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Faits divers - Page 44

  • Visé : incendie dans un immeuble à appartements quai du Halage.

     

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                        L'immeuble sinistré 

    Peu avant huit heures ce matin, les pompiers ont été appelés au n° 12 du Quai du Halage à Visé. Le feu s'était déclaré au 2ème étage de l'immeuble, qui e compte trois. L'incendie n'a heureusement pas fait de victime, mais les dégâts matériels sont importants : par l'eau au premier étage, par le feu en lui-même au second et par les fumées au troisième. Les circonstances du sinistre ne sont pas encore connues. Selon le voisinage, l'appartement dans lequel le feu a pris n'était pas occupé. 

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    Les plafonds du second étage

     

  • Un pédophile récidiviste sévit pendant des mois: sa jeune victime l'avait identifié à deux reprises!

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    En janvier 2014, le fils d’un couple de Richelle (entité de Visé) a été abusé par un homme qu’il a pu décrire avec précision. L’auteur des faits était pédophile récidiviste et il habitait dans le même village. Il a pourtant fallu plusieurs mois avant qu’il ne soit intercepté!

    C’est un long cauchemar que celui que vient de traverser un couple de quadragénaires visétois dont le fils, un adolescent de 14 ans atteint d’un léger retard mental, a été abusé par un pédophile récidiviste. Ce dernier vient d’être interné, après une série de rebondissements assez hallucinants. Et après avoir fait une nouvelle victime!

    Les faits se sont déroulés le 26 janvier 2014, en début d’après-midi. L’ado, Julien (prénom d’emprunt) se promenait près de chez lui lorsqu’il a croisé la route du pédophile qui l’a attiré vers un bosquet, l’a déshabillé, a procédé à des attouchements et s’est exhibé.

    « Dans les 48 heures qui ont suivi, Julien s’est confié par bribes », explique sa maman. « Alertée, je lui ai demandé de me raconter ce qui s’était passé. Nous avons immédiatement déposé plainte ».

    L’enfant a fait l’objet d’une expertise psychiatrique et ses propos ont été jugés crédibles. On lui a proposé une série de photos de pédophiles récidivistes, mais il n’a pas reconnu son agresseur. "On nous a alors expliqué que ce monsieur devait être seulement de passage à Richelle, et que Julien était au mauvais endroit, au mauvais moment», poursuit sa maman.

    Mais peu après, l’enfant identifiait son agresseur alors qu’il circulait en voiture. Les choses étaient allées trop vite que pour intervenir, mais en mars, c’est au travers de la vitrine d’un café de Visé que Julien repérait celui qui l’avait agressé...

    Lire l’intégralité de cet article dans les journaux de Sudpresse ce mardi 19 mai ou à consulter via nos supports numériques. (Laurence Wauters)

  • Assassinat de Michaël Ernotte à Cheratte: un des suspects avait déjà poignardé un infirmier en 2002, à l'âge de 15 ans

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     Hicham (prénom d’emprunt/médaillon), est déjà bien connu de la justice.

    L’enquête menée par la section homicides de la police judiciaire fédérale de Liège n’a laissé aucun répit aux quatre jeunes suspectés d’avoir tué Michaël Ernotte après une soirée au café Braham à Cheratte. Comme nous vous le révélions, jeudi, en exclusivité sur nos sites internet, la justice liégeoise vient de délivrer des mandats d’arrêt à l’encontre des quatre jeunes interpellés mardi et dans la nuit de mercredi à jeudi.

    Le 11 mai dernier, durant la soirée, Michaël Ernotte, 36 ans, de Cheratte, était abattu après avoir quitté la terrasse du café Braham à Cheratte. Alors qu’il venait de s’engouffrer dans sa voiture, une voiture noire est arrivée et s’est arrêtée à hauteur de celle de Michaël. Ce dernier a alors verrouillé sa porte mais les agresseurs ont fait le tour du véhicule et l’ont extrait de force avant de le rouer de coups.

    Une fois Michaël au sol, l’un des agresseurs a sorti une arme à feu et lui a tiré une balle dans l’épaule. La trajectoire descendante de cette balle n’avait laissé aucune chance à celui que tous surnommaient « Miki Mike ». Une artère avait été sectionnée provoquant une importante hémorragie. La même balle s’était ensuite logée dans le cœur. Les quatre agresseurs étaient remontés dans leur voiture et avaient démarré en trombe.

    L’un des quatre individus placés sous mandat d’arrêt, Hicham (prénom d’emprunt), un Tchétchène de 28 ans, est très bien connu de la justice puisqu’en 2002, il avait tué un infirmier spadois sur le site de l’Île Monsin à Liège. Une violence inouïe puisque quarante coups de couteau avaient été portés avec un cran d’arrêt. Hicham avait alors 15 ans et avait été placé en centre fermé pour mineurs. Par la suite, Hicham sera encore condamné, en tant que majeur cette fois, pour des faits de violences.

    Ces suspects ont été déférés, jeudi, au palais de justice de Liège où ils ont été placés sous mandat d’arrêt pour assassinat.

    > Les détails de l’enquête et les antécédents des autres suspects à lire dans nos éditions papiers et numériques de ce vendredi.

  • Visé: un vendeur de légumes, accroché au capot du véhicule d'un concurrent, a été emmené sur plusieurs centaines de mètres

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                                                                              Photo P.Neufcour

    Deux maraîchers, originaires de la Basse-Meuse, ont été déférés jeudi au parquet de Liège pour avoir porté des coups à un de leur concurrent sur le marché de Visé et pour l’avoir embarqué sur le capot de leur voiture sur plusieurs centaines de mètres.

    Une altercation entre deux vendeurs de légumes est survenue mercredi après-midi sur le marché de Visé. Les différents protagonistes sont en conflit depuis plusieurs mois en raison d’un litige commercial portant sur des prix plus attractifs proposés par les deux maraîchers déférés au parquet de Liège.

    Une discussion houleuse s’est déroulée entre les deux clans avant que le passager du véhicule ne frappe la victime. Cette dernière s’est alors mise devant le véhicule des deux suspects qui l’ont emportée sur plusieurs centaines de mètres. Ils ont ainsi traversé le pont de Visé, avant que la victime ne puisse quitter cette position inconfortable.

    Elle n’a pas été blessée par la manœuvre et ne souffre d’aucune incapacité. Les deux suspects, qui font l’objet d’une procédure accélérée, ont été interpellés mercredi dans l’après-midi à leur domicile. (Belga)

  • Exclusif: deux autres personnes sous mandat d'arrêt dans le dossier de l'assassinat de Michaël Ernotte à Cheratte

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    Mercredi, deux jeunes d’une vingtaine d’années ont été placés sous mandat d’arrêt au palais de justice de Liège pour l’assassinat de Michaël Ernotte, un Visétois de 36 ans, qui venait de quitter la terrasse du café Braham à Cheratte-Hauteurs. Les deux suspects, un originaire de Cheratte et l’autre de Tchétchénie, sont en aveux d’avoir été présents sur les lieux du drame mais ils nient être impliqués dans la scène de coup de feu mortel de la nuit du lundi 11 au mardi 12 mai.

    En moins d’une semaine, l’enquête concernant l’assassinat de Michaël Ernotte a extrêmement bien avancé. Selon nos informations, après les deux mandats d’arrêt délivrés mercredi, la section homicides de la police judiciaire fédérale de Liège aurait interpellé deux autres suspects dans ce dossier.

    Ces nouvelles arrestations sont intervenues dans la nuit de mercredi à jeudi et ces deux suspects seront déférés, dans le courant de la journée de jeudi, au palais de justice de Liège où ils seront présentés au juge d’instruction en charge du dossier.

    Après le coup de feu mortel, les quatre agresseurs avaient repris leur voiture avant de disparaître dans la nature. Grâce, notamment, à la plaque d’immatriculation relevée sur place, les enquêteurs ont pu remonter jusqu’au propriétaire du véhicule, un prénommé Adam originaire de Cheratte. Interpellé mercredi, il reconnu avoir véhiculé des personnes sur les lieux sans savoir ce qui allait se passer. C’est en tout cas ce qu’il affirme. (Arnaud Bisschop)