement facile ».
Par Charlotte Vanbever
-
Plus moderne et plus proche de vous: votre nouveau Sudinfo, c’est pour ce mardi matin
Grande nouveauté dans le monde de la presse francophone. Sudpresse change d’identité et devient Sudinfo pour mieux accompagner l’évolution digitale de ses marques. Sudinfo et les titres La Meuse, La Nouvelle Gazette, La Province, Nord Eclair et La Capitale se réinventent pour offrir une expérience inédite à leurs lecteurs et internautes. Un changement qui va se traduire par une refonte des médias qui font votre quotidien : des nouveaux sites Web, une nouvelle identité graphique pour votre journal et le lancement d’une nouvelle application Sudinfo innovante pour smartphone et tablette qui vous permettra de retrouver plus simplement l’ensemble vos contenus favoris.
« Nous voulons faciliter l’accès à nos informations et clarifier la présentation de nos différents contenus. Nous voulons également donner un coup de neuf à l’ensemble de nos marques, contenus et supports pour être davantage dans l’air du temps.», explique Vincent Brossel, directeur marketing et commercial de Sudpresse. « Nous sommes le seul groupe à disposer à la fois de rédactions et de journalistes aux quatre coins de la Wallonie et à Bruxelles. Ce qui nous permet de proposer des contenus locaux, nationaux et sportifs de qualité. Grâce à nos nouveaux supports, nos lecteurs pourront accéder plus facilement à tous ces contenus. »
(Communiqué)
-
La Russie a émis un mandat d'arrêt contre un lanceur d'alerte qui dénonçait la torture dans les prisons
La Russie a émis un mandat d'arrêt contre le lanceur d'alerte à l'origine des révélations sur les tortures et viols dans les prisons russes, Sergueï Savelev. Ce dernier a demandé l'asile politique en France.
La Russie a placé sur la liste des personnes recherchées un ressortissant bélarusse ayant demandé l'asile politique en France, après avoir été à l'origine de révélations d'ampleur sur des viols et tortures systématiques dans les prisons russes.Des vidéos acquises lors de sa détention
Lors de sa détention, sous couvert d'opération de maintenance informatique, il dit avoir téléchargé une grande quantité de vidéos montrant des mauvais traitements et des viols organisés à travers l'immense système pénitentiaire russe.
Début octobre, la publication d'une de ces vidéos insoutenables, celle du viol d'un détenu avec une perche dans une prison-hôpital de Saratov, a suscité un scandale en Russie. Le Kremlin a promis l'ouverture d'enquêtes sur ces dérives et au moins quatre responsables des services carcéraux ont été limogés.
Disant toutefois craindre des représailles des autorités russes, Sergueï Savelev est arrivé la semaine dernière en France où il a demandé l'asile politique. Samedi, il a estimé qu'il était poursuivi en Russie "pour divulgation de secrets d'État".Un système carcéral régulièrement critiqué
"Le pouvoir russe utilise les seules méthodes qu'il connaît et juge appropriées, la force et l'intimidation, et essaie encore de me faire taire", a-t-il affirmé dans une vidéo publiée par l'ONG Gulagu.net. Selon lui, les autorités préfèrent "perdre du temps à tenter d'étouffer la vérité" plutôt que de "réformer le système pénitentiaire" ou de "punir tous ceux impliqués dans cette usine à tortures".
Le 17 octobre dernier, il avait expliqué avoir agi car il lui était "très difficile psychologiquement" de garder de telles horreurs pour lui.
Le système carcéral russe est très régulièrement entaché de scandales de tortures, commises de façon quasi-institutionnalisée par des gardiens ou d'autres détenus à leurs ordres, notamment afin d'obtenir des aveux sous la contrainte. -
Une «nouvelle Meuse» avec une seule mission: vous informer sur l’actualité liégeoise
Il est peut-être bon de rappeler que ce n’est pas un cas isolé. Faut-il rappeler les milliers d’étudiants défilant dans les rues de la Cité ardente pour défendre le climat ? Faut-il souligner les centaines de Liégeoises et de Liégeois qui, en pleine crise sanitaire, se sont rassemblés pour s’élever contre le racisme ? Faut-il oublier ces centaines de travailleurs, de la sidérurgie notamment, se serrant les coudes pour défendre leur pain ? Ou encore, ces dizaines de milliers de supporters ne faisant qu’un place St-Lambert lors du dernier titre du Standard ?
La Meuse a toujours défendu ces valeurs communes qui font la vie des Liégeoises et des Liégeois.
Aujourd’hui, notre mission première, vous informer, reste plus que jamais d’actualité au moment où complotistes et diffuseurs de « fake news » déversent uniquement méfiance et haine. C’est pourquoi votre journal, présent quotidiennement dans la vie principautaire, se veut encore plus métropolitain.
Dès à présent, vous retrouverez plus de titres liégeois à la Une, des pages 2 et 3 où des sujets seront développés plus en profondeur et davantage de pages dédiées à ce qui fait l’actualité de notre région.
Informations locales, judiciaires, sportives, politiques, culturelles, économiques, santé, vie quotidienne, commerces, emploi, société. Mais aussi capsules vidéos et reportages photographiques sont les moteurs de l’équipe de journalistes de La Meuse Liège & Basse-Meuse chaque jour.
C’est le cas depuis 1856. Ce le sera encore plus maintenant.