Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Visé-infos - Page 521

  • Avis de recherche: Jade (8 ans) et Jordan (11 ans) GAMOT de Mouscron ont disparu

    fullsizeoutput_1b5.jpeg  

    Jade GAMOT, 8 ans, et son frère Jordan GAMOT, 11 ans, sont introuvables. Jade (1m32) est de corpulence mince et a les cheveux blonds. Jordan (1m40) est de corpulence normale et a les cheveux blonds.

    Ils sont portés disparus depuis ce mercredi, signale encore Child Focus.

    Si vous avez des informations, contactez Child Focus au 116.000 ou la police au 0800.30.300 !

    18.00 H Les fillettes ont été retrouvées

     
  • Nouvelles disparitions inquiétantes à Mons

    En plus des disparitions de Jade et Jordan Gamot signalées ce jeudi soir, Child Focus a publié cette nuit deux nouveaux avis de recherche concernant, cette fois, deux adolescentes de 13 ans.

    Althea et Athénaïs n’ont plus donné signe de vie depuis ce jeudi. Hospitalisées au CHU Ambroise Paré, elles ont fait connaissance lors de leur passage à l’hôpital. Et jeudi, elles ont quitté le CHU ensemble sans prévenir.

    Si vous avez la moindre information, merci de contacter Child Focus au 116 000 ou la Police au 0800 30 300.

  • Valère à Visé : c'est l'intitulé de l'exposition artistique qui se tient actuellement aux Sepulcrines.

    fullsizeoutput_117a1.jpeg

    L'Artiste et une de ses filles © P. Neufcour

    Valère Maenhout habite Tongres. Né à Vreren en 1934, il vient exposer ses oeuvres à Visé tous les deux ans.  Notre homme a suivi les cours de typographie à Don Bosco à Liège. Il est ensuite venu exercer son métier à l'imprimerie Wagelmans à Visé, tout en poursuivant des études artistiques à l'Académie des Beaux Arts de Liège. Il y obtint d'ailleurs la médaille d'argent.

    L'artiste abandonne alors l'imprimerie : il enseignera les arts graphiques à Don Bosco. Valère peint depuis plus de cinquante ans. Il s'est d'abord essayé à l'huile, mais très vite il a opté pour l'aquarelle.

    fullsizeoutput_11761.jpeg

    Il trouve son inspiration en Provence, dans nos paysages régionaux, mais il excelle également dans les portraits. Notons que souvent, les coquelicots et les coqs sont présents dans ses tableaux. 

    La rumeur a couru que c'était très probablement la dernière fois que nous avions le plaisir d'admirer son travail à Visé.  "Je ne rajeunis pas, nous dit-il en souriant. Il y a trois mois j'ai eu un très gros problème cardiaque, j'ai failli perdre la vie. Je suis resté à l'hôpital de Tongres plus de deux mois. Si je suis ici aujourd'hui, c'est grâce à la médecine. J'ai cru que ma vie se terminait".

    DSC_0618.JPG

    Puis il se montre rassurant, expliquant au très nombreux public de fidèles qui assistaient au vernissage, que tous comptes faits, il ne se voit pas arrêter de peindre... Dans sa brève allocution, il rappela son parcours, remerciant également tant sa famille que ses amis mais aussi les divers Echevins de la Culture visétois et le personnel communal qu'il a côtoyés durant toutes ces années.

    fullsizeoutput_11718.jpeg

    Il signalera qu'il offre à la ville de Visé un grand tableau de Vaison la Romaine, ville dont l'initiale est la même que Visé.

    fullsizeoutput_1182b.jpeg

    Viviane Dessart, l'actuelle Echevine de la Culture, lui offrit deux cadeaux en guise de remerciements : un livre reprenant l'histoire de nos trois gildes au nom de la Ville, mais aussi, de sa part, un immense coq en chocolat, animal fétiche du Maître, qu'il aime représenter tant en couleurs qu'en noir et blanc.

    fullsizeoutput_11854.jpeg

    Vint ensuite le tour du Bourgmestre, Marcel Neven, qui lui aussi félicita l'artiste pour l'excellence de son travail et sa fidélité à la Ville pour ses expositions. Le vernissage se termina par le verre de l'amitié.

    L'exposition est accessible tous les jours du 29 mars au 8 avril, de 14h00 à 18h00, à la chapelle des Sepulcrines (Centre Culturel) au 31 de la rue du Collège. Une bonne centaine d'oeuvres du Maître Maenhout y sont exposées.

    Quelques photos prises lors du vernissage, en marge droite

    (© texte et photos Pierre Neufcour)

     

  • Cheratte-Haut : travaux dans le thier Herkay

    signalisation-tripan-panneau-a31-travaux-pliable.jpg

    Travaux du pont de la Julienne (route Cheratte-Hauteurs/Housse)

    Des travaux urgents doivent être entrepris sur le pont enjambant la Julienne entre Cheratte-Hauteurs et Housse à la jonction des rues Del No et du Thier Herkay. Malheureusement, à la même époque, des travaux de pose de câbles seront toujours en cours route Légiponts (commune de Blegny).

    Pour les utilisateurs de ces 2 rues, les 2 voiries seront en travaux simultanément.

    Une réunion a donc eu lieu le 22 mars afin de tenter d’aplanir les difficultés pour les utilisateurs.

    Le début du chantier sur le pont a été retardé au 23 avril et devrait se terminer dans le courant du mois de juin, en fonction des conditions climatiques.

    La circulation sera fermée sur le pont de 7H15 à 16H30 et rétablie sur une bande en dehors de ces heures.

    Par ailleurs, la commune de Blegny signale que les travaux de la route Légiponts pourraient être terminés plus tôt que la date initialement prévue du 27 avril.

    La concomitance des travaux ne serait dès lors plus que de quelques jours. La circulation serait alors déviée soit par Richelle, soit par l’autoroute. Une possibilité existerait par le lotissement de la rue Lieutenant Simon qui ne peut être traversé (piquets amovibles) en temps ordinaire. Si la commune de Blegny marquait son accord, ce serait une solution plus simple, tant pour les habitants de Cheratte que de Housse, un peu gênante certes pour les riverains mais de quelques jours seulement.

    Le Bourgmestre - Marcel NEVEN

    Lien permanent Catégories : Travaux
  • Le Cri de la Chouette

     

    thumbnail_CriChouetteCouleur.jpg

    Souvenirs de mon enfance  

     

    Ceci est une histoire vraie…

    Pendant la guerre, mes parents ont aidé une famille juive. Le père, la mère et une adolescente qui s’appelait Gilda !

    Ils n’habitaient pas chez nous. Je ne sais pas où ils habitaient… peut-être chez ma tante Jeanne… peut-être chez ma tante Marie… probablement que je ne devais pas le savoir… À mes questions, je n’avais que des réponses évasives !

    Pourtant, régulièrement, ma mère leur portait des œufs des poules de ma grand-mère, des légumes du jardin de ma grand-mère et même des vêtements de ma sœur… Si on te demande quelque chose, tu ne sais pas !

    Le temps a passé… Quelques fois, ma mère et moi sommes allés leur dire bonjour, ils habitaient alors une petite maison tout étroite, rue Gérardrie à Liège.

    Et, malgré toutes ces années passées, je n’ai pas oublié l’inquiétude de ma mère quand, à la maison, on parlait de la situation de cette famille, ni son anxiété quand passait une patrouille allemande. Je la sentais nerveuse si nous croisions en rue des personnes étrangères au village.

    Cela devait être épuisant de vivre dans la crainte, tout en voulant rendre service…

    Vous qui avez lu ces lignes, vous comprendrez que je dise

    "NON aux visites domiciliaires !"

    Pourtant l’expression est presque jolie ! On pourrait croire à des visites de courtoisie afin de voir si tout va bien, si on a de quoi manger, de quoi se chauffer…

    Mais ne nous y trompons pas : à cause d’un excès de zèle, d’un mensonge, d’une dénonciation, de quelques mots changés dans la loi, craignons que ces visites domiciliaires se changent en fouilles, perquisitions, arrestations, condamnations…

    NON, la Démocratie ne peut permettre cela !

    Mesdames et Messieurs les Ministres, vous avez été élus grâce à notre démocratie.

    Alors, défendez-la comme l’ont fait les Conseils Communaux de la Basse-Meuse !


    Victor MASSIN

    Président