Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Alerte à la bombe dans quatre écoles de Visé : un mineur auditionné par la police, il s’agit d’un élève !

Quatre établissements scolaires ont été fouillés par la police.

Branle-bas de combat, ce mardi matin, du côté de Visé. Quatre écoles ont été visées par une alerte à la bombe, des fouilles ont été menées par la police dans les établissements scolaires. Tout est rentré dans l’ordre peu avant 9 heures. Un mineur a été interpellé.

Ce lundi soir, la direction de l’Institut du Sacré-Cœur de Visé a reçu un mail indiquant une menace d’alerte à la bombe et d’attentat à l’encontre des écoles de Visé. La direction a immédiatement prévenu les services de police.

17550723.jpeg

« Tous les hommes disponibles de la zone de police de la Basse-Meuse ont été mobilisés ce mardi matin. Ils se sont rendus dans les quatre écoles de la Ville de Visé en compagnie des directions et tous les bâtiments ont été fouillés pour voir s’il n’y avait rien de dangereux ou de suspect dans les bâtiments de l’Institut du Sacré-Cœur, du Collège Saint-Hadelin, de l’Institut Saint-Joseph et de l’Athénée royal de Visé. Les fouilles ont débuté tôt ce mardi, dès 7 heures, et rien n’a été découvert. Il a été demandé aux élèves et aux enseignants d’attendre dehors, le temps des fouilles. Rien n’a été découvert et tout est rentré dans l’ordre aux alentours de 8 h 45 », précise Fabian Mortier, directeur de l’intervention.

17550697.jpeg

Cela a évidemment créé quelques embarras de circulation dans le centre de Visé ce mardi matin. Mais les élèves et les enseignants ont donc pu rentrer dans les quatre écoles et n’ont raté que la première heure de cours, voire moins.

Un mineur identifié

Et ce mardi après-midi, un mineur, élève d’une des quatre écoles, a été interpellé et auditionné par la police de la zone Basse Meuse avec son avocat. On ne connaît pas encore les motivations de cet élève qui l’ont poussé à envoyer cette alerte à la bombe par e-mail.

(Marc Gérardy)

Les commentaires sont fermés.