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Visé-infos - Page 239

  • Le cloître du Centre Culturel se fait une beauté

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    LE CLOITRE DU CENTRE CULTUREL DES SEPULCRINES, RUE DU COLLEGE SE FAIT UNE BEAUTE

    Il a fallu 3 sessions de travaux pour que l’ensemble du cloître , c’est-à-dire les murs qui entourent cette surface soient renettoyés et reprennent toutes leurs couleurs. Fin novembre, les visiteurs pourront redécouvrir toute la beauté de cet espace.

    D’où vient l’origine de cet espace dans nos régions ? : une cour entourée sur les quatre côtés d’un couloir qui permet de pénétrer dans toutes les pièces adjacentes. Sûrement pas dans la lointaine architecture de nos régions , mais bien à l’apport de la conquête romaine. La chance que les archéologues ont eue, c’est la découverte de Pompeï dès le 18e s. avec ses maisons avec cour centrale. Ce type d’architecture s’est développé dans nos régions, comme le prouvent les fouilles de la grande villa (domaine agricole) gallo-romaine de Haccourt avec au moins deux cours importantes permettant aux habitants de se rendre d’une pièce à l’autre. Ce type de structure « méditerranéenne » a été repris par les fondations monacales (les Bénédictins…..) et collégiales. Il n’y avait pas que cette utilité qui était mise en avant (ne pas devoir traverser d’autres pièces comme dans nos maisons) mais bien l’aspect religieux. Pour nos Chanoinesses du Saint-Sépulcre qui s’implantèrent à Visé dans le premier quart du 17e s. Nous reprendrons ici un extrait de la revue de 128 pages de la Société archéo-historique parue en août 2016 pour les 400 ans de la fondation de l’ordre à Visé (Nouvelles Notices n°137-138) : Formé de quatre galeries ou couloirs, le cloître a pour fonction première de distribuer l’accès aux différentes pièces du rez-de-chaussée ; le cloître est également un espace de prières, puisqu’il accueille une procession quotidienne des religieuses qui cheminent devant des statues ou des tableaux représentant la Passion du Christ.

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    L’architecture mosane du 17e s. est de mise et à noter la marque que les soeurs ont placée sur les murs du cloître, la croix à double traverse typique de leur ordre (Non, ce n’est pas la croix de Lorraine de de Gaulle) !

    Il faut savoir que lors du départ de la dernière sépulcrine en 1824, le lieu prit une fonction scolaire avec un Collège agricole « Saint-Hadelin », puis une école moyenne pour garçons (1851) qui deviendra après la reconstruction de l’école suite à l’incendie de la Grande Guerre, un Athénée (professant non plus 3 mais 6 années du secondaire) en 1936. En 1983, cette école prit ses quartiers sur les hauteurs du Gollet et la ville récupéra ce lieu en en faisant un lieu culturel. Savez-vous que l’intérieur du cloitre (la cour) servit sous la férule de ces sœurs cloîtrées qu’étaient les Sépulcrines, de dernière demeure et que probablement comme dans d’autres couvents (Charleville), on a retrouvé les corps de ces simples moniales. (les sœurs supérieures étaient inhumées sous la chapelle).

    Savez-vous aussi que cet espace fut un jardin botanique que les élèves pouvaient découvrir lors des cours de sciences naturelles, il y a un siècle. Il sert maintenant de lieu de détente et parfois de culture (pièces de théâtre ou musicale).

    Si vous n’êtes pas un habitué de ce lieu, sachez que dans votre cheminement, au nord, vous découvrirez l’échevinat des affaires sociales, à l’est l’entrée du musée régional qui vous accueillera (en des temps meilleurs) à l’étage, au sud la chapelle des Sépulcrines, espace d’expositions et une salle de réunion et à l’ouest des ateliers créatifs des plus variés.

    PHOTO : L’espace botanique au centre du cloître.

    (Communiqué)

  • Gardes médicales des 14 et 15 novembre pour la Basse Meuse et la vallée du Geer

    images.jpegMédecin de garde : du lundi au jeudi soir de 19h00 à 08h00 : un seul numéro : 04/379.09.00. 

    Pour leur sécurité, les médecins de garde de la Basse-Meuse sont en liaison avec les services de la Police.

    Attention :  un poste de garde médicale est ouvert les week-ends et jours fériés de 08h à 20 h rue Basse-Hermalle n° 2, à côté de la clinique. N° unique pour le médecin de garde : 04/374.09.34. 

     - Dentistes de garde : former le 112 pour connaître la liste. 

    PHARMACIES DE GARDE

    Pour toutes gardes entre 9h et 22h : www.pharmacie.be ou www.appl.be

    Pour toutes gardes entre 22h et 9h :

     Appeler le 0903/99.000

    - le samedi 14 novembre 2020 : Pharmacie BERNARD, rue Visé-Voie 36 à Oupeye 

    Tél : 04/264.21.04

                                                                                         

    - Le dimanche 15 novembre 2020 : Pharmacie POLAIN, rue César De Paepe 38 à Vivegnis 

    Tél : 04/264.22.18

  • Enquête publique : Aménagement de la place Reine Astrid à Visé

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    BGHP

     

    AVIS URBANISME Le Collège communal fait savoir que le Fonctionnaire délégué est saisi d’une demande de permis d'urbanisme

    Le demandeur est la VILLE DE VISE dont les bureaux se trouvent Rue des Récollets, 1 à 4600 Visé. Le terrain concerné est situé à 4600 Visé, Place Reine Astrid, non cadastré. Le projet consiste en la rénovation et le réaménagement de la Place Reine Astrid. Une modification de voirie communale est prévue avec notamment des échanges de terrain entre la Ville de Visé et la Région wallonne.

    L’enquête publique est réalisée en vertu de l’article R.IV.40-1. du CoDT et en vertu du Décret du 6 février 2014 relatif à la voirie communale. Nous vous signalons donc que cette enquête est ouverte à l'Echevinat de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement (service Urbanisme), rue de Mons n°11 à Visé.

    Conformément aux dispositions du Titre 1er de la partie III du Livre 1er du Code de l'Environnement, le dossier peut être consulté du 16 novembre 2020 au 15 décembre 2020 inclus : - par voie électronique de préférence, en contactant préalablement le Service Urbanisme de la Ville de Visé (rachelle.dumont@vise.be ou 04/374.84.90). - auprès du Service Urbanisme, rue de Mons, 11 à 4600 Visé, les jours ouvrables et le samedi matin sur rendez-vous uniquement à prendre par mail ou par téléphone.

    Les réclamations et observations écrites sont à adresser au Collège communal de la Ville de Visé, soit par courrier postal (rue des Récollets n° 1-3 à 4600 VISE), soit par e-mail (rachelle.dumont@vise.be), soit remises au service Urbanisme (rue de Mons, 11 à 4600 VISE), avant la date de la clôture de l’enquête fixée le 15 décembre 2020 à 15 heures au Service Urbanisme.

    L’enveloppe ou le courrier électronique portera la mention : Enquête publique – VILLE DE VISE – 2020/080 Les réclamations et observations orales peuvent être formulées pendant la même période sur rendez-vous auprès de ou lors de la séance de clôture de l’enquête. Le conseiller en aménagement du territoire et en urbanisme chargé de donner des explications sur le projet est Mme MARCHAND, service Urbanisme (rue de Mons, 11 à 4600 VISE)

    Visé, le 09 novembre 2020.

    (Communiqué)

  • La coopérative «Les Petits Producteurs» ouvre un quatrième magasin à Visé

    Samedi prochain, le 14 novembre, la coopérative « Les Petits Producteurs » lance un nouvel appel public à épargne de 140 000€ pour financer l'installation de leur quatrième magasin, qui ouvrira ses portes à Visé le 28 novembre, et pour continuer à soutenir les petits producteurs et à mettre en place des filières d'alimentation locale.

    Des magasins de quartier pour retisser le lien entre producteurs et mangeurs

    Après avoir ouvert trois magasins à Liège depuis 2016, la coopérative inaugurera son quatrième magasin à Visé rue Haute n°34 le 28 novembre prochain. Un choix qui est encore et toujours celui du circuit-court puisque plusieurs producteurs qui fournissent la coopérative depuis ses débuts sont de la région: Joël Ruth (légumes) et Théo Jodogne (champignons) à Ében-Émael, Julien Vandeclee (légumes) à Houtain-Saint-Siméon et Pierre-Marie Laduron (fruits) à Warsage.

    Sur un terrain mis à disposition par la Ville de Liège à Sainte-Walburge, la coopérative a soutenu l’installation de deux producteurs. Leur production est écoulée dans les magasins de la coopérative où ils travaillent également comme vendeurs, ce qui leur permet d’améliorer leurs revenus. Après une phase d’évaluation, d’autres projets CREaFARM pourront être lancés grâce au financement citoyen.

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    Développer des filières pour relocaliser notre alimentation

    « Depuis peu, la coopérative propose dans ses points de vente de la farine, du pain et des biscuits entièrement issus d'une filière 100% locale qu'ils ont mise en place avec leurs producteurs. Qualité, proximité et prix juste pour le producteur sont ainsi garantis du terrain jusqu'aux magasins », indique la coopérative.

    « À travers tous ses projets, la coopérative invite les citoyens et citoyennes à investir leur épargne dans l'économie locale plutôt que les banques, dans un projet qui a du sens, pour revaloriser celles et ceux qui produisent notre nourriture tout en rendant accessible à toutes et tous une alimentation bio et locale », conclut Pascal Hennen, le gérant.

    (Marc Gerardy pour Sudinfo)