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Divers - Page 29

  • Visé - Richelle : le titre de "Meilleur Artisan Glacier de Belgique" attribué au glacier Hugo.

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    Meilleur Artisan Glacier de Belgique

    C'est le titre qui vient d'être attribué à Benjamin Vanderheyden, le futur patron du Glacier Hugo.

    En 2002, Benjamin sort diplômé de l'école d'hôtellerie de Spa. Il travaille trois ans en Belgique, en cuisine et en salle, avant de partir 2 ans dans le sud de la France, dans des maisons réputées. A son retour en Belgique, il apprend que le glacier Hugo cherche un ouvrier pour la fabrication. Richellois de naissance ayant toujours été admiratif de cet établissement, il se présente et Georges Streibel l'engage. Benjamin connaît les bases de la fabrication de la glace, mais Georges le forme au métier de glacier. Recettes, mode de fabrication, astuces du métier, "secrets de la maison", Georges transmet tout son savoir à son élève qui ne demande qu'à apprendre. En 2011, Benjamin effectue lui aussi un stage chez Lenôtre, pile 20 ans après son mentor.

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    Il aura la chance d'y travailler sous la tutelle de Gérard Taurin, un des meilleurs ouvriers de France et champion du monde dans la catégorie "glaces" en 2004. Selon Georges, "Benjamin a toutes les qualités et le sérieux nécessaire. Il est très volontaire, veut toujours apprendre, se dépasser et saura maintenir le cap de la maison Hugo"

    Le concours

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    Cette année, Benjamin Vanderheyden a décidé de s'inscrire au concours du Meilleur artisan glacier de Belgique.

    "Les épreuves se sont déroulées dans le bâtiment de l'IFAPME à Villers-le Bouillet le 22 novembre " nous explique le jeune lauréat. "Le challenge était de présenter 5 desserts en 6 heures. Rien ne pouvait être préparé à l'avance, nous partions de produits bruts. Le thème étant " Les fêtes de fin d'année", j'ai présenté une bûche de Noël en glace et sorbet, un parfait à la bière, une Corne d'abondance revisitée, un dessert sur assiette et deux verrines individuelles. Pour convaincre le jury, il fallait obtenir au moins 80 % des points. Nous sommes 4 lauréats à avoir obtenu le précieux titre. Il n'y a pas de classement entre nous, nous sommes 4 à avoir réussi, c'est tout ce que nous savons. La coupe, la médaille, le diplôme et la veste à col tricolore nous seront remis en avril."

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    A partir du 1er janvier 2017 Benjamin et son épouse seront donc aux commandes de "Chez Hugo". Georges continuera à l'aider de ses conseils, si nécessaire, durant une période transitoire de six mois, puis ce sera à la troisième génération de continuer. Benjamin ne prévoit aucun changement, il garde la même équipe, les mêmes produits, la même qualité et la même passion. Respecter la clientèle, les collaborateurs et les produits est la devise de la maison.

    Bonne route, Benjamin.

     

    Un peu d'histoire.

    Hugo Streibel est né en 1908 dans une famille de maîtres tisserands émigrés en Pologne. Mère polonaise et père suisse, Hugo, qui est charpentier de formation, a 19 ans. Il décide de quitter sa famille et d'aller rejoindre ses cousins au Brésil. Il s'arrête en Belgique. Il n'ira pas plus loin.

    Nous sommes en 1927, Hugo apprend le français et travaille sur les grands chantiers de l'époque. Il fait la connaissance d'un Italien, marchand de matériel pour glaciers. Le commerçant trouve que Hugo a le "look" pour exercer cette profession. Il le convainc, lui apprend les rudiments du métier puis Hugo se lance comme glacier ambulant.

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    "A l'époque nous explique son fils Georges, Il n'y avait que deux goûts : vanille et chocolat. Papa avait fait l'acquisition d'un véhicule Chevrolet de 1926 afin de faire ses tournées. Il était à la pointe de la modernité car la majorité des autres glaciers ambulants exerçaient leur profession soit avec une charrette à bras, soit avec un véhicule hippomobile".

    Hugo habite Saive. Il fait la connaissance d'une jeune fille. Les deux jeunes gens se plaisent et se marient. Ils sont maintenant deux à exercer la profession. Après la guerre, le couple Streibel fait construire la maison du n° 3 de la rue du Centre à Richelle. Le commerce ambulant continue avec 2 camionnettes, chacun des époux faisant une tournée. En 1952 c'est la naissance d'un fils, Georges. Les arômes se diversifient, au chocolat et vanille s'ajoutent moka, caramel, pistache, citron, et fraise en saison. Quotidiennement quatre arômes sont proposés : vanille, chocolat, et deux autres qui varient. Hugo, est à le pointe du progrès, il veut aller de l'avant. Voulant disposer de frigos électriques dans son combi VW, il fait l'achat d'un groupe électrogène sur remorque, qu'il tractera derrière son véhicule. Meilleure conservation de la marchandise, et possibilité de faire de la "mousse de crème fraîche".

    En 1972, suite à des problèmes de santé de son papa, Georges, féru d'électronique et de radio-communications, se lance à son tour dans l'entreprise familiale. Il découvre toutes les possibilités de cette profession et "en tombe amoureux". Hugo apprend à son fils toutes les "ficelles" du métier et ses secrets de fabrication. Déjà à l'époque, dans la Basse-Meuse, les glaces de chez Hugo étaient réputées. Voici donc Georges responsable du "Glacier Hugo". Autodidacte, Georges fera un stage chez Lenôtre, à Paris.

    Le salon de dégustation

    Frustré de ne pouvoir servir toute sa clientèle en ambulant, Georges Streibel et son épouse Ana décident alors de créer un salon de dégustation au rez-de-chaussée de l'habitation familiale. 1998 verra la construction du salon de actuel, au 96 de la rue de Richelle à Richelle. La réputation du glacier n'est plus à faire, des consommateurs viennent de loin pour déguster ses produits. Très souvent, la file s'allonge devant la porte, qui attendant une table pour s'asseoir, qui attendant d'être servi au comptoir pour de la marchandise à emporter. Journellement, 23 goûts sont proposés sur un éventail de 50 disponibles. "Nous sommes maintenant une PME, nous confie Georges, nous employons 9 équivalents temps-plein, mais l'équipe compte 22 personnes."

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    Fin de l'année, Georges passera le flambeau à Benjamin Vanderheyden, le jeune Richellois qu'il a formé et qui dirigera la troisième génération de "chez Hugo".

    Ne manquez pas l'article complet dans votre édition Basse-Meuse du journal La Meuse

    (P. Neufcour)

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                                                                       Photo : archives P. Neufcour

    Les petits bateaux électriques à Visé, vous ne les verrez plus la saison prochaine. C'est fini! "Liège au fil de Meuse a du se résoudre à mettre fin à cette activité après 4 années d'exercices. 

    L'idée semblait excellente : permettre à tout le monde de se promener sur la Meuse en se promenant à bord d'un petit bateau électrique en le pilotant eux-mêmes, sans permisPourtant, l’idée était séduisante : permettre aux gens de piloter eux-mêmes, sans permis, un petit bateau électrique et d’ainsi se promener sur la Meuse.

    La société s'était initialement installée à Liège, en 2013n au Parc de la Boverie. Après seulement trois semaines, la ville de Liège retirait son autorisation pour des questions de sécurité. C'est ainsi que cette activité s'est retrouvée à Visé, sur l'île Robinson. Six petits bateaux y étaient amarrés depuis le mois de juin 2013. Les commentaires enthousiastes des utilisateurs n'ont hélas pas suffi.

    "Trop dépendante des conditions météo, les rentrées financières n'étaient pas suffisantes : même en étant ouvert d'avril à octobre, la saison n'était réellement effective que durant trois mois" explique une des coopératrices, "Et ces trois dernières années la météo ne nous a pas gâtés. Pratiquer ce genre de loisirs sous la "drache" était impensable. Avec les frais d'entretien assez conséquents  que nous avions, ce n'était plus rentable et on décidé de "jeter l'éponge".

    Les membres de cette société coopérative cherchent un repreneur pour cette activité nautique. Le cas échéant, ils sont prêts à revendre l'ensemble du matériel qui est estimé à 45.000 €; 

    Vous pouvez retrouver toutes les détails sur la page Facebook « Scrl.fs.Liège, au fil de Meuse ». (P. NF)

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