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Sécurité routière - Page 13

  • Drame à Berneau - Décès de la passagère

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    Nous avons appris que la passagère de la Renault Duster sur laquelle un arbre s'était abattu hier n'a pas survécu à ses blessures. Elle est malheureusement décédée dans les heures qui ont suivi.

    Des responsables du SPW "routes" sont venus sur place ce matin. Il a été décidé d'abattre sept arbres qui se sont révélés être potentiellement dangereux. La rue des Fusillés sera donc fermée à toute circulation ce jour et le week-end.

    Le sujet fera l'entrée du journal télévisé de RTL et sera repris dans les informations sur RTC Liége et Télévesdre.

    Suite aux nombreux commentaires de lecteurs évoquant la responsabilité de la commune de Dalhem, il me paraît utile de préciser qu'il s'agit d'une "route nationale" (la 608) qui est gérée par le Service Public Wallonie. 

  • Drame à Berneau : un arbre s'abat sur une voiture. Le conducteur est mort sur le coup, les jours de sa passagère sont en danger

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    Il était environ 22 hr ce jeudi soir lorsque le drame s'est déroulé. Une Dacia Duster circulait à Dalhem Berneau, rue des Fuslliés, venant de Warsage et se dirigeant vers Berneau. C'est à ce moment u'un violent coup de vent a déraciné un arbre implanté le long de la voie publique. Le végétal s'est écrasé sur le toit de la voiture, "laminant", pour ainsi dire, le véhicule.

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    A bord, les deux personnes originaires de la région d'Aubel. Le conducteur, né en 1972 a été tué sur le coup. Sa passagère, elle en est sortie vivante, mais très grièvement blessée. Ses jours sont considérés comme étant en danger. Les identités des victimes ne nous ont pas été communiquées. 

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    La zone de police Basse-Meuse se charge du constat d'usage, un expert a été délégué sur les lieux. La voirie a été dégagée par les pompiers.

    (Texte et photos  © P. Neufcour)

  • Plan "Lumière 4.0."

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    Pour un éclairage intelligent sur les autoroutes et les principales routes wallonnes

    Conformément à la volonté de Maxime PREVOT, Ministre wallon des Travaux publics et de la Sécurité routière, l’éclairage qui équipe actuellement les autoroutes wallonnes et les nationales du réseau structurant, soit les nationales 2X2 bandes, sera entièrement remplacé par des luminaires de nouvelle technologie. Il s'agira de lumières LED dont l’intensité pourra être pilotée à distance en fonction de divers critères.

    En effet, le Conseil d’Administration de la SOFICO a approuvé, ce vendredi 27 janvier, le scénario qui permettra l’installation d’un éclairage plus écologique, plus économique et plus performant sur le réseau structurant, soit sur près de 2.300 km.

    Depuis 3 ans, l’éclairage du réseau structurant - qui compte plus de 63.000 supports et près de 73.000 luminaires - fait l’objet d’une réflexion approfondie menée par la SOFICO, le Ministre des Travaux publics, le SPW, ainsi que d’un consortium d’étude (STIBBE-HEXXA-EGIS-PWC) choisi au terme d’une sélection européenne.

    Cette réflexion a abouti à trois scénarii qui ont tous été étudiés pour atteindre des objectifs d’utilisation des nouvelles technologies, de respect de l’environnement, d’économie d’énergie et de sécurité routière, en maintenant au minimum l’éclairage des zones à risques, comme les rings, échangeurs, entrées et sorties d’autoroutes, carrefours, zones en agglomération :

    1.   Le maintien de l’éclairage aux endroits déjà actuellement équipés (autoroutes, rings, échangeurs, entrées et sorties, nationales) ;

    2.   La limitation de l’éclairage aux rings, échangeurs, entrées et sorties d’autoroutes et sur les nationales (suppression en berme centrale sur autoroutes) ;

    3.   La limitation de l’éclairage aux rings, échangeurs, entrées et sorties d’autoroutes et de nationales, carrefours et zones en agglomération (suppression sur les nationales hors agglomération, zones de conflits et sur les bermes centrales d’autoroutes).

    Concrètement, il s'agit, à la demande du Ministre, du scénario n°1, soit le maintien de l’implantation sur les autoroutes, rings, échangeurs, entrées et sorties d’autoroutes et nationales, qui a été retenu après avoir comparé les avantages et inconvénients de chaque formule, étant donné :

     

    -      le faible impact qu’entrainerait la suppression de l’éclairage en berme centrale - qui ne représente pas plus de 15% du patrimoine - et le coût significatif de son démantèlement ;

    -      les effets équivalents d’économie d’énergie qui peuvent être obtenus grâce à l’utilisation du LED et de la modulation de l’intensité de l’éclairage associés ;

    -      les surcoûts de l’adaptation du marquage et du balisage sur les secteurs qui deviendraient non éclairés ;

    -      la volonté de préserver un éclairage optimal et sécurisant sur le réseau wallon. L’enjeu de la sécurité routière a donc également largement pesé dans la balance.

    UN ECLAIRAGE INTELLIGENT

    Des luminaires LED remplaceront l’éclairage au sodium. Ils sont moins énergivores (environ 30% de diminution de consommation), nécessitent moins d’entretien et présentent une durée de vie plus longue. Ils sont donc plus écologiques et plus économiques. Ils offrent également un meilleur rendu des couleurs et un éclairage moins diffus, ce qui améliorera d’autant la visibilité et la sécurité de tous les usagers.

    L’intensité de l’éclairage sera modulable suivant le trafic, l’heure, les conditions météorologiques, la présence de chantier ou encore l’accidentologie. Elle sera pilotée, à la demande, depuis le centre Perex 4.0.

    Le scénario choisi permettra enfin d’assurer de nuit, ou lorsque la visibilité est réduite par les conditions météorologiques, la sécurité lors d’interventions des services de secours, le confort de route des usagers, la protection des usagers faibles sur les nationales.

    Par ailleurs, des possibilités technologiques novatrices pourront être proposées par les soumissionnaires, comme par exemple, un "faisceau" de lumière qui suivrait le trajet d’un véhicule, un passage « surlumineux » dès l’arrivée d’un piéton,…

    UN RENOUVELLEMENT COMPLET DES LE DEBUT DE L’ANNEE 2018

    Un appel à candidatures sera lancé par la SOFICO durant ce premier semestre 2017 (procédure négociée avec publicité européenne) pour conclure un contrat à performance de type DBFMO (Design, Build, Finance, Maintain et Operate). S’en suivra alors une sélection de candidats à qui sera transmis le cahier des charges fixant les exigences de la SOFICO notamment en matière de niveau d’éclairage et d’économie d’énergie. L’objectif est de pouvoir attribuer ce marché, estimé à environ 30 millions € par an, pour débuter les travaux courant 2018. La durée de ce contrat sera de 20 ans, avec obligation du maintien des performances durant toute la durée de celui-ci.

    Le Ministre wallon des Travaux publics, Maxime PREVOT, se réjouit de cette décision du Conseil d’administration de la SOFICO. Faire évoluer les installations existantes vers un système « intelligent » permettra non seulement de diminuer la facture énergétique liée aux équipements routiers mais également d’éclairer les endroits les plus stratégiques avec une intensité adaptée aux conditions de circulation et d'accroître encore davantage la sécurité routière sur les routes wallonnes.

    (Communiqué)

     

  • La peur de sa vie ce jeudi sur l'E25 à hauteur de Wandre: il croise un conducteur fantôme alors qu'il quitte l'autoroute (vidéo)

  • Petit rappel bien utile de notre police.

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    "Depuis maintenant une dizaine d'années, nous sommes habitués à la présence de panneaux limitant la vitesse à 30 km/h aux abords des écoles. Par le présent, je souhaite vous rappeler que cette signalisation est également en vigueur dans l'artère commerçante de la Ville, à savoir rue du Collège et rue Haute.

    En effet, cet endroit accueille de nombreux commerces, parfois agrémentés d'une terrasse, des habitations et des zones de stationnement. Cela engendre forcément des traversées de voirie par les piétons; mais aussi de nombreuses manœuvres de stationnement. Il ne faut pas oublier non plus les priorités de droite et autres rues débouchant sur cet axe.

    Dans le cadre de notre mission de gestion de la voirie, il avait été décidé que la fonction de circulation devait être subordonnée à la fonction de séjour. Le souhait était de mettre l'accent sur le fait que cette voirie soit prioritairement utilisée comme support pour des modes de déplacement non motorisés; et ce, en canalisant la pression automobile. C'est pour cette raison qu'à l'époque la largeur de la voirie a été réduite et que des aménagements avaient été effectués (léger rehaussement en pavés....) Une circulation moins rapide favorise une meilleure qualité de vie et diminue la pollution.

    Autre argument majeur, c'est que ce dispositif contribue fortement à l'accroissement de la sécurité routière. Une vitesse moins élevée engendre moins d'accidents et moins de blessures graves. Dans des conditions idéales, la distance de freinage à une vitesse de 30 km/h reste malgré tout de 30 mètres et le risque de décès pour le piéton percuté à cette vitesse est divisé par huit au regard d'une vitesse d'impact de 50 km/h.

    Dès lors, pour la sécurité et le bien-être de chacun, vous êtes invités à respecter cette zone 30km/h, et de faire prévaloir la courtoisie envers les piétons. Le choix de ne pas tracer de passages pour piétons a été fait; ceux-ci ne seraient pas forcément respectés vu le stationnement longitudinal et la déambulation des badauds devant les vitrines de part et d'autre de la rue"

    Stéphane Demoulin

    Inspecteur principal, dirigeant du commissariat de Visé

    (NDLR : il faut reconnaître que la petite taille - par rapport aux autres - du panneau "zone 30" et sa position tout au dessus du mat qui en supporte déjà trois, ne le rend pas particulièrement visible pour les usagers)