Chantal Lehane se désole devant les tonnes de pommes perdues
(Photo TVA)
Luc Gochel
Les conséquences directes de l’embargo russe décrété en août se font concrètement sentir aujourd’hui dans notre région. Après avoir récolté et stocké une bonne partie des poires, les fruiticulteurs de la Basse-Meuse n’ont plus de place dans leurs frigos pour stocker les pommes. Du coup, ils les laissent pourrir sur le sol…
C’est un spectacle de désolation qui se dresse devant nous. Des milliers et des milliers de belles pommes, bien rouges, aux circonférences énormes, sont en train de pourrir au pied des arbres. Et au moindre coup de vent, des dizaines d’autres viennent les rejoindre.
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