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Environnement - Page 17

  • La Maison de la Montagne Saint-Pierre, un lieu à découvrir !

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    SAISON 2020

    Réouverture de la Maison de la Montagne Saint-Pierre, Place du Roi Albert à LANAYE

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    Vous pourrez découvrir ou redécouvrir l’exposition permanente intitulée « Un bijou naturel dans un écrin millénaire » du samedi 11 juillet au samedi 31 octobre 2020.

    Le musée vous accueillera les week-ends et jours fériés de 14h à 18h, et en semaine sur demande et sur réservation par téléphone au 04/3748493.

    Prix d’entrée : 2,50 € pour les adultes, 1 € pour les moins de 18 ans, ainsi que les groupes, les étudiants, les retraités, les personnes handicapées sur présentation de la carte.

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    Quelques événements à retenir :

    Les prochaines balades dans la réserve naturelle de la Montagne Saint-Pierre, avec un guide de Natagora (sur inscription par téléphone au 04/3748493) :

    Dimanche 12 juillet 2020

    Dimanche 26 juillet 2020

    Dimanche 9 août 2020

    Dimanche 30 août 2020

    Nombre de participants limité !

     

    N’hésitez pas à découvrir un musée près de chez vous et réalisé pour vous !

    Le Service environnement

  • COMMUNIQUE DU CENTRE REGIONAL DE CRISE DE WALLONIE OBJET : Situation sécheresse en Wallonie

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    Le Centre Régional de Crise a procédé à un nouvel état de la situation de sécheresse en Wallonie ce mardi 16 juin. Il en ressort que les précipitations de ces deux dernières semaines ont eu un effet bénéfique temporaire pour les eaux de surface, les sols et la végétation, mais qui tend déjà à s’estomper.

    La distribution publique de l’eau est globalement sous contrôle même si des difficultés locales se font ressentir dans certaines communes. Plus spécifiquement, la situation au niveau régional est actuellement la suivante :

    ➢ La navigation à pleine charge est assurée partout. Des mesures de regroupement des bateaux aux écluses et de repompages restent activées.

    ➢ La distribution publique de l’eau se déroule normalement sur une grande partie du territoire wallon, hormis dans les localités de Rochefort, Tellin, Theux, Trois-Ponts et Gouvy qui ont pris des mesures de restriction quant à l’usage de l’eau via des arrêtés de police.

    ➢ Les débits des cours d’eau restent assez faibles par rapport aux années précédentes et certains cours d’eau commencent à atteindre des valeurs d’étiage. La navigation des kayaks est, à l’heure actuelle, encore possible sur tous les tronçons autorisés. La suspension de la production hydroélectrique des centrales situées le long des cours d’eau non navigables est possible dans les prochains jours.

    ➢ Globalement, les volumes d'eau dans les barrages-réservoirs sont toujours satisfaisants et les restitutions sont limitées pour préserver cette ressource.

    ➢ Les réserves en eaux souterraines poursuivent quant à elles leur descente saisonnière habituelle, avec des différences plus ou moins marquées selon les caractéristiques des nappes phréatiques.

    ➢ Concernant le risque d’incendie, celui-ci a fortement diminué à la suite des pluies.

    En conclusion, même si la situation reste actuellement sous contrôle, elle mérite encore une vigilance particulière car la situation de sécheresse rencontrée depuis deux mois perdure. Pour préserver les ressources en eau et garantir un approvisionnement normal au cœur de l’été, il est important que les citoyens continuent à faire un usage raisonné de l’eau de distribution.

    La Cellule sécheresse et les distributeurs poursuivront la sensibilisation de la population et des communes. Des mesures complémentaires sont prêtes et pourraient être activées par les autorités régionales dans les prochains jours.

    Le Centre régional de crise poursuivra un monitoring constant de la situation et fera un nouveau point sur l’état de sécheresse début juillet. Le Centre Régional de Crise reste à votre disposition pour toute information complémentaire.

  • "Nucléaire Stop" se mobilise contre l'enfouissement de déchets hautement radioactifs

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    Par la voix de Léo Tubbax, "Nucléaire Stop" nous a fait parvenir un communiqué que nous reproduisons bien volontiers ci-dessous :

    "Une dizaine d'activistes ont tenu une veillée devant les Galeries St Lambert à Liège le 10 juin à 18 h.
    Ils et elles ont manifesté leur mécontentement à propos de l'enquête publique bidon menée par l'ONDRAF à propos du lieu de l'enfouissement profond des déchets nucléaires hautement radioactifs et à durée de vie longue, (NDLR : jusqu'à 500.000 ans) enquête "publique" menée pendant le confinement. Des actions identiques ont eu lieu à Aix-la-Chapelle et à Maastricht. Les activistes, qui ont délibérément limité leur nombre, demandent que les autres options de traitements de ces déchets très dangereux soient aussi étudiées par l'ONDRAF. Ils refusent l'enfouissement en profondeur dans la région liégeoise, comme les Conseils Communaux de Stavelot, Profondeville, Bassenge et Blegny, ainsi que le Land de Rheinland-Pfalz et le Grand-Duché du Luxembourg. En outre, ils demandent que l'arrêt des réacteurs,  qui produisent ces déchets, soit clairement fixé dans le temps, selon la loi de 2003. Il n'y a eu aucun incident durant la veillée. De nombreuses discussion avec des passants ont provoqué l'indignation : ils n'avaient reçu aucune information à propos de cette enquête dite publique."
    Nous répondrons volontiers à toutes vos questions à ce propos.
    Léo Tubbax
  • Basse-Meuse : enfouissements de déchets radioactifs durant 500.000 ans

    Une interpellation citoyenne au conseil communal, il y a longtemps qu’on n’avait plus vécu pareil événement à Blegny. C’est Mathieu Simonis, avocat au barreau de Liège, qui l’a effectuée. Et cette dernière a été couronnée de succès, la commune ayant formulé sa plus vive inquiétude vis-à-vis de ce projet, tout en refusant à l’unanimité une implantation dans son territoire sans une enquête sérieuse et complète au préalable.

    Il faut dire que le sujet est sensible. Concrètement, le gouvernement belge, ou plutôt L’ONDRAF, à savoir l’organisme national des déchets radioactifs et des matières fissiles enrichies, est à la recherche de nouveaux sites d’enfouissement pour les déchets radioactifs dont la durée de vie est de 500.000 ans.

    Le Pays de Herve est l’une des zones envisagées. Ce qui provoque une vague de critiques. Une pétition a d’ailleurs été lancée. Les Bassi-Mosans ne voient pas non plus ce projet d’un très bon œil, comme l’a notamment expliqué Mathieu Simonis.

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    « En fait, il y a trois façons de ‘stocker’ les déchets radioactifs », précise l’ancien conseiller communal. « On peut les recycler, les placer dans les piscines en surface ou les enfouir au fond de puits dans des sols argileux à des centaines de mètres du sol. Trois possibilités seraient pressenties pour la troisième option : en Gaume, dans le massif de Stavelot et dans le Pays de Herve. Le souci, c’est que ces déchets ont un impact négatif sur l’environnement vu qu’ils sont radioactifs. Bref, leurs conséquences sont néfastes pour la faune et la flore. Et ce, que ce soit où ils sont enfuis mais également dans des communes limitrophes ou à proximité. »

    L’ONDRAF a lancé une enquête publique qui expire mi-juin. Mathieu Simonis avait interpellé sa commune qui n’était au courant de rien il y a quelques semaines. Il est ensuite passé à l’offensive. Une décision logique vu que Blegny, d’après différents plans, pourrait se trouver dans la zone préconisée par l’ONDRAF mais surtout parce que le village de Bolland (Pays de Herve) est voisin de la commune blegnytoise.

    Une motion à Bassenge

    Si Bassenge n’est pas limitrophe avec le Pays de Herve, ça ne l’empêche pas d’être vivement inquiète.

    Jeudi dernier, Ecolo (opposition) a ainsi déposé une motion contre ce projet, votée à l’unanimité. « Ce qui est déjà interpellant, c’est que cette enquête publique a été lancée en plein confinement, quand la population et les communes étaient focalisées sur la lutte contre cette pandémie », amorce Philippe Malherbe (Ecolo). « Actuellement, aucun site n’a été retenu pour accueillir ce stockage de déchets, mais on sait que l’ONDRAF propose au Fédéral d’adopter le stockage géologique. Bassenge est donc potentiellement concernée. On a donc préféré prendre les devants et faire en sorte que Bassenge fasse savoir qu’elle s’oppose et s’opposera à ce projet. Parce qu’outre l’aspect environnemental, on demande de s’engager pour des centaines de milliers d’années, avec un coût d’au moins 10 milliards d’euros. Or, en cas de stockage géologique, qui serait irréversible, on ne sait pas prédire les risques sismiques à si long terme. On ne sait pas non plus comment vont se comporter les fûts dans lesquels seront stockés les déchets avant d’être enfouis. »

    Ecolo souhaite donc que les autres méthodes soient étudiées par l’ONDRAF pour ainsi pouvoir choisir « la moins mauvaise solution ». (Source Sudinfo)

  • Avis d'enquête publique : plan d'action de lutte contre le bruit ferroviaire en Wallonie

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    Le Service public de Wallonie Mobilité et Infrastructures a élaboré un projet de « Plan d’actions de lutte contre le bruit ferroviaire en Wallonie ».

    Ce plan établit les priorités d’actions de réduction du bruit ferroviaire et se fonde sur les cartographies stratégiques du bruit ferroviaire du réseau régional de plus de 30 000 passages par an, établies selon la Directive européenne relative à la gestion du bruit dans l’environnement (2002/49/CE).

    Ce plan ne concerne pas la totalité du territoire wallon, mais uniquement 101 communes parcourues par le réseau ferroviaire régional de plus de 30 000 passages par an.

    Le Code wallon de l’environnement impose la réalisation d’une enquête publique.

    Celle-ci se déroulera entre le 25/05/2020 et le 08/07/2020.

    Les documents soumis à enquête publique sont :
    • le projet de « Plan d’actions de lutte contre le bruit ferroviaire en Wallonie ».

    Toute personne peut consulter ces documents :
    • sur le site internet de la Wallonie : https://www.wallonie.be
    • sur le portail environnement de la Wallonie : http://environnement.wallonie.be
    • dans chacune des communes concernées par le plan qui informeront la population des dispositions mises en œuvre pour leur permettre d’y accéder.

    L’autorité compétente est la Direction des études environnementales et paysagères du Département Expertises Hydraulique et Environnement du SPW Mobilité et Infrastructures dont l’adresse figure ci-dessous.

    Les avis et observations peuvent être adressés :
    • Par réponse manuscrite sur le questionnaire téléchargé et imprimé, accessible via le site mentionné ci-dessus, le questionnaire rempli devant être réceptionné au plus tard à la date de clôture de l’enquête, soit par l’Administration communale, soit par l’Administration régionale à l’adresse électronique ou postale suivante:

    Par toute autre disposition mise en place par les communes concernées par le plan.
    Ceux-ci devront être réceptionnés par le SPW Mobilité et Infrastructures ou l’Administration communale avant la date et l’heure de clôture de l’enquête publique.

    A l’issue de l’enquête publique, le Service public de Wallonie étudiera les réponses reçues et les intégrera au plan d’actions de lutte contre le bruit ferroviaire qui sera ensuite soumis au Gouvernement wallon pour adoption.

    Formulaire de l'enquête disponible  ICI