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Fête de la Jeunesse Laïque

Comme chaque année, revoici la Fête de la Jeunesse Laïque à Blegny-Mine.

Pour des raisons d’agenda, elle se tiendra exceptionnellement plus tôt : le 24 avril.

Les enfants ayant suivi le cours de morale non confessionnelle au sein des écoles de Visé, Fourons, Dalhem, Blegny, Juprelle et Bassenge s’y retrouveront, encadrés par leurs professeurs de morale.

Cette fête marque le passage de l’enfance à l’adolescence, le passage de l’école fondamentale à l’école secondaire. Elle réunit les jeunes, leur famille, leurs amis et les associations laïques organisatrices : le CAL Basse-Meuse et la Maison de la Laïcité de Visé.

Durant cette fête, aucun serment n’est demandé ; l’accent est mis sur l’esprit de tolérance, de citoyenneté, de solidarité, de justice et de fraternité, que le jeune aura acquis aux différents cours de morale ; il y est fait appel à son sens critique.

Lors de cette fête, les discours, les textes lus, les chansons, les spectacles rendent hommage à nos différentes valeurs.

Nous souhaitons, dès à présent, une toute belle fête aux enfants et à leur famille !

Claire Dethioux, pour Culture et Action laïque de la Basse-Meuse

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La fête de gymnastique organisée annuellement par le club de Visé est déjà une très vieille manifestation.  Elle avait déjà lieu à une époque où le Hall Omnisports n’existait pas encore et il date de 1981.

Parmi les nombreuses motivations qui nous avaient poussés à la création de ce hall, figure l’organisation de cette fête annuelle qui se faisait tant bien que mal dans un établissement scolaire.  Elle n’était pas la seule et c’est la raison pour laquelle Pierrette Cahay, Pierrot Brouha et moi-même avons fait le « forcing » pour la réalisation de cette infrastructure âgée aujourd’hui de 35 ans.

Nous avons toujours eu beaucoup d’admiration pour le club de gymnastique.  Il s’agit d’un sport ouvert aux plus petits enfants et nous sommes convaincus que c’est dès le plus jeune âge qu’il faut que les jeunes pratiquent un sport.  Certes plus tard, certains se lancent dans des compétitions de gymnastique et d’autres bifurquent vers d’autres sports. Mais l’essentiel est que le goût de l’effort physique soit créé et développé le plus tôt possible.

Notre société n’est évidemment pas la première à avoir compris l’importance du sport.  Juvénal avait déjà écrit « mens sana in corpore sano » (un esprit sain dans un corps sain) et avant lui, Platon parlait d’une éducation « en mousike et en gymnasia », c’est-à-dire axée sur les facultés intellectuelles et physiques.

Le 30 mars  2016,

Marcel NEVEN

                                                                                                Photo TVA 

Mardi, Marcel Massen (56 ans) s’est immolé dans son jardin alors qu’il coupait du bois avec son épouse, Corinne (54 ans). Celle-ci, submergée par le chagrin, s’est jetée sous un train deux jours plus tard. (Rédaction en ligne)

Retrouvez cette information dans La Meuse Liège de ce samedi 2 avril.