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  • Visé : Noces d'Or pour les époux Kreutzer - Philippens

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                                                                                               Photo F. Papiernik

    C'est avec leur sympathique petite famille que les époux KREUTZER-PHILIPPENS sont
    venus en notre Hôtel de Ville pour la célébration de leurs 50 années d'amour.

    Les petits comme les grands ont mis l'ambiance à leur manière, et cela pour le
    plus grand plaisir de Yves et Joséphine pour qui la famille tient une place très importante dans leur vie.

    Joséphine et Yves sont aussi bien connus dans le monde du foot, que ce soit à Visé ou bien encore à Richelle ils y ont été durant de nombreuses années très actifs.

    Nous les félicitons chaleureusement, et leur souhaitons de profiter de nombreuses années encore de l'affection de tous.

    Viviane DESSART
    Echevin de la Culture et du Tourisme

    Lien permanent Catégories : Jubilé

  • La Meuse : à 2 minutes près on les sauvait

     

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    - Le commissaire Jonniaux l'affirme : à deux minutes près on les sauvait

    - Le braqueur à la ceinture explosive

    - Herstal : Truck Technics délocalise, 60 emplois perdus

    - Le Grand Jojo ête ses 80 ans. Il revient avec nous sur sa vie

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    - Les Schtroumpfs  à nouveau en deuil. Nine Culliford est décédée

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    - Interpellé après le viol d'une sexagénaire

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    - Seraing : on va peser les ordures

    - Renaud Rutten rajeunit le bridge

    - Verviers : La matrice des attentats en Europe

    - Rapport de l'AFSCA : 106 établissements on du fermer leur porte en 2015

    - Sa maison saccagée par des huissiers

    - Le coût de la paix sociale multiplié par 3 en 15 ans

    - A bord du successeur du Sea King. Le Caïman est la nouvelle machine de la Défense

    - Etc, etc...

  • Visé: il tabasse sa mère dans sa résidence intergénérationnelle

     

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    C’est au sein de la charmante “maison Abbeyfield” de Lixhe, une résidence intergénérationnelle avec des zones communes, qu’Olivier, un Blegnytois de 34 ans, s’en était pris à sa maman en janvier dernier. Les faits étaient initialement qualifiés de tentative de parricide tant les coups étaient violents !

    C’est le 1er décembre dernier que l’administrateur-trésorier de ce manoir situé à Lixhe s’était rendu à la police afin de signaler les maltraitances dont une résidente, âgée de 65 ans, avait été la victime. La sexagénaire habitait là depuis 8 mois, et hébergeait de façon précaire son fils Olivier, qui avait été gardien de sécurité mais qui s’est retrouvé sur la mutuelle à cause d’une arthrose juvénile. D’après ce qu’a révélé l’audience, Olivier mixait médicaments et alcool et passait ses journées à ne rien faire, ce que sa mère avait tendance à lui reprocher avec insistance. Leurs discussions prenaient ponctuellement une tournure violente –déjà victime de son époux par le passé, lors de scènes dont son fils était le témoin, elle était désormais la victime de celui à qui elle avait donné la vie.

    En ce 1er jour de décembre, vers 11 h, c’est un autre résident qui avait découvert la maman d’Olivier. Quand il avait poussé la porte de son logement, il l’avait trouvée à demi-consciente. Olivier avait la main gonflée et criait “ce n’est pas moi, je le jure !”. La sexagénaire avait été emmenée aux soins intensifs avec des hématomes sur les membres, sur le thorax et surtout au visage. Elle présentait des lésions de maintien au bras, une fracture du nez, des fractures du volet costal. Auditionnée en fin de journée, elle avait refusé de s’exprimer. Elle avait, la veille des faits, pris des médicaments parce qu’elle “en avait marre” de son fils. Elle titubait sous l’effet des somnifères lorsqu’ils s’étaient disputés.

    Une peine de 7 ans de prison avait été requise contre le Blegnytois. Absent à l’audience pour cause de grève des gardiens, il avait reconnu les coups par le biais d’une lettre que son conseil, Me Simonis, avait lue à l’audience. Olivier expliquait qu’il n’avait pas appelé les secours « parce que quand mon père frappait ma mère, il la mettait ensuite au lit 2 jours », écrivait-il. Il contestait avoir eu l’intention de tuer sa maman : « il n’y a pas de mobile, pas d’élément moral, et les coups ne visaient pas de zone vitale ! », avait insisté Me Simonis. Les faits sont requalifiés en coups et blessures et Olivier, qui avait été condamné à 1 an de prison en décembre dernier pour, déjà, des coups sur sa mère, écope d’une peine complémentaire d’1 an de prison et de 1200 euros d’amende.

    Laurence Wauters.

     

     
    Lien permanent Catégories : Justice

  • Ougrée : "Qui a pris cette photo de mon père?"

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    - Saint Georges : ils percutent un conducteur fantôme, 3 morts

    - Wilmots s'accroche à son million d'euros

    - La France atomise l'Islande : 5 - 2

    - Plus aucune école liégeoise n'acceptera désormais le voile islamique à la rentrée

    - 364 fugitifs arrêtés en 2015

    - Marc Tarabella : "Je n'arrive pas à être triste du départ des Britanniques"

    - 33.000 excès de vitesse en moins en 2015

    - Liège : il avait 14 boulettes d'héroïne dans le corps

    - Deux chômeurs rétablis dans leurs droits. Ils avaient été exclus par les mesures "Di Rupo"

    - Les loisirs de Salah Abdeslam en prison révélés par un député

    - 2,8 milliards de gtaxes indicrectes d'ici 2018

    - Il reste 15 Compagnons de la Libération, dont le Belge Constant

    - Etc, etc...

    Lien permanent Catégories : Divers

  • Le mot du Bourgmestre

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    Cécile Havard lauréate du prix 2016 du Corps Consulaire de la Province de Liège

    Ce lundi 27 juin fut attribué le prix du Corps Consulaire de la Province de Liège, en présence du recteur, des membres du Jury et des représentants du Corps Consulaire.

    Parmi 42 étudiants, nous avons été très fiers d'apprendre que le prix 2016 a été décerné à une Visétoise, Cécile Havard.

    De quoi s'agit-il ?

    Chaque année depuis 2001, il est accordé une récompense à un étudiant de l'Ulg qui a réalisé un travail (en fait un mémoire de fin de master) portant sur des questions de relations internationales, bilatérales ou multilatérales.

    En 2014, Cécile Havard a consacré son travail de fin d'études sur la crise des ressources humaines pour la santé dans les pays en voie de développement, en République Démocratique du Congo en particulier.

    Le contenu (brièvement résumé) analyse le défi de l'organisation du personnel de la santé dans les pays en développement avec focalisation sur les caractéristiques de l'ancien Congo belge. Son travail a nécessité un séjour de 6 semaines à Kinshasa.

    Cécile est titulaire d'un master en Sciences de la Population et du Développement, à finalité spécialisée « Coopération Nord-Sud » et d'un second en Sciences et Gestion de l'Environnement, à finalité spécialisée Interface Société-Environnement.

    Elle est actuellement assistante à l'information et à la récolte de fonds chez  SOS Faim Luxembourg.

     

    Marcel NEVEN

    Bourgmestre