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Basse-Meuse - Page 7

  • Gardes médicales pour les 17 et 18 octobre 2020 dans la Basse-Meuse et la vallée du Geer

    images.jpegMédecin de garde : du lundi au jeudi soir de 19h00 à 08h00 : un seul numéro : 04/379.09.00. 

    Pour leur sécurité, les médecins de garde de la Basse-Meuse sont en liaison avec les services de la Police.

    Attention :  un poste de garde médicale est ouvert les week-ends et jours fériés de 08h à 20 h rue Basse-Hermalle n° 2, à côté de la clinique. N° unique pour le médecin de garde : 04/374.09.34. 

     - Dentistes de garde : former le 112 pour connaître la liste. 

    PHARMACIES DE GARDE

    Pour toutes gardes entre 9h et 22h : www.pharmacie.be ou www.appl.be

    Pour toutes gardes entre 22h et 9h :

     Appeler le 0903/99.000

    - le samedi 17 octobre 2020 : Pharmacien BERNARD, rue Visé-Voie 36 à Oupeye 

    Tél : 04/264.21.04

                                               

    - le dimanche 18 octobre 2020 : Pharmacie LERNOUX-LAFONTAINE, rue du Vivier 13 à Heure-le-Romain

    Tél : 04/286.12.80

                                                   Pharmacie BOTMAN, rue Entre-deux-villes 33 à Blegny 

    Tél : 04/387.40.84

     

  • Themis : la patrouille supplémentaire de la police de la Basse-Meuse

    La zone de police de la Basse-Meuse n’est pas la seule à dresser ce constat : il n’y a pas assez de bleus dans les rues, la faute à une surcharge de travail et à un manque cruel d’effectifs.

    Alors, en mai 2019, la police bassi-mosane a posé les jalons d’une nouvelle équipe de patrouilleurs, composée d’agents volontaires qui ont accepté cette mission en plus de leur charge de travail habituelle. Condition sine qua non pour faire partie du noyau de policiers : le travail de base doit être fait dans les temps, et les policiers doivent être à jour dans leurs formations. Thémis -c’est son nom- a officiellement débuté en juillet 2019. Thémis, c’est aussi la déesse grecque de la justice, voilà qui plante le décor. Car les 30 à 40 policiers qui la composent ont de l’ambition… et des résultats plus qu’encourageants (lire ci-dessous) !

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    L’équipe est composée à chaque fois de trois policiers : un gradé et deux hommes qui patrouillent sur l’ensemble de la zone, à raison d’une sortie par semaine et d’une autre sortie par week-end. Trois hommes, n’est-ce pas un peu trop maigre pour une zone aussi vaste ? Pour les aider à affiner leurs recherches, Thémis peut compter sur les renseignements donnés par les commissariats de quartier. « Lorsque la patrouille démarre, elle emporte un bulletin de service avec les points d’intérêt. Après, nos policiers ouvrent aussi les yeux », explique le commissaire Jean-François Duchesne, chef de zone adjoint.

    « Avant, dès qu’on devait faire quelque chose qui sortait de la routine, ce n’était pas possible », poursuit-il. « Cette patrouille de policiers volontaires fait immanquablement la différence. Ils se concentrent sur les incivilités comme les mauvais stationnements ou les rassemblements de jeunes, mais aussi sur les deals de stup, la criminalité, etc. En fait, tout ce qui est inscrit dans le plan zonal de sécurité. Il y a quelques jours, ils ont notamment interpellé un dealer de stupéfiants dans le centre de Visé. »

    En première ligne

    Thémis n’est pas un service spécialisé comme le PAB peut l’être, cela reste une équipe de première ligne. « Ils arrivent sur les lieux en voiture banalisée pour ne pas se faire repérer. Par contre, quand ils sortent, ils sont équipés d’armes longues, d’un gilet pare-balles : leur fonction policière ne fait aucun doute. Ces membres ne reçoivent aucune formation supplémentaire, ce sont des policiers ‘normaux’ qui ont à cœur de faire leur travail correctement. »

    Déjà 23 arrestations!

    Entre juillet 2019 et décembre 2019, la patrouille Thémis a procédé à 1.059 contrôles. Lors de ceux-ci, 112 P.-V. ont été rédigés, dont 42 qui concernaient les stupéfiants. Douze personnes ont ainsi fait l’objet d’une arrestation judiciaire. Pour 2020, tous les mois n’ont pas encore été encodés, mais 680 contrôles ont déjà été réalisés. Onze arrestations judiciaires ont été menées et 32 P.-V. ont été dressés pour des faits de stupéfiants. La drogue constitue toujours un réel problème en Basse-Meuse. « En 2013, quand les Hollandais ont fermé leur frontière aux étrangers, on a vu une chute vertigineuse du narco-tourisme. Mais on a pris conscience que la problématique était toujours bien présente. »

    (Source : A.MA pour Sudpresse)

  • La foire au Conseil Communal de Visé ce lundi!

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    Hier soir, plus de 200 personnes se sont retrouvées place Reine Astrid à Visé afin de faire savoir aux autorités communales qu'ils refusaient l'implantation d'une centrale électrique "biomasse" sur le site de la cimenterie C.B.R. à Lixhe. Le cortège s'est rendu à la salle des Tréteaux où exceptionnellement se tenait la séance du Conseil Communal

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    Ce projet de la société Bee Green consiste en la construction d'une centrale qui devrait fonctionner en brûlant des déchets végétaux. Mais selon plusieurs observateurs il s'agit en réalité d'un incinérateur de déchets de bois. En effet, y seraient brûlés, des matériaux provenant de vieilles portes, châssis de fenêtres, meubles, contre-plaqués, bois de charpente... le tout traité et susceptibles de dégager des nano particules lors de la combustion. Or, il semblerait qu'il n'existe pas encore de filtre capable de retenir ces particules fines afin d'éviter leur propagation dans l'air. Parmi les groupes d'opposants à ce projet, on pouvait trouver tant des membres de "Défendons nos villages", que des groupes de citoyens de Maastricht, Eijsden, Gronsveld... 

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    Il ne faut pas perdre de vue que Bee Green envisage la destruction annuelle d'environ 170.000 tonnes de bois traité. Et à l'heure actuelle, personne ne peut préciser l'origine de ce combustible.

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    En début de réunion du Conseil, deux orateurs ont pu prendre la parole pour expliquer leurs craintes aux politiciens visétois : Jean-Pierre Henquet de "Défendons nos Villages" ainsi qu'Alain Discart.

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    Aucune réponse valable n'a pu être apportée aux questions posées : la ville ne serait pas encore en possession des rapports et études d'incidences commandés. La décision devrait pourtant être prise vers la mi-octobre 2020. C'est peu dire que le temps presse.

    Comme un des intervenants l'a justement fait remarquer : Quel sera le "plus" que cette installation apportera aux riverains? Un meilleur cadre de vie? Un air plus sain? Un attrait touristique pour notre ville?

                  
    De plus, un problème important de procédure est soulevé : Ni la Ville de Maastricht ni la Province du Limbourg n'auraient été informées du projet; or il s'agit d'une obligation claire inscrite dans la législation européenne afin de gérer efficacement les problèmes de pollution trans-frontalière
     

    Appel lancé par Défendons Nos Villages, Visons Demain, MilieufrontEijsden; Maastrichtse Klimaatcoalitie en Milieudefensie afdeling Maastricht.

     

    Pour plus d'informations : Défendons Nos Villages Jean-Pierre HENQUET <caroline4dimanche@gmail.com>, Alain Discart <discart.wagemans@gmail.com> ou Visons Demain Martial Mullenders <martial.mullenders@gmail.com>

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    Il avait été accordé par mail, le jour même, le droit à monsieur Paul Rutten, citoyen néerlandais, de prendre la parole dix minutes afin de faire part des doléances des personnes qu'il représentent. Lorsque monsieur Rutten a demandé la parole, celle-ci lui a été purement et simplement refusée!

    Voor meer Informatie ruttenpaul@xs4all.nl van Milieudefensie afdeling Maastricht. Woordvoerder namens de verschillende Maastrichtse organisaties is Constantijn van Aartsen van de Maastrichtse Klimaatcoalitie: geenbiomassalixhe@gmail.com

    Nous avons pu nous procurer les textes que nos voisins souhaitaient soumettre aux autorités communales, nous les reproduisons ci-dessous dans leur intégralité

    Communiqué –

    Non à une centrale biomasse / incinérateur de déchets sur le site de CBR-Lixhe!

    Les habitants de la région entre Liège, Visé et Maastricht subissent déjà une pollution élevée causée par de nombreuses sources : la densité du trafic sur les autoroutes qui suivent ou traversent la vallée, les activités portuaires et industrielles, les unités de traitement de déchets, la forte croissance des vols de et vers Liège-Airport et Maastricht-Aachen Airport, ...

    Un nouveau projet de nature à aggraver la pollution de l’air voire à porter atteinte à la biodiversité fait actuellement l’objet d’une procédure d’autorisation. C’est la Ville de Visé qui devra l’autoriser ou le refuser dans le courant du mois d’octobre.

    Il s’agit du projet de la Société Bee Green Wallonia sur le site de la cimenterie CBR à Loën-Lxhe. Ce projet qui se présente comme une centrale biomasse est en fait un gros incinérateur de déchets de bois classés B (= bois traités).

    Plusieurs groupements de citoyens et de protection de l’environnement se mobilisent contre ce projet qui n'est pas acceptable pour les motifs suivants :

    1. Il s'agit d'une grosse unité puisque cet incinérateur de déchets de bois aurait une capacité de 170.000 tonnes correspondant à la moitié de celle de l’incinérateur de déchets ménagers d'Uvélia à Herstal (Intradel).

    2. Les déchets de bois ne seraient pas des déchets locaux et les contrôles seraient très réduits.

    3. La composition des déchets de bois traités est imprécise et il est prévu que des substances dangereuses soient présentes dans une partie au moins des déchets.

    4. L'étude d'évaluation des incidences est par ailleurs très faible et les demandes et questions émises lors de la phase préalable à cette étude d'incidences y compris celles de la Ville de Visé (composition précise des bois qui pourront être incinérés, quantité totale des rejets polluants et types de microparticules, données sur les rejets et le bruit d’unités équivalentes, impact sur la qualité de l’air y compris pour respecter les normes OMS pour les microparticules en tenant compte des fréquentes inversion de température dans la vallée de la Meuse, impact sur la santé, ...) sont largement restées sans réponse alors qu'elles sont cruciales pour apprécier l'acceptabilité du projet.

    5. Sur base des éléments relevés dans l’étude d’incidences et dans son complément, il apparaît que ce projet aggraverait encore la situation déjà bien dégradée (air, bruit, trafic dans le village, incertitudes de l’impact des retombées acides et azotées notamment sur les pelouses calcaires et les milieux fragiles de la Montagne St-Pierre, rejet d’eaux usées dans le Canal Albert…).

    6. Pour permettre une dispersion des polluants moins impactante, l’étude d’incidences a prévu le rehaussement de la cheminée à 80 mètres. Ce seul élément démontre l’importance de la pollution de l’air qu’entraînerait cette activité. Et il s’ensuit que la pollution sera dispersée sur une population plus large, notamment aux Pays-Bas.

    7. Les habitants des communes relativement proches du site sont concernées par ce projet qu’elles soient wallonnes ou non. L’enquête publique aurait dû concerner toutes les communes susceptibles de recevoir les polluants de ce projet conformément à la Convention internationale d’Aarhus sur l'accès à l'information, la participation du public au processus décisionnel et l'accès à la justice en matière d'environnement. Or, cela n’a pas été le cas.

    8. Contrairement à ce que le promoteur prétend, le projet ne se justifie ni au plan de la transition énergétique vu son rendement médiocre - une trentaine de % - ni au plan du développement de l'économie circulaire et le fait d'améliorer le bilan carbone de la cimenterie CBR n'est pas une raison suffisante pour accepter cet incinérateur et ses nuisances.

    En conséquence, les groupes signataires demandent à la Ville de Visé de refuser l’autorisation pour ce projet BGW.

    C’est la raison pour laquelle ils participeront à la manifestation qui se déroulera ce soir 21 septembre à Visé pour s’opposer à ce projet.

    Groupements et associations signataires :

    Défendons Nos Villages, Visons Demain, MilieufrontEijsden; Maastrichtse Klimaatcoalitie en Milieudefensie afdeling Maastricht.

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    Pour plus d'informations : Défendons Nos Villages Jean-Pierre HENQUET <caroline4dimanche@gmail.com>, Alain Discart <discart.wagemans@gmail.com> ou Visons Demain Martial Mullenders <martial.mullenders@gmail.com> Voor meer Informatie ruttenpaul@xs4all.nl van Milieudefensie afdeling Maastricht. Woordvoerder namens de verschillende Maastrichtse organisaties is Constantijn van Aartsen van de Maastrichtse Klimaatcoalitie: geenbiomassalixhe@gmail.com

     
     
    Cher.e.s Collègues,

    A la demande de Mr Paul Rutten (lire ci-dessous), je vous transmets le mail qu'il a reçu du Service environnement de la Ville hier à 14 h 32 qui indique :

    Vous pourrez intervenir et posez vos arguments (durée 10 minutes) et les membres du Conseil auront 10 minutes pour vous répondre mais il n'y aura pas de débats approfondis sur le projet.

    Ce mail a évidemment été envoyé à la demande de l'Echevin avec j'imagine l'accord du DG.

    Le refus de donner la parole hier en contradiction de cette invitation est un incident regrettable qui donne une bien piètre image de la Ville de Visé.

    Bien à vous,

    Martial Mullenders

    Conseiller communal

    Mesdames, messieurs,

     

    Bien que nous ayons reçu l'autorisation de la municipalité de Visé, le président du conseil municipal ne nous a pas permis de prendre la parole.
     
    Il est important pour nous de porter notre contribution à votre attention, à celle-ci, voir le texte ci-dessous.
     
    Bien à vous,
     
    Au nom du porte-parole de la Coalition de Maastricht pour le climat et Milieudefensie Maastricht,
     

    Constantijn van Aartsen.

     
     
     

    Au bourgmestre, aux échevins et aux membres du conseil municipal de Visé,

     

    Je m'appelle Constantijn van Aartsen et j'habite dans la municipalité de Maastricht. 

    Je suis très heureux d'être ici pour parler, et je m'excuse pour mon français. Je vais lire un extrait de ce document pour le rendre, je l'espère, un peu plus compréhensible.

    Je parle ici au nom de la Coalition pour le climat de Maastricht et du département Milieudefensie Maastricht. Je suis le porte-parole de 8 organisations, dont des syndicats, des ONG, des étudiants et des groupes communautaires.

     

    Nous avons été très surpris d'apprendre il y a peu de temps le projet de construction d'une centrale biomasse/incinérateur de déchets à Lixhe, dans la zone industrielle CBR, surtout parce que nous, notre ville et notre province n'en avions pas été informés. Selon la convention d'Espoo et la convention d'Aarhus, nous avons droit à l'information et à la consultation en cas de pollution transfrontalière, comme dans le cas de cette centrale à biomasse. Nos avocats examinent actuellement les conséquences du non-respect de ces règlements.

     

    Mais je ne suis pas ici pour menacer de recours juridique. Je suis moi-même avocat et je déteste ça.

    Non, je suis ici pour vous conseiller et vous demander d'abandonner cette centrale à biomasse/incinérateur de déchets. Non seulement parce que c'est mauvais pour ma santé et pour l'environnement, mais aussi parce que c'est un mauvais choix pour les habitants de Visé et de ses environs.

    Avouons-le, notre planète est actuellement en feu en de nombreux endroits. C'est une mauvaise idée pour cette centrale de brûler 170 000 tonnes de bois supplémentaires par an.

     

    Ce bois est non seulement pollué, mais les particules les plus nocives, PM1 et PM0,1, ne sont pas arrêtées par les meilleurs filtres du marché.

    À cet égard, la loi est très en retard sur les faits scientifiques et, comme l'industrie, ne se concentre que sur les PM10 et les PM2,5. Il est cependant médicalement très largement reconnu que les plus petites particules, PM1 et PM0,1, sont les plus nocives. Dans le cas de cette usine de biomasse/incinérateur de déchets, vous ne verrez ni ne sentirez ces substances, mais elles pénétreront de manière invisible dans les poumons et le sang pour causer beaucoup de dégâts. La poussière fine est un “silent killer".

     

    Le vent est dans la direction de Maastricht et d'Eijsden pendant 80 % du temps, de sorte que la plupart des substances nocives, y compris les particules, se précipiteront sur nos réserves naturelles, nos villes et nos maisons. 

     

    Chez mes voisins et nos enfants.

     

    170 000 tonnes de bois, chaque année.

    Il est prévu que ce bois soit brûlé avec une efficacité de 30 à 35 % seulement. Ce chiffre est bien inférieur aux meilleures technologies disponibles. Plus de 110 000 tonnes de bois seront en quelque sorte brûlées pour rien.

    Ce n'est pas viable. Et cela n'a pas de sens.

     

    La science se retourne de plus en plus contre l'utilisation de la biomasse et la combustion du bois, surtout lorsqu'il est peint et imprégné. Le bois est de moins en moins considéré comme un déchet, et de plus en plus comme une matière première importante pour la transition vers une société durable et une économie circulaire. 

    Le bois est une source de matières premières, notamment pour le compost et les matériaux de construction Il est peu clairvoyant de brûler du bois et de l'envoyer dans l'air, car ces utilisations alternatives durables vont de plus en plus concurrencer les besoins de la centrale à biomasse. Le prix du bois en tant que biomasse ne fera donc qu'augmenter.  Bien entendu, cela n'est mentionné nulle part dans l'évaluation des incidences sur l'environnement ou dans les plans de projet.

     

    Il est vraisemblable que les Pays-Bas et l'Allemagne aient eux-mêmes un besoin croissant de préserver le bois en tant que matière première pour l'économie circulaire. Il est irréaliste de s'attendre à ce que ces pays voisins soient disposés à exporter cette matière première vers le CBR pour qu'ils puissent la brûler.

    Et d'où cette incinérateur va-t-elle tirer sa biomasse de plus en plus coûteuse ? Cela n'est mentionné nulle part dans les plans du projet.

    Ce n'est pas un projet durable, et il n'est pas à l'épreuve du temps.

    Permettez-moi d'énumérer mes arguments. La centrale à biomasse a sans aucun doute un mauvais impact sur la qualité de l'air et sur notre santé, malgré les affirmations de l'industrie

    L'efficacité est très faible, bien en deçà de ce qui peut être réalisé aujourd'hui. Le bois n'est pas un déchet, c'est une matière première pour la nouvelle économie.

    Et je vous le dis franchement, vous auriez dû nous informer bien plus tôt du projet de construction d'une centrale électrique à biomasse/incinérateur de déchets à Lixhe (B).

    C'est un mauvais investissement, polluant, et non un atout pour l'avenir de la commune de Visé.

     Je vous remercie encore une fois de m'avoir permis de prendre la parole et j'espère sincèrement que vous déciderez de mettre un terme aux projets de cette centrale. Je ferai de mon mieux pour répondre à vos questions, mais il se peut que j'aie besoin d'aide pour la traduction. 

     

    Au nom Klimaatcoalitie Maastricht, Constantijn van Aartsen et Milieudefensie Maastricht, Paul Rutten

     
    contact-adres: ruttenpaul@xs4all.nl
     
    Les réponses brèves et incomplètes de Xavier Malmendier, Echevin des travaux de la ville, n'ont en tous cas satisfait ni rassuré aucun des participants. Monsieur Malmendier a rappelé que la Ville avait elle aussi soulevé des imprécisions contenues dans le projet, mais que les réponses n'étaient pas encore toutes parvenues. L'Echevin a rappelé que la Ville de Visé ne faisait qu'émettre un avis et que la décision finale serait prise par la région Wallonne.
    (Pierre Neufcour)
     
     
     
     
     
     
  • Les 6 Heures de Visé reportées en 2021, vive les… Boucles de Visé 2020 !

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    Les 6 Heures de Visé reportées en 2021, vive les… Boucles de Visé 2020 !
     
    La semaine dernière, au moment d’officialiser, contraints et forcés, le report des populaires 6 Heures de Visé en 2021, les organisateurs de l’événement automobile de la Basse-Meuse annonçaient qu’ils avaient un plan B afin de permettre aux passionnés de balades de malgré tout pouvoir sortir leur automobile ancienne ou exclusive le premier week-end d’octobre. Un plan B désormais concrétisé sous la forme des Boucles de Visé, balade pour véhicules historiques, exclusifs et assimilés, à ajouter dans vos agendas le dimanche 4 octobre !
    « En recevant les questions et autres demandes de nos anciens participants, mais aussi de nouveaux, que ce soit via les réseaux sociaux ou notre site web, sans oublier les dizaines d’appels téléphoniques, nous ne pouvions décemment pas laisser tomber tous les inconditionnels des 6 Heures de Visé, explique Pierre-François Nihant, secrétaire de l’asbl BMCAC.Après réflexion et analyse des possibilités en respectant le protocole sanitaire en lien avec la lutte contre le virus, nous avons développé un nouveau concept. Le Basse-Meuse Classic Automobile Club est donc heureux de vous inviter à la première édition des Boucles de Visé ! »
    En clair et sans décodeur, les Boucles de Visé 2020 s’apparent à une balade ‘libre’ ; Après la distribution du RALLY-BAG© et des différents accessoires identiques aux 6 Heures de Visé - plaque rallye, kit ventouses, numéros de portières, autocollant de pare-brise, bouteilles d’eau, stylo, ‘Boucles Book’, autres goodies et 2 masques de protection COVID-19 aux couleurs des "Boucles de Visé" -, la centaine de participants prendra le départ le dimanche matin, depuis Visé, à l’heure qu’il souhaite et en respectant les conditions actuelles qui interdisent tout rassemblement public sur le site de la collégiale. Il n’y aura donc pas de petit-déjeuner officiel, restrictions du Conseil National de Sécurité obligent, mais certains commerces locaux seront déjà ouverts. A bon entendeur…
     
     
    Soutien au secteur Horeca de Visé
     
    Une première boucle de 100 kilomètres emmènera les automobiles sur un tracé inédit à 80%. Retour à Visé pour la pause de midi, et nouvelle innovation du BMCAC qui a décidé d’apporter son soutien au secteur Horeca de la ville de Visé, guère épargné par la crise sanitaire. La liberté sera en effet laissée aux équipages de gagner l’un des établissements Horeca partenaires dont la liste sera transmise, avec les coordonnées, le nombre de places disponibles, etc. L’occasion de découvrir ou redécouvrir les bonnes adresses de la Cité de l’Oie, et ainsi permettre à chacun de déjeuner selon un budget qui lui correspond. Boulet-frites ? Homard ? Tout est possible, en respectant les règles de prévention et de sécurité.
     
    On poursuit avec le "concept libre" dans l’après-midi, puisque le départ pour la seconde boucle est programmé à 13 heures, 14 heures… ou même plus tard ! Au programme : 100 nouveaux kilomètres, cette fois dans des régions jamais encore visitées par les 6 Heures de Visé !
     
    Pour le retour final au cœur de la Basse-Meuse, les règles matinales prévaudront toujours – pas de rassemblement public -, ce qui signifie que les concurrents pourront trouver place, à leur libre convenance, au centre de Visé. Le parking souterrain de l’Avenue Albert 1er, avec sa première heure gratuite et la deuxième à 1,20 €, devrait constituer une excellente solution et un gage de sécurité.
    « Afin de tourner une page et ne surtout pas reproduire les erreurs de 2017, nous nous sommes tournés vers l’un des grands spécialistes belges des événements de ce type, Eric Chapa, qui est aussi un excellent copilote, d’ailleurs vainqueur des 6 Heures de Visé Challenge Richard Soyez en 2019, commente Philippe Budin, Président du BMCAC. Responsable du parcours et de la gestion sportive d’événements aussi grandioses que les Legend Boucles @ Bastogne, le Liège-Rome-Liège, le Marathon de la Route, l’Ostbelgien Classic et autres grands rendez-vous, il a rejoint l’équipe du BMCAC pour cette première édition des Boucles de Visé. En charge du roadbook, il nous permet de garantir un tracé de grande qualité, dont chacun dira des nouvelles… »
     
     
    Avec le Relais pour la Vie Basse-Meuse
     
    Ultime détail : le droit de participation à ce tout nouveau cocktail que constituent les Boucles de Visé 2020 est de… 50 euros par équipage ! RALLY-BAG© inclus ! Toujours plus fort, le BMCAC s’engage à reverser 5 de ces 50 euros au Relais pour la Vie de Visé, association de la Basse-Meuse en lien direct avec la Fondation contre le Cancer. A l’instar de l’aide au secteur Horeca, la volonté des organisateurs visétois est de soutenir une association elle aussi privée de nombreuses rentrées financières suite aux annulations en cascade qui ont marqué le secteur événementiel au cœur de l’été.
     
    Rendez-vous sur le site internet habituel http://www.6heuresdevise.be/ , l’inscription en ligne avec paiement direct étant possible dès cette fin de semaine. Les informations complémentaires suivront via les réseaux sociaux et nos médias partenaires. Et qu’ça roule !
    Pour l'asbl BMCAC
    Vincent Franssen - Communication
     
     
  • Zone de police Basse-Meuse : Information de prévention

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    INFORMATION DE PREVENTION.

    Mesdames, Messieurs, Chers concitoyens bassi-mosans,

    La période actuelle faite de contrariétés liées à la gestion de la pandémie COVID mais également liée à cette vague de chaleur que nous subissons, a peut-être tendance à amoindrir notre rigueur.

    Je vous demande d'être particulièrement vigilants car nous venons de constater plusieurs vols dans des habitations non verrouillées, mais également des vols de ou dans des véhicules fermés, mais non verrouillés.

    Ressaisissons nous et faisons attention à ces petites choses qui peuvent avoir des conséquences très dommageables.

    Soyez attentifs
    Portez-vous bien

    CDP A. LAMBERT
    Chef de corps
    ZP Basse-Meuse