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  • Nouvel itinéraire pour le Marathon de Visé

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    Nouveau nom, nouveaux parcours pour le marathon, le semi-marathon, les 5 et 10 km (championnat LBFA) avec une arrivée à côté de l’île Robinson à Visé le dimanche 7 mai. 
     
    Nouveauté, sera le maître-mot pour cette 24e édition du Maasmarathon à Visé le dimanche 7 mai.
    A commencer par le nom qui devient le Schneider Electric Maasmarathon. Schneider accompagne la transformation numérique en intégrant les technologies de l’énergie et des automatismes les plus avancés.
    « Schneider et Visé ont des valeurs communes. Nous sommes partenaires du marathon de Paris que j’ai couru et j’ai été encouragé par tout le monde que je ne connaissais pas ! C’est la même ambiance à Visé », indique Tim Saerens, responsable marketing.
     
    Ile Robinson
     
    Autre nouveauté: le lieu de départ et d’arrivée sur le halage à côté de l’île Robinson.
    « Cet événement irradie la Ville de Visé et va permettre à des milliers de personnes de découvrir l’île Robinson. Je remercie les communes voisines d’Eisden, Fouron et Mouland ainsi que le service des Sports de Visé et la police de la Basse-Meuse pour ces nouveaux circuits », annonce la bourgmestre Viviane Dessart.
    « L’ASBL organisatrice des marathoniens des produits wallons s’est réinventée. Il n’était pas possible cette année de partir de la place Reine Astrid en pleine rénovation. Nous allons installer 10 chapiteaux sur l’île Robinson puisque nous ne pourrons pas disposer des locaux habituels du centre-ville », prévient l’échevin des Sports, Julien Woolf.
    « Nous voulons sans cesse améliorer l’accueil des participants. Et nous voulons contribuer à la notoriété de la ville de Visé et des communes traversées pour amplifier le tourisme d’un jour ou d’un week-end pour toute la région frontalière du bord de Meuse », insiste Tony Guarino, le président-organisateur avec le RFCL Athlétisme section Visé et le soutien de la députée provinciale en charge des Sports., Katty Firquet, et de la Ministre des Sports, Valérie Glatigny.
    Le Kiwanis Club Visé Basse-Meuse assure de son côté l’organisation et le service de la pasta-party gratuite pour les marathoniens et semi-marathoniens inscrits au 30 avril prochain puis le service du café matinal dès 7h le 7 mai.
    Cette année, le parcours transfrontalier du marathon est composé de 2 boucles de 21 km. Départ à 9h le dimanche 7 mai du marathon et du semi avec un ravitaillement tous les 2,5 km et de nombreuses animations musicales tout au long du parcours et à l’arrivée, une aire de récupération avec dégustation gratuite des produits du terroir.
    « Ce sera un gros défi de voir arriver sur le chemin de halage de 3m de large tous les concurrents du marathon, du semi, des 5 et 10 km (départs à 9h30) après les enfants sur 300m et 1km », avoue Eric.
    « Nous avons le record mondial de la catégorie messieurs 70 ans par un concurrent de 71 ans sur le marathon en 2h54’19’’ et le record du semi-marathon en 1h03’ », précise encore Eric Joway.
    « Nous espérons voir 3.000 participants au départ », conclut Tony Guarino.
    (Marc Gérardy pour La Meuse)
  • Basse-Meuse : Christian Dejace en tête pour devenir le chef de corps de la zone de police  

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    Ce mercredi matin, Christian Dejace et Jean-Luc Lentz ont exposé leur vision pour la zone de police de la Basse-Meuse devant un parterre de choix. Ce dernier a dû trancher : Christian Dejace est en première place pour prendre la tête de la zone.  
    Le 1 er août, Alain Lambert quittera la police de la Basse-Meuse pour prendre une retraite bien méritée. Le Collège de police avait fait montre d’une belle anticipation pour lui trouver un remplaçant, puisque le poste a été ouvert en novembre 2022. Les commissaires-divisionnaires intéressés avaient alors jusqu’au mois de décembre pour postuler.
    Deux candidats avaient déclaré un intérêt pour la fonction :
    Le premier était Jean-Luc Lentz. Il travaille au sein de la zone de police de la Basse-Meuse depuis près de cinq ans et occupe la fonction de chef de zone adjoint, après avoir été directeur de la proximité. Et si sa candidature n’était pas une surprise, c’est notamment parce qu’il a récemment obtenu son brevet de direction. Il a donc le grade de commissaire-divisionnaire, sésame indispensable pour postuler. De plus, l’homme n’avait jamais caché son envie de prendre la succession d’Alain Lambert.
    Le second faisait plutôt figure de surprise. Il s’agit de Christian Dejace, chef de la zone de police Beyne/Fléron/Soumagne depuis 2008. En octobre dernier, son nom circulait déjà. « Une rumeur reste une rumeur », avait-il déclaré dans nos colonnes. « J’en suis à mon troisième mandat, ici, à Beyne/Fléron Soumagne et je vais devoir demander un renouvellement début de l’année prochaine, car je n’ai pas l’envie de partir. Néanmoins, il ne faut jamais fermer de porte. »
    Ce mercredi
    La commission de sélection s’est réunie ce mercredi matin. Les deux candidats ont été soumis au feu nourri des questions du Procureur du Roi de Liège, du président de la zone de police, d’un intervenant externe et d’un autre chef de corps. À l’issue de cette commission, un classement a été proposé. À bonne source, nous avons appris que c’est Christian Dejace qui arrive en tête de celui-ci. Jean-Luc Lentz est donc second.
    « Vu le contexte serein mais complexe dans le cadre du renouvellement d’un chef de corps, je m’abstiendrai de tout commentaire jusqu’à la désignation officielle qui doit intervenir le 21 juin », déclare Serge Fillot, bourgmestre d’Oupeye.
    Le 21 juin prochain, en effet, le Conseil de police devra se prononcer sur ce classement, sur base du rapport de la Commission locale de sélection, de l’avis du Procureur général, du gouverneur et du Collège de police. Généralement, le classement est suivi, mais on n’est jamais à l’abri d’une surprise. Le candidat retenu devra encore faire l’objet d’un arrêté, soumis à la signature du ministre de l’Intérieur. Une fois que cet arrêté sera publié au Moniteur, le chef de corps pourra entrer en fonction.
    La zone de police de la Basse-Meuse a plutôt une bonne réputation. Elle dispose d’infrastructures plutôt récentes et offre de nombreux défis. À charge du futur chef de corps de les relever.
    Allison Mazzoccato pour La Meuse