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Police - Page 2

  • Une voleuse interpellée à Visé après plusieurs vols, dont un dans un café

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    Photo d'illustration - D.R.

    Une dame a été privée de liberté pour divers faits de vol, à Visé. Elle venait de piquer plusieurs objets dans un café lorsque la police est intervenue.

    Une dame a été privée de liberté à Visé après avoir commis un vol dans un café. En effet, plusieurs objets dont des boudins ou encore des clés de voiture ont été volés dans un établissement horeca. Lorsque la police est intervenue sur place, les objets ont été découverts sur cette femme de 50 ans.

    Une visite domiciliaire a ensuite été réalisée chez la quinquagénaire. Là, plusieurs objets ont été découverts, ce qui a permis aux enquêteurs à faire le lien avec d’autres cambriolages. Elle avait même volé des oliviers qui se trouvaient devant une habitation.

    Les différents faits qui lui sont reprochés ont été perpétrés le 7 et le 13 janvier.

    La suspecte a été privée de liberté et déférée dimanche au parquet de Liège. Son dossier a été placé à l’instruction et une demande de mandat d’arrêt a été formulée à son encontre étant donné qu’elle est connue de la justice pour des faits similaires et qu’elle a d’ailleurs été condamnée pour cela en juin 2021.

    (Laura Salamon pour La Meuse)

  • Un homme arrêté pour tentative de vol dans une habitation à Visé

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    Photo d'illustration

    Jeudi, sur le coup de 11 heures, un homme a été privé de liberté pour une tentative de vol perpétrée dans une habitation de la rue de Visé, à Visé. Seul un des deux protagonistes a été interpellé.

    Jeudi, un témoin a contacté les forces de l’ordre après avoir repéré un manège suspect à proximité d’une habitation située rue de Visé, à Visé. Un homme sonnait en permanence à la porte d’entrée d’une maison alors qu’un autre faisait le tour de la maison. Les deux individus ont ensuite tenté de forcer la porte d’entrée sans succès, ils ont donc tenté d’entrer par le jardin, mais une fois de plus, n’y sont pas arrivés.

    Rapidement, la police est intervenue sur place, mais seul l’un des deux protagonistes a pu être intercepté.

    L’homme en séjour illégal a été privé de liberté et déféré vendredi au parquet de Liège.

    (Laura Salamon pour "La Meuse)

  • Deux candidats sont en lice pour devenir le nouveau chef de zone de police de la Basse-Meuse

    Dans sept mois, l’actuel chef de la zone de police de la Basse-Meuse partira à la pension. La procédure pour son remplacement est en cours. Et surprise, il n’y a que deux candidats. Le choix devrait se faire en mars ou avril prochain.

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    Le 1er août prochain marquera la fin de l’ère « Alain Lambert ». Après dix années passées à la tête de la zone de police de la Basse-Meuse, l’homme partira à la pension.

    Début novembre, la procédure pour lui trouver un remplaçant était lancée avec un appel à candidature. Les commissaires divisionnaires intéressés – c’est le grade requis pour pouvoir postuler – avaient jusqu’au début décembre pour rentrer leur candidature.

    Cet appel terminé, on connaît donc aujourd’hui les candidats. Et ils ne sont que deux. Une nouvelle quelque peu surprenante. La zone de police a en effet très bonne réputation, elle dispose d’infrastructures qui lui sont enviées et de finances très saines. De plus, c’est une zone de défis, voisine de deux pays avec la criminalité trans-frontalière qui peut en découler.

    Elle s’étend également entre ville et campagne (Bassenge, Blegny, Dalhem, Juprelle, Oupeye et Visé), avec les problématiques spécifiques qui vont avec. Le président de la zone de police, Serge Fillot, s’attendait donc à avoir quatre, cinq voire six candidatures. Il n’en est donc rien puisqu’ils ne sont finalement que deux.

    Lentz Vs Dejace

     

    Et le premier d’entre-eux n’est absolument pas une surprise puisqu’il s’agit de Jean-Luc Lentz. Il travaille au sein de la zone de police de la Basse-Meuse depuis près de cinq ans. Il occupe la fonction de chef de zone adjoint après avoir été directeur de la proximité. Et si sa candidature n’est pas une surprise, c’est notamment parce qu’il vient tout récemment d’obtenir son brevet de direction, et donc de devenir commissaire divisionnaire. L’homme ne s’était jamais non plus caché qu’il était candidat au poste d’Alain Lambert.

     

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                                                                     Christian Dejace (SP)

    Le second et dernier candidat est une demi-surprise. Il s’agit de Christian Dejace, chef de la zone de police Beyne/Fléron/Soumagne depuis 2008. Demi-surprise parce que, en octobre dernier, son nom circulait déjà comme candidat potentiel. Lorsque nous l’avions interrogé, il laissait néanmoins planer un certain doute sur ses intentions : « Une rumeur reste une rumeur. J’en suis à mon 3e mandat ici à Beyne/Fléron Soumagne et je vais devoir demander un renouvellement début de l’année prochaine car je n’ai pas l’envie de partir. Néanmoins, il ne faut jamais fermer de porte. »

    La suite ?

    Les deux candidats connus, la procédure de sélection va encore connaître quelques étapes. « La commission se réunira une première fois en janvier, précise Serge Fillot, également bourgmestre d’Oupeye. Nous analyserons les candidatures et notamment les titres et mérites. Nous déciderons ensuite des étapes suivantes. »

    Le président de la zone n’a pas souhaité faire d’autres commentaires, préférant rester prudent. On se souvient en effet que depuis la fusion des polices, la zone de police de la Basse-Meuse a connu plusieurs couacs de procédures pour désigner ses deux chefs de zone précédents. Des procédures qui ont entraîné de nombreux recours au Conseil d’État. Pour y mettre fin, un accord financier était trouvé avec le candidat malheureux. Il avait touché 250.000 € pour arrêter tout recours. Un scénario que la zone ne veut pas réitérer.

    (Aurélie Drion pour La Meuse)

  • Cheratte : Alice et Laura revenaient des Pays-Bas avec 1.000 comprimés d'extasy

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    Alice (36) et Laura (29) arrêtées à Cheratte: les deux jeunes femmes revenaient des Pays-Bas avec 1.000 comprimés d’ecstasy!

    Mardi, la police fédérale des autoroutes (WPR) a procédé, lors d’une opération programmée et orientée recherche de « stups », à un contrôle sur la A25, à hauteur de la sortie Cheratte, dans le sens Pays-Bas/Liège.

    Deux demoiselles se trouvaient dans la voiture. Alice, âgée de 36 ans et domiciliée à Thimister-Clermont, était derrière le volant et sa passagère, Laura, 29 ans, était à ses côtés.

    Les policiers de la WPR ont d’abord repéré, dans l’habitacle de la voiture, deux petits sachets qui contenaient de faibles quantités de marijuana ainsi qu’un comprimé d’ecstasy. Une fouille plus approfondie du véhicule s’imposait donc et les limiers liégeois ont très vite mis la main sur 1.000 comprimés d’ecstasy, une drogue privilégiée par les aficionados des boîtes de nuit ou autre soirées électro. Les comprimés étaient dissimulés sous le siège.

    Perquisitions

    Cette découverte a poussé les enquêteurs à poursuivre leurs investigations. Ils se sont rendus à Thimister-Clermont et ils ont procédé à une perquisition consentie chez Alice. Là, ils ont encore mis la main sur 800 grammes de speed, une autre drogue stimulante proche des amphétamines. Sous l’effet du speed, le cerveau libère des hormones euphorisantes comme la dopamine ou la sérotonine.

    Enfin, les enquêteurs ont également retrouvé un peu de MDMA, une autre drogue synthétique, dissimulée dans la culotte d’Alice.

    Déjà condamnée

    Les deux jeunes femmes n’ont fait aucune difficulté. Elles ont expliqué qu’elles revenaient des Pays-Bas et elles ont reconnu le trafic de produits stupéfiants.

    Alice avait déjà été condamnée à Liège, en mars 2022, à une peine de 250 heures de travail ou, à défaut de prester le travail d’intérêt général, à deux années d’emprisonnement. Là aussi, il s’agissait d’importation et de trafic de produits stupéfiants.

    Avec cette peine de travail, le tribunal avait, clairement, laissé une seconde chance à Alice. Visiblement, la jeune femme n’a pas su la saisir puisqu’elle a repris son trafic de stupéfiants alors qu’elle était occupée à prester ses heures de travail d’intérêt général.

    Alice et Laura ont toutes les deux été privées de liberté pour la nuit. Mercredi, elles ont été déférées au palais de justice de Liège où le magistrat de garde a mis le dossier à l’instruction avec une double demande de mandat d’arrêt.

     

  • Visé : le magasin VOO braqué cet avant-midi