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Police - Page 6

  • Zone de police Basse-Meuse : Information de prévention

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    INFORMATION DE PREVENTION.

    Mesdames, Messieurs, Chers concitoyens bassi-mosans,

    La période actuelle faite de contrariétés liées à la gestion de la pandémie COVID mais également liée à cette vague de chaleur que nous subissons, a peut-être tendance à amoindrir notre rigueur.

    Je vous demande d'être particulièrement vigilants car nous venons de constater plusieurs vols dans des habitations non verrouillées, mais également des vols de ou dans des véhicules fermés, mais non verrouillés.

    Ressaisissons nous et faisons attention à ces petites choses qui peuvent avoir des conséquences très dommageables.

    Soyez attentifs
    Portez-vous bien

    CDP A. LAMBERT
    Chef de corps
    ZP Basse-Meuse

  • Zone de police Basse-Meuse : marre du lynchage médiatique !

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    Mercredi après-midi, Alain Lambert, le chef de zone, n’avait encore eu vent que des actions organisées dans deux commissariats de quartier de la zone de la Basse-Meuse. « Maintenant, mes policiers vont-ils mettre quelque chose en place au commissariat central ? Ce n’est pas encore décidé. Personnellement, je ne m’y joindrai pas, mais je les soutiens évidemment. On fait trop vite l’amalgame entre notre travail et la situation américaine. Alors que ce ne sont pas les mêmes fonctionnements policiers. C’est tout simplement hors contexte. Alors oui, il y a des incidents, qu’il faut dénoncer et soumettre à des enquêtes. Mais ils sont marginaux par rapport au nombre de policiers engagés dans la police et par rapport au nombre d’interventions. »
    Dans les couloirs, le chef de corps de la Basse-Meuse a pu entendre des policiers s’exprimer sur ce phénomène ambiant. « Oui, je pense qu’il y a un ras-le-bol », poursuit-il. « La disponibilité des policiers a été intense ces derniers mois, notamment pour faire respecter les mesures Covid-19. Il y a aussi une fatigue qui s’est installée et, avec elle, des sentiments qui sont désormais exacerbés. »

    Et comme toutes les polices du Royaume, la Zone Basse-Meuse a marqué sa réprobation quant aux amalgames et aux clichés stigmatisés qu’elle doit subir à la suite des évènements qui se sont déroulés aux USA et qui concerne le décès du nommé Floyd.

    Comprenons-les, nos policiers, ils font l'objet d'un véritable lynchage "citoyen" ainsi que médiatique pour des faits dont ils ne sont en rien responsables. 

  • Visé : deux dealers interceptés avec des stupéfiants et des faux billets

    Samedi, peu avant 20 heures, les douanes et la police des autoroutes procédaient à des contrôles Covid-19 à la frontière entre les Pays-Bas et la Belgique. Comme depuis quasiment un mois, les contrôles se déroulent sur un parking situé peu avant Visé, dans le sens Maastricht-Liège.

    Dans une voiture dans laquelle se trouvait un Sérésien né en 1997 et un Liégeois né en 1999, les policiers ont trouvé un sac qui contenait 53 grammes de cannabis mais aussi 1.115 € en fausse monnaie.

    L’un des deux jeunes hommes a expliqué que la drogue lui appartenait et que son ami n’avait rien à voir dans cette histoire. Seul hic pour cet ami, c’est sa voiture qui a été utilisée pour ramener en Belgique la drogue en provenance des Pays-Bas.

    Interrogé sur ses ressources financières alors qu’il émarge au CPAS de sa commune, le narcotrafiquant a simplement avoué qu’il avait acheté la drogue avec des faux billets. Tout devient, évidemment, plus simple.

    Privés de liberté, les deux hommes ont été déférés, dimanche matin, au palais de justice de Liège. Le magistrat de garde a mis le dossier à l’instruction. La voiture, la drogue et l’argent ont été saisis. (Sudpresse)

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  • La police de la Basse Meuse vient de démanteler une culture de cannabis à Haccourt

    Généralement, les plantations de cannabis sont découvertes grâce aux gestionnaires du réseau électrique que sont Ores ou Resa. En effet, ces derniers détectent une consommation anormale d’électricité et préviennent, dans la foulée, les autorités judiciaires. Mais la plantation découverte, jeudi, vers 15h40, à Haccourt, elle, a été repérée en raison d’une consommation anormalement élevée d’eau qui alimentait les différents humidificateurs destinés à faire pousser, à grande vitesse, les 1.500 plants de cannabis.

    Le propriétaire de deux hangars mis en location dans un zoning derrière l’ancien abattoir de poulets situé Cale Sèche à Haccourt avait repéré une consommation anormale d’eau dans ces deux établissements. Il a prévenu son gestionnaire de réseau qui a fait le nécessaire. Le propriétaire des hangars a été entendu par les policiers avant d’être mis hors de cause.

    Plusieurs perquisitions

    Jeudi, vers 15h40, les enquêteurs de la police de la Basse-Meuse ont mené une série de perquisitions et ont interpellé deux individus sur les lieux. Un Oupéyen et un Albanais sans domicile connu ont été interpellés et privés de liberté. Les policiers ont mené une visite domiciliaire chez l’Oupéyen. Aucun des deux hommes ne possède d’antécédents judiciaires spécifiques hormis un dossier roulage pour l’habitant d’Oupeye.

    Il fait peu de doute que les deux individus étaient bien occupés à gérer et à travailler dans la plantation de cannabis. Une plantation que plusieurs intervenants de ce dossier qualifient de très professionnelle aux allures de laboratoire avec du matériel high-tech.

    Les enquêteurs de la Basse-Meuse sont restés sur les lieux durant une bonne partie de la nuit de jeudi à vendredi pour surveiller la marchandise mais également pour vérifier si un ou des complices se présentaient à l’adresse.

    Dès vendredi matin, les hommes de la protection civile ont investi les lieux pour démanteler la plantation de cannabis. Les plants ont évidemment été saisis, tout comme le matériel installé dans les hangars. Le touts sera détruit.

    L’Oupéyen et l’Albanais privés de liberté ont passé la nuit en cellule. Vendredi matin, ils ont été déférés au palais de justice de Liège. Le magistrat de garde a mis le dossier chez le juge d’instruction et a requis un mandat d’arrêt à leur encontre.

    L’enquête se poursuit et elle tente désormais de vérifier si d’autres complices faisaient partie de l’entreprise délictueuse. (Arnaud Bisschop)

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  • La zone de police Basse-Meuse vous informe

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    ⚠️ Information importante ⚠️

    Chers habitants de la zone de police de la Basse-Meuse,

    En ces temps difficiles pour tous, les Autorités sont bien conscientes de l’effort considérable qui est demandé à chacun d’entre nous.

    Les mesures strictes en vigueur ont pour but de museler ce virus qui n’épargne personne.

    Pour qu’elles soient efficaces, ces mesures doivent être respectées par tous. Les quelques inconscients qui refusent de comprendre et mettent en danger le reste de la population seront inlassablement recherchés et poursuivis.

    Il en va de la santé de tous nos concitoyens !

    Je voudrais donc clarifier certaines choses à propos de la procédure de poursuite.

    Depuis le début du confinement, la Zone de police de la Basse-Meuse a dressé 304 procès-verbaux.

    Ces procès-verbaux seront traités par le Parquet et la sanction prévue est une transaction immédiate de 250 euros pour les particuliers et 750 pour les commerçants.

    Les contrevenants recevront donc un virement à payer par banque. En cas de non-paiement, une citation est alors l’étape suivante.

    Dans cette optique, la Zone de police de la Basse-Meuse va continuer ses contrôles. Il y aura également de plus en plus de contrôles routiers afin de vérifier la légitimité des déplacements.

    Il s’agit évidemment d’une priorité. N’espérez donc aucune clémence.

    Je vous demande de ne plus signaler ces contrôles via les réseaux sociaux afin de permettre aux policiers d’être plus efficaces dans la recherche de ces inciviques dont l’attitude pourrait mener à un prolongement des mesures de confinement.

    Merci de votre compréhension.
    Prenez soin de vous et de vos proches.

    JF DUCHESNE
    Chef de zone adjoint

     
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