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Santé - Page 47

  • Une bonne nouvelle : le petit Victor a reçu son médicament

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    Photo d'illustration - Isopix

    Une bonne nouvelle en cette période de crise du coronavirus: Victor, qui avait besoin du médicament le plus cher du monde, a reçu son injection!

    Fin décembre, nous vous parlions du petit Victor Verdonckt, un bambin alors âgé de cinq mois né avec l’amyotrophie spinale, une maladie génétique rare qui perturbe le fonctionnement des muscles et les rend de plus en plus faibles. La même maladie que la petite Pia pour laquelle la Belgique entière s’était mobilisée quelques mois plus tôt afin de lui offrir le Zolgensma, le médicament le plus cher du monde.

    Suite à cet élan de générosité, la firme (Novartis) produisant le médicament avait décidé d’organiser une « loterie » controversée pour tirer au sort 100 bébés malades auxquels fournir gratuitement son très coûteux traitement. Une décision qui avait poussé les parents de Victor, Kristofel Verdonckt et Sigrid Cour-selle, a témoigné dans les colonnes d’Het Laatste Nieuws. « Nous avions déjà l’impression que notre famille avait été touchée par un mauvais sort. Et soudainement, nous devons participer à un concours pour « gagner la vie ». Nous trouvons cela inacceptable et inhumain. La vie de Victor ne devrait pas dépendre de collectes de fonds ou d’une loterie », avaient-ils alors déclaré au média flamand.

    Diagnostiqué en novembre dernier d’une atrophie musculaire spinale, le petit garçon âgé aujourd’hui de 8 mois a reçu sa seule et dernière injection de Zolgensma le 18 mars dernier. « Les deux premiers jours après l’injection, il a commencé à avoir de la fièvre, mais cela semble normal. Maintenant, il n’a plus de fièvre depuis deux jours, son taux sanguin est bon et il va bien. Il aime sourire et est toujours attentif. Maintenant, il est hospitalisé en isolement complet », raconte au Nieuwsblad l’oncle de Victor.

    Des bonnes nouvelles en cette période de coronavirus, qui a également inquiété sa famille. « Nous espérons que cela aidera Victor à se développer selon ses capacités en combinaison avec la poursuite de la physiothérapie intensive et la supervision et le suivi de l’équipe médicale de l’UZ Leuven. Depuis fin février, Victor a été séparé de sa sœur Laura et était en quarantaine en raison de la menace Covid-19 ». Une quarantaine qui devra se poursuivre dans les semaines à venir. (Source Sudinfo)

     

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  • Covid-19 : le dernier bilan officiel

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     AFP

    Coronavirus en Belgique: 342 nouveaux cas ce lundi, un total de 88 morts et 3743 personnes infectées (+podcast)


    Il s’agit d’une baisse du nombre de contaminations et du nombre d’hospitalisations. Ce recul témoigne d’une « évolution dans le bon sens », selon le SPF Santé publique. Mais « il ne faut pas relâcher les efforts », au risque d’être confronté à une « deuxième vague ». Les prochains jours seront cruciaux.

    En tout, la Belgique compte 3.743 cas confirmés. Mais le nombre de contaminations ne porte que sur les cas analysés, il ne reflète dès lors pas le nombre exact de personnes contaminées, a souligné le SPF Santé.

    Les 342 nouvelles contaminations se répartissent ainsi : 173 en Flandre, 118 en Wallonie et 45 à Bruxelles. L’origine de six autres patients n’a pas encore pu être déterminée, précisent les autorités.

    Sur les 1.643 personnes actuellement hospitalisées, 322 se trouvent en soins intensifs, soit 32 de plus que la veille.

    Les autorités sanitaires ont précisé que les unités belges de soins intensifs avaient actuellement une capacité de 943 lits, dont 621 sont donc encore disponibles pour répondre aux besoins. Un « plan d’augmentation » est toujours actif, ont-elles ajouté, et 1.800 lits seront disponibles si tous les moyens sont déployés.

    350 personnes ont quitté l’hôpital depuis le 13 mars.

    « C’est maintenant que nous devons tenir bon », ont déclaré les autorités sanitaires. « Malheureusement, on constate encore que des personnes ne comprennent pas l’urgence de la situation. »

    Le gouvernement a mis en place des mesures de confinement depuis une dizaine de jours afin de tenter de ralentir la propagation du coronavirus en Belgique. Les rassemblements sont notamment interdits, tout comme les voyages non essentiels à l’étranger, et le télétravail est généralisé. « Si on ne respecte pas les mesures maintenant, on risque d’être dans une situation difficile. »

    Le SPF Santé publique a pris l’exemple des soirées « lockdown » illégales organisées chez des particuliers au début du confinement. « Elles ont probablement eu un impact. Mais cela fait partie du passé, il faut surtout qu’il n’y en ait plus. Notre système de soins doit être capable d’encaisser les chocs. Ces soirées ont un impact négatif. »

    Quelque 30.000 tests ont été réalisés en Belgique depuis le début de la crise. Dans un objectif de surveillance, dans un premier temps, afin de savoir quand l’épidémie allait émerger chez nous. Depuis lors, les tests sont principalement administrés aux personnes hospitalisées, ce qui explique pourquoi le nombre de cas confirmés ne reflète pas la situation réelle.

    L’objectif des autorités est bien d’augmenter la capacité de dépistage pour davantage d’efficacité, selon le SPF Santé. « Mais pour cela, il nous faut une structure de laboratoire très puissante, et c’est cela que nous sommes en train d’activer pour le moment. »

    A la suite d’informations publiées sur le sujet, le SPF Santé a en outre indiqué que le risque de contamination indirecte par la saisie d’une lettre, d’un paquet ou d’un sac, par exemple, était quasiment nul.

    « Les règles d’hygiène de base restent d’application : lavez-vous les mains. »

    AFP

     
  • La ville de Visé a pris des mesures

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    Ce week-end, les autorités communales ont du prendre des mesures d'interdiction d'accès aux véhicules sur le site des étangs de la Julienne à Argenteau.

    Il faut reconnaître que l'endroit est plutôt bucolique et invite à la promenade sur les sentiers forestiers mais l'affluence de visiteurs était telle que les mesures de sécurité sanitaires ne pouvaient être respectées.

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  • Vers un lockdown complet en Belgique ?

     

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    Coronavirus, un lockdown complet en Belgique? «Les mesures prises par le gouvernement ne suffisent pas à contenir le virus!», affirme Marc Wathelet

  • Coronavirus: le Dr Philippe Devos, contaminé, lance un appel au gouvernement concernant l’hydroxychloroquine

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    Le Dr Philippe Devos est l’un des visages que l’on voit le plus dans les médias depuis le début de la crise du coronavirus en Belgique. Président de l’Absym, l’Association belge des syndicats médicaux, le chef des soins intensifs au CHC de Liège a annoncé qu’il avait été contaminé par le Covid-19. Il lance aussi un appel au gouvernement concernant l’hydroxychloroquine.

    Il y a 2 jours à peine, le Dr Philippe Devos, président de l’Absym, l’Association belge des syndicats médicaux nous indiquait que « le pire » était « à venir ». « On va commencer à souffrir ce dimanche ou ce lundi. Et les semaines suivantes seront terribles », nous expliquait-il.

    Il a annoncé ce dimanche en début de soirée qu’il est lui aussi malade, contaminé par le coronavirus Covid-19  : « Depuis vendredi, je fais partie des patients malades ». Il nous l’a confirmé ensuite.

    « Il n’y a pas assez d’hydroxychloroquine »

    Et de rejoindre l’avis du spécialiste des maladies infectieuses marseillais, le professeur Didier Raoult, sur le traitement à adopter, tout en lançant un appel à nos autorités : « On recommande maintenant de donner l’hydroxychloroquine pour tous les patients hospitalisés, pas uniquement pour les patients en soins intensifs. Aujourd’hui, il n’y a pas assez d’hydroxychloroquine en Belgique pour pouvoir traiter toute la population et il n’y en a dans aucun pays en suffisance. Même les Etats-Unis doivent se faire aider par Israël, qui est en train de produire pour eux des millions de doses. J’espère que l’Etat belge est en train de faire la même chose que les Etats-Unis et qu’ils essaient donc de trouver des accords avec les producteurs pour créer plus de doses ».

    (Source : Sudinfo)

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