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Faits divers - Page 48

  • EXCLUSIF : BRAQUAGE AU MAGASIN DE CHAUSSURES LEHANE à VISE

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    Il était environ 18h20 lorsqu'un malfrat cagoulé et portant une écharpe s'est présenté au magasin de chaussures Lehane, rue du Collège 11 à Visé. Sous la menace d'un couteau, les vendeuses ont été forcées de lui remettre le contenu de la caisse. L'individu a pris la fuite à pied. Le personnel présent au moment des faits est fortement traumatisé. Les services de police de la Basse-Meuse étant toujours sur place, il ne nous a pas été possible d'obtenir des informations supplémentaires.

  • Trois agresseurs tentent de car-jacker un homme à Richelle: pas de bol, Jean-Paul est un karatéka chevronné

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    Tentative de car-jacking avortée ce mardi en début de soirée du côté de Richelle. Jean-Paul Tornatore, double vainqueur de la Coupe d’Europe de karaté Wado, a donné une leçon à ses trois agresseurs, qu’il a réussi à mettre en fuite. Non sans mal, comme le prouvent les marques sur son visage.

     Mardi, sur le coup de 19h, Jean-Paul Tornatore s’apprête à quitter l’école communale de Richelle où il venait de donner une heure de cours de karaté. "J ’avais à peine pénétré dans mon véhicule quand j’ai entendu un homme appeler à l’aide. En regardant sur ma gauche à travers la vitre, j’ai remarqué qu’il boitait. Ni une ni deux, je suis sorti de mon véhicule afin de lui porter secours. C’était le début d’une minute de folie."

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    En effet, un second énergumène débarque dans la foulée. Puis un troisième. Avec qui Jean-Paul commence à se battre... "Mon objectif était de me défendre. Je n’avais pas l’impression qu’ils étaient armés, alors j’ai donné plusieurs coups. Dans la précipitation, je suis également parvenu à faire sortir de mon véhicule l’homme qui tentait de voler ma voiture. Voyant que les choses ne se passaient pas comme ils l’avaient prévu, les agresseurs ont pris la fuite."

     

    En karaté, Jean-Paul Tornatore n'est pas "n'importe qui"

    Le Richellois est diplômé en éducation physique, ceinture noire deuxième Dan FFK, ancien entraîneur national de karaté Wado (2011, 2012 et 

    2013), grand gagnant de la 

    Coupe du Monde de karaté traditionnel ipon shobu, double vainqueur de la Coupe d’Europe Wado.

    De surcroît, celui qui a remporté le mérite sportif de la ville de Visé en 2013 a glané  diverses médailles dans des tournois internationaux et nationaux. À présent, il s’investit pleinement dans son académie de karaté.

    Découvrez l’intégralité de ce témoignage et les suites de cette histoire dans les journaux du groupe Sudpresse de ce jeudi 18 décembre ou dans notre édition en PDF, téléchargeable en cliquant ici

    Y.G

  • Brève : une friterie braquée à Lixhe

     

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    - Nous venons d'apprendre que la friterie "Chez Sophie" de Lixhe avait été braquée hier en fin de journée. L'auteur des faits, un mineur habitant à proximité, a été interpellé par la police.

  • Triple assassinat de Visé: «On a encore les moyens de se payer 5 sachets et 5 cotons-tiges» reprend le patron de la Police Judiciaire

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    Le Procureur du Roi de Liège et le patron de la Police Judiciaire ont vigoureusement démenti les informations diffusées par le journal télévisé de RTL hier soir à propos du triple assassinat de Visé. « Les prélèvements d’ADN ont été effectués dans les règles de l’art », explique le procureur. « Et on a encore les moyens d’acheter cinq sachets en plastique et cinq cotons-tiges », reprend le patron de la PJF.

    Le 18 avril 2014, Benoît Philippens et Carol Haid, deux banquiers respectivement âgés de 36 et 38 ans, et Esteban (9 ans), le filleul de Carol, étaient tous trois abattus dans la propriété du couple, à Visé.

    L’enquête a notamment donné lieu à l’arrestation, le 10 septembre dernier, d’un homme de 32 ans, suspecté d’être l’auteur du triple assassinat.

    La nuit des faits, le laboratoire de la police judiciaire fédérale avait retrouvé cinq douilles sur la scène de crime. S’il n’y a eu aucun problème pour récupérer la première douille, les quatre autres ont par contre été ramassées avec le même coton-tige et placées dans le même sachet, expliquait RTL-TVI dans son 19h. Dès lors, les ADN présents sur ces douilles sont rentrés en contact et se sont mélangés.

    De plus, un même écouvillon, une sorte de petite brosse utilisée pour prélever de l’ADN, a été utilisé sur les cinq douilles retrouvées. Dès lors, on retrouve sur le bâtonnet un mélange de quatre ADN sans savoir si ce mélange était présent sur une douille ou si quatre ADN étaient présents sur quatre douilles.

    « Le problème, c’est qu’à partir de ce mélange, on peut exclure que mon client ait fait partie du mélange et c’est le cas, il n’en fait pas partie, mais on ne peut pas transmettre ces résultats à la banque de données ADN pour permettre d’identifier le véritable auteur des faits », déclare au JT de RTL-TVI Philippe Zevenne, avocat du principal suspect.

    Selon RTL-TVI, ces erreurs ne seraient pas dues à l’incompétence de membres du laboratoire de la police judiciaire fédérale mais bien au manque de moyens mis à disposition pour l’étude d’une scène de crime.

    Le Procureur dément

    « Je tiens à démentir les informations parues dans la presse de ce matin », précise le Procureur du Roi Philippe Dulieu.« Les prélèvements opérés par le laboratoire de la police fédérale ont été effectués dans les règles de l’art et aucun problème de moyens n’est à déplorer. Il est également inexact d’affirmer que les empreintes digitales d’un opérateur du laboratoire ont été trouvées sur le véhicule. »

    Pour Eric Snoeck, le patron de la police judiciaire de Liège : « Tout ce qui a été dit est faux et totalement ridicule. Comme si nous n’avions plus les moyens de nous acheter cinq sachets en plastique, cinq cotons-tiges et une paire de gants », explique-t-il. « Quant aux prélèvements, ils ont été réalisés de manière professionnelle et il est faux de dire qu’un expert a mis sa main non-gantée sur la voiture de la victime. Je ne sais vraiment pas d’où viennent ces informations. »

    Belga avec S.P.

  • Triple assassinat de Visé: les traces ADN inexploitables en raison d'un manque de moyens matériels au sein de la police

     

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    Comme nous l’avions déjà révélé dans nos éditions du 5 novembre, les traces ADN, prélevées par la police scientifique dans le cadre de l’enquête sur le triple assassinat de Visé, survenu en avril, sont inexploitables. RTL-TVi complète en affirmant que ces traces sont inexploitables en raison d’un manque de moyens matériels au sein de la police.

    Le 18 avril 2014, Benoit Philippens et Carol Haid, deux banquiers respectivement âgés de 36 et 38 ans, et Esteban (9 ans), le filleul de Carol, étaient tous trois abattus dans la propriété du couple, à Visé.

    L’enquête a notamment donné lieu à l’arrestation, le 10 septembre dernier, d’un homme de 32 ans, suspecté d’être l’auteur du triple assassinat.

    La nuit des faits, le laboratoire de la police judiciaire fédérale avait retrouvé cinq douilles sur la scène de crime. S’il n’y a eu aucun problème pour récupérer la première douille, les quatre autres ont par contre été ramassées avec le même coton-tige et placées dans le même sachet, expliquait RTL-TVI dans son 19h. Dès lors, les ADN présents sur ces douilles sont rentrés en contact et se sont mélangés.

    De plus, un même écouvillon, une sorte de petite brosse utilisée pour prélever de l’ADN, a été utilisé sur les cinq douilles retrouvées. Dès lors, on retrouve sur le bâtonnet un mélange de quatre ADN sans savoir si ce mélange était présent sur une douille ou si quatre ADN étaient présents sur quatre douilles.

    «Le problème, c’est qu’à partir de ce mélange, on peut exclure que mon client ait fait partie du mélange et c’est le cas, il n’en fait pas partie, mais on ne peut pas transmettre ces résultats à la banque de données ADN pour permettre d’identifier le véritable auteur des faits», déclare au JT de RTL-TVI Philippe Zevenne, avocat du principal suspect.

    Selon RTL-TVI, ces erreurs ne seraient pas dues à l’incompétence de membres du laboratoire de la police judiciaire fédérale mais bien au manque de moyens mis à disposition pour l’étude d’une scène de crime.

    Belga