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Visé-infos - Page 351

  • Histoire : Trois répertoires des plus intéressants viennent de sortir de presse et la Basse-Meuse n’est pas en reste

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    Le service public de Wallonie a déjà son centre d’archives, situé au Moulin de Beez (Namur). En plus de conserver des anciens documents de la toute jeune région wallonne, les archivistes comme Pierre de Spiegeler, Philippe Gémis et Michel Weyssow ont déjà publié trois répertoires des plus intéressants.

    Le premier concerne les archives de la direction de la restauration de …1896 à 2001. Penchons nous sur notre région et ce qui fut restauré ou envisagé : Berneau et son château des Comtes de Borchgrave, Bombaye avec son église St Jean-Baptiste et son étonnante chapelle de la Tombe, Cheratte et la Belle-Fleur du charbonnage du Hasard, ainsi que le château Saroléa, Dalhem et les vestiges de son château-fort, Glons et son ancienne église Saint-Victor ou sa ferme Saint-Laurent, Herstal son église Notre-Dame de la Licour ou la maison Breuer en Coronmeuse, Jupille et le château de Fayenbois ou la maison vicariale, Mortroux et une maison rue d’Asse, Saive et le ferme du Pixho, Visé et l’église Notre-Dame du Mont-Carmel, Vivegnis et la ferme Christophe, Warsage et son église Saint-Pierre et enfin Wonck et la solide église Saint-Lambert. Les différents travaux dans ces demeures sont de plus variées : intérieur ou extérieur. Nul doute que d’autres patrimoines ont été en restauration après cette date de 2001. Un autre chapitre s’intéresse aux biens classés restaurés comme Housse et la ferme du Château ou encore la ferme de la rue des Châteaux à Saive.

    Le second ouvrage fait œuvre utile car il dépouille les nombreux documents qu’a laissé pendant une soixantaine d’année un réputé petit théâtre liégeois : le Théâtre royal de l’Etuve (1951 à 2010). On connait son principal directeur Pol Deranne, à qui succéda pendant trois saisons Daniel Hackier (de Visé-Argenteau). Sont passés en revue les programmes mais surtout les différentes pièces théâtrales ou musicales qui se succédèrent dans de nombreux registres (Audiberti, Labiche, de Ghelderode, de Obaldia, Cocteau, Giraudoux et beaucoup d’autres français ou internationaux comme Harold Pinter). On ne sera pas étonné d’y rencontrer des comédien-nes qui ont marqué de leur professorat maints conservatoires ou académies : Christiane Weemers, Liliane Cox épouse Chikowski, Jacqueline Meunier, Daniel Pirard, Daniel Hakier pour parler de l’académie César Franck de Visé. L’intérêt est aussi de savoir ce qui était conservé dans les archives de ce petit théâtre : des programmes d’autres théâtres ou encore une formidable bibliothèque tant de livres que de médias audiovisuels. Un index de plusieurs centaines de noms complète le tableau. Quelle vie culturelle. Le théâtre de l’Etuve existe toujours dans la rue du même nom mais sous une autre forme.

    Nous évoquerons prochainement le 3e inventaire qui reprend les archives de la commission de Toponymie avec de nombreuses surprises dans les 6 entités de la Basse-Meuse.

    J.P.Lensen

    Lien permanent Catégories : Histoire
  • Actuellement aux cimaises des Sépulcrines : Isabelle Euben, Claudy Mwamba et Claire Bertrand

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    De g. à d. : Isabelle Euben, Claudy Mwamba, Mathieu Ulrici (Echevin de la Culture) et Claire Berttrand

    Trois femmes, trois regards, trois techniques... Trois artistes.

    Isabelle Euben, c'est toute une histoire...de cheveux. Il y a quelques mois, elle se découvre un amour et un talent pour la décoration d'intérieurs. "Tous les objets dont je me sers proviennent de la récupération précise-t-elle, je leur donne une autre vie". Toutes ses réalisations peuvent être réalisées par le commun des mortels, mais nous n'avons pas tous une âme créatrice. Et en admirant ses oeuvres, on se dit "qu'il fallait y penser!"

    Isabelle est l'initiatrice de cette exposition, elle a convaincu sa maman Claire Bertrand et son amie Claudy Mwamba de l'accompagner danx cette aventure que constitue toujours une première exposition. Et ma foi, nous, les Visétois, avons de la chance : c'est le cadre de la chapelle des Sépulcrines qu'elles ont choisi.

    Claire Bertrand est donc la maman d'Isabelle. Infirmière "au long cours" retraitée, elle a pas mal bourlingué dans sa vie professionnelle : établissement hospitaliers, bénévole à l'étranger au profit d'ONG, infirmière libérale... La retraite arrivée, le temps libre lui permet d'exaucer un de ses souhaits les plus chers : se mettre à la peinture. Après quelques cours suivis il y a environ un an et demi, elle se lance en véritable autodidacte. Après un début en aquarelle, elle s'est tournée vers l'acrylique qui lui offre d'autres perspectives de création, plus personnelles dans l'art abstrait.

    Si Isabelle et Claire sont visétoises, Claudy Mwamba habite Boirs. "Je suis une amie de longue date d'Isabelle nous confie-t-elle, c'est elle qui m'a convaincue de participer à une première exposition en sa compagnie et celle de sa maman".

    Peintre et sculptrice, Claudy travaille à plein temps en qualité de conseillère en luminaires. En 1995, elle obtient un graduat en arts graphiques à Saint-Luc puis enchaîne avec un second graduat en peinture sur chevalet à l'Académie des Beaux Arts de Liège, qu'elle obtient en 1999. En véritable passionnée de tout ce qui touche à la création artistique, elle s'impose souvent des challenges pour tenter de satisfaire sa soif impérieuse de nouvelles techniques. De l'acrylique sur toile de coton à celle sur des objets divers préalablement choisis avec un usage détourné ou non. 

    Ses sculptures, Claudy les réalise entièrement à partir d'objets récupérés. Ses personnages sculptés en sont un magnifique exemple. Elle crée également des lampes à poser "cucurbitacées". Son art est devenu son exutoire, une manière pour elle de se détendre. Son travail manuel devient alors pour elle un sport cérébral. Elle qui n'avait jamais travaillé en trois dimensions a essayé une fois, celà lui a plu et elle a continué. Et avec quels résultats!

    L'exposition est ouverte de 13h à 18h à partir de cet après-midi et jusqu'au 16 février à la chapelle des Sépucrines (Centre culturel) à Visé.

    La centaine d'oeuvres exposées sont en vente - à des prix plus qu'abordables- et l'entrée est libre. A ne manquer sous aucun prétexte.

    Un pêle-mêle de photos réalisées lors du vernissage est photos est disponible en marge droite)

    (© Texte et photos P. Neufcour)

     

  • Avez-vous vu Eric Laforge? Il a disparu de Juprelle !

    Son véhicule, une Skoda Fabia gris foncé, a été retrouvé le 05 février Quai des Fermettes à Visé.

    Eric est chauve et porte des lunettes.

    Si vous avez des informations concernant cette disparition, vous pouvez contacter le numéro gratuit 0800/30 300 ou réagir via ce formulaire en ligne.

  • Le nouveau bimestriel des Rendez-vous de Richelle

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    L'asbl Les Rendez-Vous de Richelle
    a le plaisir de vous proposer ci-dessous son nouveau bimestriel

    Le Canard Richell'Oie

    distribué en toutes-boites et via cette messagerie.
    _______________________________________________

    En extra, trouvez également les nouveaux flyers d'invitations
    aux toutes prochaines activités des Rendez-vous de Richelle. 

    Au plaisir de vous y rencontrer !

     

     

    LE CANARD RICHELL'OIE
    JANVIER 2020 

     

    INVITATION PETIT DEJ'

     

    INVITATION MARDI GRAS

     

     
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    Lien permanent Catégories : Quartiers
  • De la cocaïne et des illégaux dans un bar à chicha clandestin de Visé

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    Photo T.VA

    Un bar à chicha clandestin était installé dans un bar « classique » installé rempart des Arquebusiers, dans le centre de Visé (ancien garage Citroën). De la cocaïne a été saisie et plusieurs personnes en séjour illégal ont été arrêtées. L’avenir de ce bar à chicha se décidera dans les prochains jours.

    L'article complet d'Arnaud Bisschop dans nos éditions du jour

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