
Coup de feu devant le café Braham, rue Sabaré à Cheratte, ce lundi 11 mai. Vers 20h, quatre personnes ont tiré sur un Cherattois en pleine rue. Ce dernier est décédé. Il s’agit de Michaël Ernotte, un Visétois d’une trentaine d’années. Il a été abattu ce en pleine rue, devant un café bien connu à Cheratte (Visé).
Selon nos informations, il s’agirait d’une «expédition punitive». L’homme aurait été d’abord tabassé puis sauvagement abattu d’une balle en pleine bouche.

Il était dans les environs de 20 heures 20, ce lundi soir, lorsque ce sauvage homicide a été perpétré. Une bagarre aurait éclaté devant le café Braham, situé rue Sabaré à Cheratte (Visé). Michaël Ernotte, âgé de 35-36 ans, était allé boire un verre dans cet établissement et s’apprêtait à rejoindre son véhicule.

Quatre agresseurs en fuite
C’est là que quatre individus lui sont tombés dessus. Le trentenaire a été roué de coups par les quatre hommes. L’un d’eux aurait ensuite dégainé un revolver et aurait tiré une balle en pleine bouche du malheureux, qui est décédé sur place.

Les quatre hommes ont ensuite pris la fuite à bord d’une voiture, apparemment volée. Hier soir, la police était activement à leur recherche, tandis que le parquet de Liège descendait les lieux, vers 22 heures 30.
> Plus d’informations à lire dans nos éditions papier ce mardi. (Texte et photos : C.V.)


Il était 21h05 lorsque plusieurs individus lourdement armés (5 ou 6 selon nos sources) se sont introduits de force au domicile d'un grossiste en bijoux domicilié à Dalhem Mortroux. L'habitant a été roué de coups et sous la contrainte, a été forcé d'ouvrir la salle forte qui abrite sa marchandise. Le visage fortement tuméfié et sous le choc, le bijoutier n'a pas encore pu déterminer son préjudice qui semble cependant important. L'enquête a été confiée aux membres de la BLR de la zone Basse-Meuse. Les techniciens du laboratoire de la police judiciaire ont été envoyés sur place afin de procéder à la recherche de toute trace ou indice utile. A l'heure où nous écrivons ces lignes, les auteurs sont en fuite. (Pierre Neufcour)