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Photo La Meuse
Eh oui ! Joseph BRUYERE est bien originaire de Lanaye, plus précisément de Petit-Lanaye, bien qu’il soit né à MAASTRICHT le 5 octobre 1948. Sa maman Jeanne était hollandaise et comme le village n’était pas loin de Maastricht c’est là qu’elle a choisi d’accoucher...
C’est son père Louis, passionné de cyclisme, qui lui a acheté un dimanche de juin 1961 son premier vélo de course et pas n’importe où, … sur La Batte à Liège. Comme il n’y avait pas de place pour mettre le vélo dans la Renault 4 de son papa, Joseph est revenu de Liège en pédalant, voilà le départ d’une belle carrière cycliste.
Il a commencé par des courses dans la région, notamment à Lanaye en 1961 mais beaucoup d’autres allaient suivre. Professionnel de 1970 à 1980, citons parmi ses nombreuses victoires, les plus fantastiques « Liège-Bastogne-Liège » gagnées à deux reprises (1976 et 1978) sans oublier ses participations à six tours de France et cette superbe victoire de l’étape de 1972 disputée entre Auxerre et Versailles. Joseph a également porté le maillot jaune par deux fois, en 1974 pendant trois jours et en 1978 pendant huit jours. Il a également remporté une étape au Tour d’Italie. Son palmarès est éloquent tant en amateur qu’en professionnel. Qui ne se souvient pas de ses trois victoires « le circuit Het Volk » ?
Porte drapeau du cyclisme wallon pendant deux lustres, Joseph BRUYERE est dans la lignée de ses glorieux prédécesseurs liégeois Emile MASSON, Marcel DUPONT et Jean BRANKART.
Mais Joseph est également l’un des plus fidèles lieutenants du cannibale Eddy MERCKX. « Le Merle blanc » comme l’a surnommé Théo Mathy est le plus inconditionnel de tous les Merckxistes. Il a fait partie de son équipe jusqu’à la retraite sportive de ce dernier. Une fois sa carrière terminée, Joseph BRUYERE deviendra employé à la Province de Liège et plus précisément au service des Sports. Actuellement ce grand champion bénéficie d’une pension bien méritée entourée de son épouse Myriam, de son fils Olivier, de sa fille Régine sans oublier son petit-fils Aymeric.
Pour en savoir plus, nous vous conseillons le magnifique livre de Didier MALEMPRE avec une préface d’Eddy MERCKX qui est édité aux éditions Luc Pire.
Pour la S.R.A.H.V Guy Reggers

Les congés d’été et leur baisse de trafic vont être mis à profit pour mener un chantier pendant deux semaines sur l’autoroute E25/A25 entre Cheratte et Wandre, uniquement en direction de Liège.
Ces travaux permettront de procéder, en fonction du tronçon, à la réfection de la couche de roulement ou des couches supérieures du revêtement. Sur certaines zones, l’intervention sera localisée.

Pendant les travaux, la vitesse sera limitée à 70 km/h.
Le chantier se découpera en deux phases :
les usagers circulant sur l’autoroute E25/A25 en direction de Liège devront emprunter l’ellipse de l’échangeur de Cheratte qui les ramènera directement sur l’autoroute.
les usagers circulant sur l’autoroute E40/A3 depuis l’échangeur de Loncin et souhaitant se diriger sur l’E25/A25 en direction de Liège devront suivre une déviation mise en place dans l’échangeur de Cheratte.
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Ces travaux, financés par la SOFICO, seront réalisés en collaboration avec le partenaire technique de la SOFICO : le SPW Mobilité et Infrastructures.

Après une dizaine de jours d’hospitalisation, la mauvaise nouvelle est tombée lundi : Myriam Abad-Perick a appris qu’elle ne survivrait pas de sa leucémie. Fidèle à ses habitudes, la socialiste a toutefois gardé le moral, tentant de positiver avec sa famille, ses amis et les personnes qui lui rendaient visite. Mais cela n’a malheureusement pas suffi et elle s’est éteinte mercredi en début de soirée à l’âge de 62 ans, provoquant l’émoi dans la commune de Blegny et dans ses environs. Il faut dire que sa popularité était aussi forte que sa franchise, son honnêteté et surtout sa joie de vivre.
À Blegny, il n’y a d’ailleurs quasiment que le poste de bourgmestre que Myriam Abad-Perick n’a jamais occupé ! Elle a siégé au Conseil communal durant 37 ans. C’est en fin d’année 2018 qu’elle a tourné la page, consciente que ses soucis de santé commençaient à devenir trop problématiques. « L’aventure politique avait débuté en 1981 », nous confiait cette fille d’immigré espagnol avant son dernier Conseil.
Des attributions, Myriam en a reçu une flopée durant sa longue carrière politique à Blegny. « Si je jette un coup d’œil dans le rétroviseur, je remarque que j’ai tout eu en charge sauf la culture et l’enseignement », ajoutait-elle aussi avec un grand sourire.
À noter que Myriam Abad-Perick a en quelque sorte écrit l’histoire de sa commune. En effet, elle avait été la première conseillère communale féminine à Blegny. Ensuite, elle a aussi été conseillère provinciale puis présidente du conseil.
(Yannick Goebels)