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Divers

  • 1.000 foyers touchés par la panne d’électricité samedi dernier à Visé: des réparations sont toujours en cours

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    Grosse panne d’électricité à Visé samedi soir qui a touché près de 1000 foyers suite aux défauts de deux câbles électriques enterrés. Un câble a été réparé et l’autre est toujours en cours de réparation.

    Samedi dernier, la Ville de Visé et la commune de Dalhem ont subi une importante panne d’électricité en début de soirée vers 18h30. La veille, le SPW avait déjà obtenu une intervention de RESA pour que le rond-point devant la Collégiale à l’entrée de la Cité de l’Oie soit illuminé lors de la Corrida de Visé, un jogging couru en soirée avec 2500 participants !

    «Nous avons connu samedi dernier deux défauts de câbles électriques enterrés. Nous avons donc placé trois groupes électrogènes le soir-même de la panne de samedi pour réalimenter les clients (NDR: un devant la salle des Tréteaux), un rue du Gollet devant l’Athénée et un rue de Navagne devant le Collège St-Hadelin primaire). La grosse majorité a été rétablie dans les cinq heures, l’autre dans l’heure», explique Laetitia Naklicki, porte-parole de RESA.

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    La chaussée ouverte

    «Un des deux câbles a déjà été réparé rue du Gollet grâce à l’intervention d’un camion labo qui, comme un scanner, voit en gros ce qui se passe dans le sol. Il a fallu ouvrir la chaussée pour réparer et le temps de cette intervention ce dimanche, il y a eu à nouveau une coupure de courant durant un quart d’heure. Une seconde intervention est en cours depuis ce lundi rue des Récollets à Visé pour réparer un second câble. Au total, cinq cabines étaient out, ce qui équivaut à plus ou moins 800 à 1000 foyers privés d’électricité», ajoute la porte-parole de RESA. La Ville de Visé rappelle que la circulation reste interdite rue des Récollets.

    Une panne qui a aussi impacté VOO ainsi que de nombreux commerces et restaurants visétois.

    Marc Gérardy pour La Meuse

  • Le C.H.C de Hermalle se dote d'un jardin sur le toit

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    Il y a plus de 10 ans, le CHC d’Hermalle avait le projet de créer un jardin suspendu pour son unité de soins palliatifs. C’est désormais une réalisation concrétisée. Avec le financement de généreux donateurs, il a pu être réalisé et occupe une partie de la toiture de l’hôpital. Destiné aux patients, souvent en phase terminale, cette initiative leur offre la possibilité de s’aérer, de sortir du confinement de leur chambre, d’être au contact d’œuvres d’art et de la nature ainsi que d’avoir une vue panoramique sur les alentours. 

    Le jardin fait partie des bienfaits qui agissent sur les personnes mais aussi leur entourage et leurs familles. Il contribue à les apaiser et à instaurer un climat serein. 

    Un lieu à dimension humaine ou même alité, le patient ressent les bénéfices des éléments extérieurs comme le vent, le soleil, les nuages et toute la poésie qui habite la nature. 

    (Source : CHC et bulletin communal)

  • Visé : Stop béton entre en action suite à l'octroi d'un permis d'urbanisme

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    Le projet de Lorette à Visé
     
    Urbanisme à Visé : Respect ZERO ! Stop Béton entre en action
     
    Choqué par l'octroi du permis pour quatre immeubles de 30 appartements à Lorette après de nombreux autres permis problématiques et face à de nouveaux projets au cœur de Visé tout aussi excessifs, Stop Béton Visé a décidé de passer à l'action.
    Ce matin, Stop Béton a distribué des centaines de feuillets d'information à l'entrée de la Salle des Arquebusiers où se déroulait l'apéritif annuel du MR et de la bourgmestre.
    Constatant dans ce texte que "Ce permis du Collège communal est accordé au mépris de l'opposition d'un grand nombre de riverains et d'habitants de la ville." et que "Le permis s'assied sur l'avis négatif très motivé du Fonctionnaire Délégué de la Région Wallonne et sur celui du SPW Mobilité et Infrastructures.", Stop Béton souligne que : "Cette absence de respect des habitants, des autorités wallonnes et des balises communales n'est qu'une illustration de la façon dont bourgmestre et échevins considèrent la population et les règles à suivre. Cela montre combien il est nécessaire pour les habitants de Visé de se mobiliser pour leur commune." Il relève aussi que "ce permis n’est malheureusement qu’un des exemples des décisions déjà prises par la bourgmestre et les échevins – ou en préparation - qui nuiront au cadre et à la qualité de vie des habitants, qui ignorent les prescriptions et objectifs adoptés en matière d’urbanisme et de logement, et qui souvent s’opposent aux avis négatifs du fonctionnaire délégué de la Région." Enfin un tableau présente cette profusion de projets qui représente un total de 206 logements, qui plus est, quasi uniquement des appartements de standing destinés à quelques privilégiés !
     
    Le Groupe Stop Béton Visé est une initiative citoyenne ayant pour objectif le maintien d’un cadre de vie cohérent, sain et agréable pour tous à Visé et en bord de Meuse. Stop Béton souhaite notamment rassembler et soutenir les habitants confrontés à des projets urbanistiques ou industriels excessifs, inappropriés ou polluants. Il les invite à le rejoindre.
     
    Un feuillet d'information sera déposé dans les boîtes aux lettres.
     
    (Communiqué)
     
     
  • GAIA expose l'état déplorable de certains élevages de dindes flamands

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    Le Groupe d'action dans l'intérêt des animaux (Gaia) diffuse mardi de nouvelles images vidéo, tournées en novembre 2021, pour sensibiliser à la "misère noire" à laquelle sont exposées les dindes de certains élevages flamands. Ne constatant pas d'évolution depuis 2019, l'association de défense des droits des animaux en appelle à une instauration urgente de normes juridiques spécifiques pour les élevages de dindes, encore inexistantes aujourd'hui en Belgique, renseigne le communiqué.

    Sur les images, on peut apercevoir des centaines de dindes entassées, gravement affaiblies, à la peau nécrosée, blessées et mourantes, voire des cadavres en état de décomposition avancée. "Dans les élevages de dindes que nous avons visités, la situation est si mauvaise qu'ils devraient être fermés", explique Ann De Greef, la directrice générale de Gaia, citée dans le communiqué.

    Par cette action, Gaia entend insister sur l'absence de législation spécifique pour protéger le bien-être des dindes de chair. "Par exemple, aucune limite légale claire n'est fixée concernant la densité d'élevage: un éleveur détermine donc lui-même le nombre de dindes qu'il souhaite entasser dans un poulailler", détaille l'association.

    Mais la densité dans les élevages n'est pas le seul problème, selon Gaia, qui demande à également améliorer la qualité et la quantité des perchoirs, à rendre obligatoire l'usage de races à croissance plus lente, et à proposer une litière sèche ainsi qu'un enrichissement suffisant.

    Selon le communiqué, l'élevage intensif de dindes en Flandre compte actuellement environ 25 exploitations. Les images diffusées par Gaia proviennent de quatre d'entre elles, à savoir l'élevage de dindes Casteele de Heuvelland, l'élevage Lavens de Wervicq, un troisième à Lichtervelde et un quatrième à Lendelede. "Il est significatif et révélateur que l'élevage de dindes Casteele de Heuvelland appartient au président de l'association flamande des éleveurs de dindes", dénonce Gaia.

    En Wallonie, le gouvernement a récemment adopté en première lecture un projet d'arrêté relatif au bien-être des dindes dans les élevages, indique le communiqué. "Mais ils ont préféré ne pas suivre les recommandations des experts du Conseil wallon du bien-être", en termes de densité dans chaque poulailler, déplore Gaia. "Manifestement, les intérêts de certains lobbies pèsent plus lourd dans la balance que d'assurer un niveau décent de bien-être animal", conclut Ann De Greef.

  • Le ras-le-bol d'une maman

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    © Archives P. Neufcour

    Cet avant midi, une habitante du quartier s'est présentée à nous et nous a remis une lettre qu'elle avait rédigée. Cette dame souhaite que ses propos soient rendus publics et arrivent (peut-être) jusqu'aux personnes intéressées. Voici en substance le texte de ce document rédigé le 22 novembre.

    "Ce soir, je suis outrée par la situation vécue par ma fille Coraline. Depuis plusieurs mois, cette accompagnatrice de train a subi au cours de son travail, plus de quatre agressions violentes. Hier soir (lisez le 21 novembre) elle travaillait dans le train Bruxelles- Eupen, ramenant chez eux nombre de participants à la manifestation. Tâche ingrate, elle devait tenter de persuader les voyageurs, souvent alcoolisés, de respecter le port obligatoire du masque. S'agissant d'un convoi composé de voitures à deux étages, le jeune femme de 43 ans était accompagnée d'un collègue masculin. 

    Entendant du Rififi à l'étage Coraline a voulu monter pour, le cas échéant, prêter main forte à son collègue. Elle a été violemment bousculée alors qu'elle empruntait l'étroit escalier menant au premier. Heureusement, la présence de voyageurs dans cet escalier a amorti sa chute et l'accompagnatrice s'en tire sans blessures graves. Son collègue, lui, n'a pas eu cette chance : il a été véritablement "tabassé" et il s'en tire avec une côte fracturée. Le service Sécurail n'est pas intervenu mais ordre leur aurait été donné de "ne pas soumettre les manifestants à une trop forte tension (sic). Donc, pour la SNCB ce sont aux accompagnateurs de train de payer les pots cassés"

    Et la maman d'ajouter :

    "Comme un journaliste de la VRT l'a fait, je ne veux pas dramatiser la situation, mais je ne veux pas non plus être contactée par un hôpital qui me dirait que suite à une agression subie sur les lieux de son travail, ma fille est hospitalisée, en garderait des séquelles ou que son corps de trouve dans une morgue!

    Mesdames et Messieurs les Ministres, responsables en tous genres, je vous informe que je n'accepterai pas les excuses du genre " C'est la fatalité; on ne savait pas que le train serait bondé à ce point..." Ma fille vient de subir sa cinquième agression importante et se trouve en incapacité de travail pour huit jours.

    En règle générale, je suis une maman confiante dans les agissements de ses trois enfants. Je dois vous dire qu'à présent, je suis véritablement angoissée de voir Coraline partir travailler surtout qu'en plus elle termine très tard sur la ligne Ostende - Eupen, le plus longue de Belgique. Et malgré cela, ma fille continue à aimer son métier!

    Et le texte est signé Gaby, une maman qui a peur pour la sécurité de sa fille

    Tout d'abord, nous souhaitons un prompt rétablissement à Coraline. Mais les lecteurs sont en droit de se demander si leur sécurité, leur sécurité de voyageurs, est encore assurée dans nos trains. Pour une pure question de fric, on supprime les guichets (la présence de guichetiers était quand même sécurisante), on réduit ou supprime la présence d'accompagnateurs dans les trains, et par expérience, nous pouvons dire que sur la ligne Maastricht - Liège, la "hash connection " comme on l'appelle, la présence de membres de Sécurail est purement "fortuite".

    Alors, comme le dit Gaby, qu'attend-on pour agir ? Pour prendre les mesures qui s'imposent? On "s'en fout de l'architecture de la gare des Guillemins, de la mégalomanie des décideurs Carolos" les voyageurs veulent des trains à l'heure et sûrs.

    Pierre Neufcour