Opération charme ce dimanche à l'Institut St Joseph, rue de la Croix Rouge à Visé. L'école a offert la possibilité de visiter les ateliers des diverses sections. Les visiteurs ont pu ainsi  rencontrer des élèves au travail et leurs professeurs, mais aussi entamer la discussion et se faire expliquer ce qu'ils étaient en train de fabriquer, voir leurs projets. On pouvait également admirer les travaux réalisés par certains étudiants. Cela allait de la menuiseries et l'ébénisterie (escaliers, tables...), l'électricité (bâtiment, domotique, solaire), l' électronique (programmation de machines, création de programmes), au travail sur machines outils (fraisage, tournage), la mécanique automobile (réparations, entretien essence et diesel) ainsi que la soudure et la construction métallique. J'ai trouvé cette visite particulièrement intéressante moi qui ai, selon l'expression, "deux mains gauches" (et en plus je suis droitier). Les élèves ne demandaient qu'a faire partager leurs connaissances et montrer ce qu'ils savaient faire. Bravo.

                                                      Menuiserie - Ebénisterie

Mécanique - Usinage

Electricité - Electronique

Mécanique automobile

Construction métallique - Soudure

Petite restauration - Cuisine de collectivité

Ce samedi avait lieu la journée découverte à l'Institut St Hadelin, rue des Déportés à Visé. Cette manifestation s'adressait plus particulièrement aux parents et enfants de l'école primaire, ainsi qu'à ceux qui allaient entrer en première secondaire. "Le bâtiment en construction se compose de sept nouveaux locaux, dont cinq classes"explique Christine Ancion, la directrice de l'Institut. "Il comprend sept nouveaux locaux, donc cinq classes. Trois cents enfants fréquentent quotidiennement l'établissement, il faut pouvoir les héberger dans les meilleurs conditions."  

Gilbert Lesoine, le directeur du Collège (secondaire) présentait lui aussi son établissement à ceux qui désiraient le fréquenter à la rentrée. "Nous avons déjà 297 élèves inscrits en première année, confiait-il. C'est un record, nous allons avoir treize classes d'accueil !"      

C'est ce week-end que Guy Mollers et sa famille ont fêté les vingt ans de leur établissement. Le Tsuko dog peut héberger 40 chiens dans des chenils individuels, comportant chacun une partie jour et une partie nuit. De plus, la journée, les animaux peuvent se défouler sur un des cinq terrains clôturés. L'élevage canin n'est pas oublié : on y trouve des Bergers allemands, des Bouledogues français, des Shetlands ainsi que des Shar-Pei et des Boemer (croisement entre un mâle bichon et une femelle shihtzu). Le domaine comprend également un terrain d'agility ainsi qu'un centre d'éducation.

Nancy, la fille de Guy, s'occupe plus particulièrement du toilettage. Elle vient de lancer la "coloration" à partir de produits naturels, sans ammoniaque. Une chatterie peut également accueillir vos félins, les nouvelles cages sont aux normes de l'AFSCA. Une boutique peut aussi vous procurer ce que vous estimeriez utile au confort de votre animal préféré.

Un photographe présent pouvait immortaliser votre petit compagnon à quatre pattes.

C'est mon premier, peut-être pas le dernier. Petit rappel des faits :

Le 13 juillet 2010, un service de la police de la Basse Meuse prenait en chasse un véhicule dont les occupants venaient de commettre un vol avec violences (femme de ménage de 72 ans brutalisée, ligotée, jetée au sol, ainsi qu'un autre occupant de la maison) Les policiers ne sont pas armés, ils reviennent de funérailles. Le passager de la voiture poursuivie se penche alors par la portière et tire plusieurs coups à l'arme de guerre dans le pare-brise du combi. Un policier est blessé par balle au visage.

L'affaire vient de connaître son épilogue au Tribunal Correctionnel de Liège. Pour le Tribunal, présidé par Madame Cabus, le fait pour un militaire (qui fuit après avoir commis un vol avec violences) de tirer à l'arme de guerre dans le pare-brise d'un combi de police et à hauteur de tête ne signifie pas nécessairement qu'il a voulu tuer le policier. Il voulait quoi alors, Madame la Présidente, lui envoyer des pruneaux dans le cas où il voudrait "cuisiner" un lapin ?   

Charles Havard, le Secrétaire communal de Visé, vient de publier son second roman.  Sorti aux Editions Persée, "Le doigt de Charles IX t'ordonne d'assassiner le Président de la République" est disponible soit auprès de l'auteur, soit chez l'éditeur.

Présentation de l'ouvrage sur : charles.havard@publilink.be 

Prix de vente : 20 € frais de port compris ou 18 € auprès de l'auteur.