Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Enseignement

  • Les lauréats du concours "Maria Lennertz" sont connus

    Sans-titre-2.jpeg

    Le concours Maria Lennertz a une fois de plus primé de jeunes lauréats qui ont pris part à ce concours annuel organisé par la Ville de Visé et les établissements scolaires de l’entité. 

    Ce concours récompense les élèves qui ont fait preuve d’un comportement civique, d’un engagement particulier à l’attention de la collectivité ou encore d’une attitude citoyenne et responsable envers leurs condisciples !

    Pour rappel, Maria Lennertz, ancienne Visétoise et ancienne résistante fut internée au camp de Ravensbruck durant la seconde guerre mondiale. La ville de Visé a donc instauré un prix pour récompenser l’esprit civique et le sens des responsabilités tels que le souhaitait Maria Lennertz. Destiné aux élèves de 6ème primaire de l’entité, celui-ci honore la mémoire de Maria Lennertz mais aussi les valeurs et les preuves de civisme au sein de notre société.

    Les lauréats de cette année sont : 

    - Odin PHAM – Alessio ANTONINI-SMEYERS – Eloyse PALUMMIERI – Cassandre GARNIER LE BIHAN – Onur Can DINC – Florine CRENIER – Rawabie AL RIFAIE – Manon SCOHIER  – Zoé UYTTENDAELE – Farah LACHGAR – Elise LEROI – Steven THYS – Laurana RASSENFOSSE – Alexandre VASTMANS – Andrei COJOCARU – Claire HALLEUX – Nil FIRAT – Laure HAENEN – Jawed BASHA – Eva DOMFEH

    Félicitations à tous pour leur comportement exemplaire ! 

    (Source : Bulletin communal)

  • Prestation de serment des jeunes du Conseil Communal des Enfants

    fullsizeoutput_177d0.jpeg

    Ce mardi 18 octobre à 18h30 a eu lieu la prestation de serment des nouveaux "Jeunes Conseillers" du Conseil Communal des enfants. Les autorités communales, les enfants, les parents et les enseignants se sont retrouvés dans la salle des mariages de l'Hôtel de Ville. Madame le Bourgmestre, des Echevins et conseillers communaux assistaient à la cérémonie.

    Elus pour une mandature de deux ans, ils sont issus des 5è et 6è années primaire de toutes les écoles de l'entité. Les jeunes qui ont quitté le cycle primaire en juin devaient donc être remplacés. Quatorze nouveaux conseillers ont été installés, portant à 27 le nombre total de membre. 

    Voici la liste nominative complète des jeunes élus ainsi que l'établissement scolaire fréquenté :

    - Ecole Saint-Joseph de Cheratte Haut

      Islam LEBEAU et Sofia FAIENZA

    - Ecole communale de Richelle

       Maurice WOOLF

    - Ecole communale de Cheratte Haut

       Elisa BORSU et Tuana KARADAS

    - Ecole libre de Richelle

       Tom RUWET et Hélène FOEGAN

    - Institut Saint-Hadelin de Visé

       Cassandre GARNIER Le BIHAN, Augustin de BELAIR, Sofia BANDT et Yasmine KARROUCH

    - Athénée Royal de Visé

       Maxime THYS, Marc STEPANOV, Loris CAVEDON et Medhi WILLEMS

    - Ecole Notre-Dame de Cheratte Bas

       Aleyna HALACOGLU

    - Ecole communale de Sarolay

       Iris ETIENNE et Robin JOASSART

    - Ecole communale de Cheratte Bas

       Farah LACHGAR et Yavuz Selim YESILYURT

    - Ecole communale de Lixhe 

       Loucas BOULTON

    - Ecole communale de Devant-le-Pont

       Léa DE SUTTER, Evguenia RIMEAU, Juliette FAFCHAMPS et Lorenzo LO VETERE

    - Ecole communale de Loën

       Zoé UYTTENDAELE 

    - Ecole communale de Lanaye

       Ambre HAEYEN

    (texte et photo P. Neufcour)

  • LES VACANCES SCOLAIRES, BEAUCOUP DE VARIANTES DEPUIS NOTRE INDEPENDANCE

    531939FC-37FF-48C9-97B7-6EFEE683D2C7_4_5005_c.jpeg

    Les dons faits au musée sont souvent comme des pépites. Par un employé communal, Pierre V.M, nous avons reçu sous enveloppe un palmarès de l’école moyenne de l’Etat (pour garçons) du 13 août 1885. Pour ceux qui ne le sauraient pas, cette école fondée en 1851, remplaça l’école des Sépulcrines et un Collège appelé St-Hadelin (à ne pas confondre avec le collège épiscopal Saint-Hadelin, fondé en 1881, après la première guerre scolaire face à la réforme Van Humbeek) ; C’est donc le centre culturel actuel.

    Tant les élèves des 4 années de la section préparatoire (le primaire), que ceux des 3 années de la section moyenne (secondaire inférieur) sont renseignés avec des noms de famille toujours présents en notre ville : Perot, Frenay, Bastin, Dossin, Bruyère……L’opuscule de 36 pages donne un grand nombre de variétés de prix. Selon l’importance, il y a les prix, puis les accessits puis les mentions honorables, ou mentions simples sans oublier les prix d’excellence. Le palmarès n’est pas global comme ceux que nous avons connus jusque dans les années èà, mais par groupe : le 1er (Français), le 2eme (Histoire-Géographie), le 3e (Calcul, Formes géométriques et sciences naturelles) puis par prix particuliers (Religion, Ecriture, Dessin, Chant et encouragement). Au niveau de l’école moyenne, les mentions et prix particuliers changent . Ainsi trouve -t-on un groupe (Langue allemande en 1ere année et langues modernes en 2e année) et les prix particuliers comme le dessin, la musique, la gymnastique). Terminent ce livret, les diplômes de sortie avec 4 heureux élus MM. Crévecoeur, Henry, Cerfontaine et Biver. Le tout signé par le bourgmestre de Visé d’alors J.Scuvie et le directeur de l’école M.Crévecoeur. Quant au concours général de 1884 entre les élèves des écoles moyennes liégeoises, deux promus Martin Richard et Ernest Bruyère ! Le personnel enseignant comprenait 4 régents, 5 instituteurs, 2 professeurs de dessin, un de gymnastique et un maître de musique (M.Jaminet).

    Deux autres points intéressants dans ce livret : 1. l’origine des élèves principalement visétois mais aussi venus parfois de notre province (dans sa figuration actuelle) : Angleur, Beyne-Heusay, Boirs, 2 provenant de Bombaye, 2 de Comblain-au-Pont, 2 de Dalhem, 4 d’Eben-Emael, 2 de Francorchamps, 7 de Haccourt, 7 de Hermalle, 4 de Herstal, 2 de Heure-le-Romain, 2 de Housse, 3 de Houtain-Saint-Siméon, Petit-Lanaye, 20 de Liège, 2 de Lixhe, Membach, Montegnée, Mortroux, Queue-du-Bois, Retinne, Richelle, 2 de Saive, Sclessin, 4 de Spa, Vaux-Sous-Chevremont, 2 de Verviers, Waremme, 2 de Warsage, Wegnez, Wissembach ou de plus loin en Belgique : Anvers, Arlon, 2 de Bruxelles, Capelle, Gosselies, , La Hulpe, Lodelinsart, Marchienne, , Mechelen, Mouland, Namur, Spy. Et même des étudiants de l’étranger , Aix-la-Chapelle – D, Choisy-le-Roi - F, 3 d’Eysden NL, Givonne – F, 2 de Gronsveld -NL, Herzogenrath - D , Maestricht – NL, Martelange, - LUX, Mesch -NL, Paris – FR, Vous l’aurez deviné, il y avait un internat réputé dirigé par M.Depas assisté de deux surveillants Messieurs Paque et Jodogne et dans ce staff professoral aucune femme à cette époque.

    2. Les vacances d’été ? Alors que pour la rentrée scolaire prochaine 2022-2023, dans l’enseignement obligatoire, les 2 mois ou 9 semaines de vacances d’été seront un peu réduits de 2 semaines soit 7 semaines, il est intéressant de se pencher sur le passé des vacances scolaires. L’obligation scolaire jusqu’à 14 ans promulguée en 1914 fut appliquée effectivement en 1919. Dans ce palmarès de 1885, la distribution des prix eut lieu le jeudi 13 août, inaugurant le temps des vacances qui se termina le lundi 5 octobre, soit 7 semaines Pour l’école Notre-Dame (de filles) créée rue Basse par les sœurs de Notre-Dame de Namur en 1835, on sait que la distribution des prix eut lieu le samedi 1er août 1914 et que la rentrée aurait dû avoir lieu à la mi-septembre, soit aussi 7 semaines. Pourquoi les vacances n’eurent-elles pas lieu plus tôt ? Dans un monde encore très rural, ce temps de liberté était consacré à aider les parents aux moissons.

    Autre détail, le congé à mi semaine se tenait jusque dans l’après-guerre le jeudi sachant que l’école se tenait encore tout le samedi. Puis on choisit comme congé le mercredi après-midi ainsi que le samedi après-midi. C’est en 1968-1969 que le samedi fut entièrement jour de congé, les 4 heures supprimées du samedi matin réparties sur les 4 autres jours pleins. (lundi, mardi, jeudi, vendredi).

    Jean-Pierre Lensen (pour le MAHVI)

  • Voici tout ce que la réforme des rythmes scolaires va changer en 2022

    B91D12AE-4CA5-402F-AD5A-56E95AC64726.jpeg

    Belga / J. A. Gekiere

    L’originalité de la réforme, c’est que pour la première fois, on va concevoir les rythmes scolaires au départ des besoins de l’enfant, comme l’expliquent nos confrères de Sudinfo dans le détail ici. Ce projet va concerner toute la société et donc toutes les compétences de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

    Au premier rang, 900.000 élèves, 1,8 million de parents et plus de 100.000 enseignant(e)s. Concrètement, les grandes vacances vont être un peu rabotées : si tout va bien, la prochaine année scolaire commencera le lundi 29 août et se terminera le vendredi 7 juillet, en 2023. L’année se déroulera alors au rythme de sept semaines de cours suivies de deux semaines de congés (sauf aux grandes vacances bien sûr), ce qui doublera la durée les congés d’automne (ou de la Toussaint) et du Carnaval.

    Lutter contre les inégalités scolaires

    Conséquence immédiate : un certain décrochage des vacances par rapport aux dates clés qui les concernent. Pas vraiment à la Noël, mais le dimanche et le lundi de Pâques seront déconnectés des deux semaines de vacances. Quant au Carnaval, la ministre de l’Éducation, Caroline Désir (PS) a assoupli son projet (les 7 semaines de cours pourront être 6 ou 8) pour permettre au Mardi Gras de ne pas tomber en dehors de la période.

    Un projet qui veut aussi lutter contre les inégalités scolaires. Plus d’un spécialiste de l’enseignement a déjà relevé que deux mois de vacances d’été, c’est très long et cela a une influence sur les apprentissages. Or, moins les enfants ont de « milieux porteurs » pendant cette période, ce qui est plus souvent le cas dans les milieux plus défavorisés, plus la perte d’apprentissage est grande et plus les inégalités se creusent.

  • Corona : marche arrière dans nos écoles

    La situation épidémiologique dans le pays a incité les acteurs de l’enseignement à prendre de nouvelles mesures en Wallonie. Aujourd'hui encore, toutes les écoles de la région wallonne vont recevoir une circulaire annonçant un retour en arrière concernant le port du masque. Les élèves des écoles secondaires wallonnes vont à nouveau être astreints au port du masque en permanence à l’école dès la  rentrée . Ainsi en ont décidé cet avant-midi la ministre de l’Éducation et les acteurs de l’enseignement.

    Depuis la rentrée scolaire,  enseignements et élèves pouvaient laisser tomber le masque une fois assis à leur bureau. Cette mesure ne sera plus d’actualité dès le 8 novembre. Comme à Bruxelles, élèves et enseignants devront garder le masque en permanence, même lorsqu’ils sont assis, et plus uniquement lorsqu’ils se déplacent.

    Cette dernière mesure concerne uniquement les enseignants dans le primaire. Pour le secondaire, les élèves sont également concernés.

    Par ailleurs, la circulaire va rappeler l’importance de la ventilation des locaux.