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Visé-infos - Page 237

  • Voici toutes les nouvelles mesures annoncées par le Comité de concertation

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    Le Comité de concertation s’est réuni ce vendredi 27 novembre pour réévaluer les mesures de confinement qui sont en place depuis plusieurs semaines pour lutter contre la propagation du coronavirus en Belgique.

    Le moins que l’on puisse dire, c’est que nos responsables politiques se sont montrés prudents, alors que de nombreuses personnes espéraient un allégement des mesures. Si certains secteurs auront prochainement plus de libertés, plusieurs d’entre eux devront attendre de longues semaines avant d’entrevoir la fin du tunnel. « Il faut continuer à se protéger, surtout à l’approche de l’hiver », à d’ailleurs lâché le Premier ministre.

    Pour le ministre de la Santé, on sortira de l’oeil du cyclone si on arrive à maximum 800 nouveaux cas par jour et maximum 75 hospitalisations par jour et les autres indicateurs devront être favorables. À ce moment-là, on pourra imaginer un assouplissement.

    Voici, en résumé, les principales décisions qui ont donc été prises et les dates clés à retenir.

    Magasins (1er décembre)

    Comme attendu, les commerces dits « non-essentiels » pourront rouvrir dès la semaine prochaine, et plus précisément le 1er décembre « de façon responsable ». Mais sous strictes conditions. « Il n’y aura pas de fun shopping », a précisé Alexander De Croo. Il faudra faire ses courses seul (sauf si on accompagne une personne à mobilité réduite), durant un court laps de temps et il pourra y avoir maximum un client par 10 mètres carrés.

    L’accès aux rues commerçantes et aux centres commerciaux doit être géré par les autorités communales.

    Métiers de contacts

    Les métiers de contacts (coiffeurs, esthéticiennes, salon de massage et tatouages…) restent fermés.

    Musées et piscines

    Les musées et les piscines peuvent rouvrir dès la semaine prochaine (mais pas les centres aquatiques)

    Culture et sport

    Les secteurs culturels et sportifs (sauf les piscines et musées) restent à l’arrêt. Sur base des protocles, ces secteurs pourront être relancés si le contexte le permet. Ils doivent donc se préparer. Mais aucune date n’est évoquée.

    Noël (24 et 25 décembre)

    Le Comité de concertation a fait une exception pour le réveillon de Noël (le 24 au soir et le 25). Les personnes isolées pourront inviter leurs deux contacts rapprochés ensemble, ce qui n’est pas permis en temps normal. Rien ne change pour les familles qui ne peuvent recevoir qu’une seule personne. « Si aujourd’hui vous êtes déçus, je vous comprends. J’aurais aussi voulu fêter Noël avec ma famille, mais cette année, ce ne sera pas possible », a expliqué Alexander De Croo. « Il ne faut pas gâcher en quatre jours ce que nous avons fait ces dernières semaines ».

    Pour les rassemblements extérieurs, la règle de quatre reste d’application. Le couvre-feu fédéral entre minuit et 5h reste d’application. « Le couvre-feu du coté wallon est de 22h à 6h et il le restera », a précisé Elio Di Rupo. « La décision actuelle vaut jusqu'à la mi-décembre. Il faudra réévaluer la situation. Si nous décidons de maintenir le couvre-feu à 22h, je pense qu'on peut, le 24 et le 25, faire un couvre-feu de minuit à 5h mais je dois encore en parler au sein de mon gouvernement ».

    Il reste, quoi qu’il arrive, interdit de se rassembler. La vente et l’utilisation de feu d’artifice sont interdits.

    Horeca (15 janvier)

    À l’heure actuelle, le secteur de l’horeca reste fermé jusqu’au 15 janvier. Une évaluation aura lieu au début de l’année.

    Contrôles aux frontières et voyages à l’étranger

    Par ailleurs, Alexander De Croo a rappelé qu’il déconseillait fortement les vacances aux skis. Il y aura des contrôles aux frontières ! Pour vérifier si les personnes qui reviennent de l’étranger ont bien rempli leur formulaire et si elles respectent les mesures de quarantaine et d’isolement.

    Selon le Premier ministre, le vrai déconfinement n’aura lieu qu’à la moitié du mois de janvier.

    (Source Sudpresse)

  • Un élément du patrimoine : la carte vue ancienne qui retrouve ses lettres de noblesse

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    Les cartes vues anciennes, un immense réservoir de recherches ? Et d’étonnantes découvertes

     

    Combien d’entre nous ne conservent-ils pas des cartes-vues anciennes. Il est vrai qu’à notre époque , smartphone aidant, nos contacts sont plutôt d’envoyer une photo d’un coin que nous visitons chez nous ou à l’étranger et en un clic, notre famille et nos amis sont au courant. Et Facebook ou Instagram aidant, nous avons un cliché. Est-il conservé longtemps ou ne passe-t-il pas la journée pour disparaître finalement dans la blogosphère !.

    Mais au siècle précédent et même la fin du 19e s., la carte postale était un vecteur tout aussi important et même plus que le téléphone que seuls certaines entreprises ou particuliers possédaient. (3 chiffres pour Visé avant 1914 et 9 chiffres des numéros téléphoniques maintenant) ; Il y avait plusieurs levées postales par jour et les facteurs étaient nombreux à travailler. Le prix du timbre était à la portée de la plupart et les boites de la poste étaient nombreuses dans la ville et plutôt que d’envoyer une simple carte (avec enveloppe c’était plus cher), la carte vue illustrée était de mise pour tous les actes de la vie quotidienne : la mère âgée envoyait à sa fille plus mobile sa commande chez l’épicier du coin, l’élève en internat envoyait une des nombreuses cartes vues éditées par l’école à ses parents qu’il ne retrouverait qu’aux grandes vacances, le voyageur envoyait à sa famille des vues de la ville visitée et j’en  passe. Qui éditait ces cartes-vues qui font encore le bonheur des collectionneurs et des musées intéressés à connaître le passé de leur région ? Il y avait des éditions nationales comme les NELS, LEGIA, HERMANS mais le plus souvent des éditeurs locaux comme des photographes, des libraires, des épiciers, des commerçants, des hôtels ou des restaurants…….. Mais le collectionneur averti se méfiera des légendes :

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    une vue de la rue du Perron qui n’est qu’une vue de la Rue Haute, l’église en ruines de Visé qui n’est autre que l’église de Barchon,

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    le chantier naval de Cheratte qui se muera en sentier naval…….Ne pas prendre tout comme argent comptant.  Il y a aussi l’aspect idéologique comme ces cartes vues des ruines de la ville de Visé détruite par « les boches ». Au grand désarroi des chercheurs, certains coins d’une ville ne feront jamais l’objet d’un cliché car trop peu représentatif ou commercial. L’éblouissement des personnes aussi quand un photographe s’installait dans la rue et que tous ses habitants sortaient de chez eux pour être dans la « boite ». A côté du cliché, il y a les textes : simples parfois, naïfs peut-être, intéressants souvent. Essayons de reconnaître ceux de nos ancêtres qui y sont dessus  Regardons donc ces cartes-vues dont la cote est parfois surfaite selon qu’il y a des personnes ou un motif particulier, selon la soi-disant rareté. Apprécions le côté noir et blanc pour les plus anciennes et surtout ne les jetons pas dans nos poubelles. Il peut y avoir aussi des musées que cela intéresse !!!

    En légende, quelques vues intéressantes :

    Les ruines non pas du chœur  de la collégiale de Visé  mais bien de l’église de Barchon et à côté le vrai chœur de la collégiale ruinée  et la  fausse rue du Perron qui est le sommet de la rue Haute, sans oublier Cheratte  et son « sentier » naval. Arrêt sur images, les petites filles Jeanne et Philomène Cerfontaine venaient de sortir de l’école communale de la place du Marché et furent prises en photo au dessus de la rue Haute peu après 1900.

     

  • Avis de disparition inquiétante pour un Hervien de 11 ans, Solal Depienne

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    Solal Depienne, 11 ans. - D.R.
     

    Un avis de disparition inquiétante vient d’être posté sur la page Facebook de la zone de police du Pays de Herve.

     
    Au moment de sa disparition, Solal portait un pantalon style militaire de couleur kaki, un sweat noir à capuche avec le logo « Nike » en blanc situé à l’avant et des chaussures noires et blanches de marque « Nike » également. Il ne portait pas de veste.

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    Solal Depienne est un peu plus âgé que sur cette ancienne photo. - D.R.

    « Si vous avez des informations permettant de localiser Solal, contactez le numéro d’urgence gratuit 101. Merci pour votre collaboration », conclut la police.

  • Notre bourgmestre écrit au ministre Clarinval

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    Monsieur le Ministre,

    En prévision du prochain conseil national de sécurité, je souhaiterais attirer votre attention sur la proximité de notre ville frontière avec les Pays-Bas et l'Allemagne, principalement Maastricht, Eijsden et Aix-la-Chapelle.

    En effet, nombre de nos concitoyens se rendent régulièrement de l'autre côté de la frontière afin d'y réaliser leurs achats.

    Les fêtes de la Saint-Nicolas et de Noël approchant à grands pas, il est urgent de se prononcer sur la réouverture de nos commerces.

    Hier encore, les médias télévisés faisaient état d'une présence massive de belges en quête de leurs cadeaux de Noël à Maastricht.

    Ce matin, c’est la presse écrite qui relaye une augmentation du chiffre d’affaire chez nos voisins de l’ordre de 30 à 40 %.

    Au fil des jours, nous assistons impuissants à la mort de l’ensemble de nos commerces de proximité au profit d’un tourisme commercial respectant au minimum les mesures sanitaires imposées.

    Selon une enquête menée par l’UCM auprès de 1000 commerçants indépendants, près de 87 % d’entre eux craignent pour la pérennité de leur activité.

    Il est de notre devoir de prendre action immédiatement et de rendre le sourire à nos commerçants.

    Faisons de ce prochain Conseil National de Sécurité un message d’espoir à l’attention de ces gens qui, depuis des mois, luttent pour leur survie.  

    C'est pourquoi, j’apporte mon plein soutien à une réouverture des commerces ce 1er décembre, dans le respect des mesures sanitaires.

    Je vous remercie de l’attention que vous porterez au présent et vous prie d’agréer, Monsieur le Ministre, l’assurance de mes salutations les meilleures .

    Viviane Dessart

    Bourgmestre de Visé

     

  • Cellule "indépendants" de la Province de Lège

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    La Province de Liège et son réseau de partenaires se mobilisent pour les indépendants (commerçants, responsable de TPE, gestionnaires de PME...) qui subissent l’impact de cette crise sanitaire, au travers de la Cellule Indépendants .

    La Cellule Indépendants propose un soutien socio‑administratif et psychologique.

    Des assistants sociaux et des avocats du Barreau sont à disposition des indépendants pour les accueillir, les écouter et les aider.

    Les services sont gratuits.

     

    Cette Cellule est  joignable :
     
    • Numéro de téléphone unique, réservé à ce public : le 04/279 29 30
    • E-mail : cellule.independants@provincedeliege.be
    • Adresse : rue Monulphe (entrée par la barrière noire, en face du 81) à 4000 Liège.

    Lien vers le site ICI