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  • Basse-Meuse et Pays de Herve s'unissent pour créer une Agence Immobilière Sociale

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    C'est une initiative de la ville de Herve. Dès le début de la mandature, les élus herviens ont souhaité créer cette nouvelle A.I.S. En effet, en examinant la carte des agences existantes, on remarque que la région s'étendant du Pays de Herve à la Basse-Meuse n'en comprend aucune. Suite à différences réunions de concertation, il a été convenu que les communes de Blegny, Dalhem, Herve et Visé constitueront la future A.I.S "Pays de Herve".

    Les communes ainsi que les CPAS ont voté les statuts de cette ASBL et ont déjà désigné leurs représentants au Conseil d'administration et à l'Assemblée générale. Un représentant du Syndicat National des Propriétaires et Copropriétaires ainsi qu'un représentant du Réseau Wallon de Lutte contre la pauvreté complètent le Conseil d'administration.

    Cette nouvelle AIS devrait débuter ses activités début de l'année prochaine.

    Quel est le but exact de cette nouvelle Agence?

    Tout d'abord de répondre à une demande très importante de candidats locataires, mais aussi de propriétaires souhaitant confier la location de leur logement à une AIS, ensuite proposer une alternative aux logements inoccupés et/ou insalubres, mais aussi regrouper des communes semi-rurales et semi-urbaines autour d'un même projet tout en améliorant l'offre en matière de logements publics dans les communes.

    Le Fonctionnement 

    Une A.I.S est un outil efficace mis à la disposition des communes et de leur CPAS afin de permettre à tout un chacun de se loger. Elles servent d'intermédiaire entre les propriétaires (à qui elles offrent toute une série d'avantages) et des ménages à revenus modeste ou en situation de précarité. Elles offrent également un accompagnement social de qualité, considéré comme le 'fil rouge" du fonctionnement des A.I.S.

    L'objectif étant de garantir un accès à un logement décent pour un loyer modéré avec pour conséquence que le locataire se considère "comme chez lui", s'approprie le logement, le conserve et s'y épanouisse.

    Dès l'inscription et l'attribution du logement, l'accompagnement entre en action Il se développera durant la période d'occupation en mettant en exergue la  qualité de vie des locataires mais aussi le maintien en bon état du logement. Cet accompagnement est le complément des services sociaux en place, dont le CPAS.

    Les 28 A.I.S de Wallonie permettent ainsi de réintroduire des logement inoccupés sur le marché locatif, tout en luttant contre les logements insalubres ou évitant qu'ils ne le deviennent tout en permettant aux propriétaires d'y effectuer les rénovations nécessaires grâce à des prêts et subventions soumis à conditions.

    Garanties aux propriétaires

    - Recherche d'un locataire, rédaction des baux, des états des lieux, le suivi des obligations locatives...

    - le payement régulier des loyers;

    - la remise en état des lieux en fin de location s'il échet;

    - l'exonération ou la réduction du précompte immobilier.

    Pour créer une A.I.S. il faut réunir une ou plusieurs communes limitrophes comptant ensemble au moins 50.000 habitants. chaque commune ne peut être desservie que par une seule A.I.S. 

    L'Agence immobilière sociale "Pays de Herve" sera constituée au minimum d'un médiateur social diplômé et d'un agent affecté à la prospection et à la conclusion des contrats de gestion et de bail. Une subvention de 101.519 € en base annuelle pour les deux premières années a été attribuée. A partir de la troisième année, le calcul de la subvention prendra en compte le nombre de logements gérés. Chaque commune participera également au financement annuel à concurrence de 0,50 € par habitant.

    Le siège social de cette nouvelle AIS est situé à 4650 Herve, 26 rue du Collège.

     

  • Que s'est-il passé dans le centre de Visé

     

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    Vous êtes nombreux à vous interroger sur le motif de la présence des services d'incendie et de la police dans le centre de Visé ce samedi en fin de journée.

    Un lecteur, Mickaël Detaille nous donne la réponse : une alerte suite à une forte odeur de gaz au magasin Zeeman.

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    C'est d'ailleurs ce lecteur, de passage, qui nous a transmis ces deux photos. Merci à lui.

  • Les casseroles judiciaires de Tonton Tapis

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    - Laurent : l'affront à la famille royale

    - Ostende - Standard : PROTO A SIMULÉ!

    - 77 maisons bientôt rasées dans la rue principale d'Ougrée

    - Les Accises sur l'alcool pourraient baisser en 2017

    - Les recettes sur le tabac diminuent

    - Judiciaire : 26 ans et déjà 23 condamnations

    - Rocourt : sous influence, ils roulaient à 100 km/h au lieu de 50

    - Des cadeaux liégeois "innovants" sous le sapin

    - un Oupéen ouvre un "Croquet'drive" à Awans

    - Les poumons des policiers en danger : 100 plaintes. La qualité de l'air du bâtiment est mise en cause

    - Wallonie : des caméras sur les aires d'autoroute

    - Les militaires envahissent les rues

    - Moulinsart a perdu 1,4 million

    - Afsca : des rongeurs et des cafards dans les cuisines de nos restos

    - Willy Borsus : "Les minimexés classiques commencent à baisser"

    - Echangez vos cents contre un bon d'achat

    - Trop de malbouffe ramollit le cerveau des adolescents

    - Foot : Visé a-t-il enfin trouvé la bonne formule?

    - Etc, etc...

    Lien permanent Catégories : Divers
  • Une instruction ouverte à l'encontre de "Tonton Tapis": un plaignant l'accuse d'avoir organisé son insolvabilité

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    André Debor, alias « Tonton Tapis », a-t-il organisé son insolvabilité pour éviter d’exécuter un jugement du tribunal du commerce de Liège ? C’est ce que la justice liégeoise tente de découvrir. Suite à une plainte, déposée en avril, une instruction a été ouverte. En attendant, l’ancien roi de la moquette nie vigoureusement.

    En avril 2016, un homme a déposé plainte à l’encontre du septuagénaire visétois. En cause, un jugement datant de mars 2015, dans lequel la SPRL Manutex, dont André Debor était gérant, est condamnée à payer la somme de 51.000 euros (plus les indemnités de retard), au plaignant. Ce dernier n’a, à ce jour, rien perçu. Et pour cause : André Debor a mis fin aux activités de sa société peu de temps avant le jugement. Organisation de son insolvabilité, martèle l’homme à l’origine de la plainte. Absence de liquidité et donc, impossibilité de payer, précise André Debor par l’entremise de son conseil, Me Didier Grignard. (Rédaction en ligne)

    Une information à découvrir dans nos éditions de ce mercredi 16 novembre ou via notre liseuse numérique

    Lien permanent Catégories : Justice
  • Le billet du C.A.L Basse-Meuse

    attachment.jpgLe libre examen pour rassembler

     

    C’est le thème central  du trimestriel du CAL de la Province de Liège  « Salut et Fraternité »

    Je vous en communique l’introduction :

    « La laïcité est, faut-il le rappeler, un principe humaniste qui repose sur le respect des droits humains et des libertés fondamentales, parmi lesquelles le libre examen. Ce dernier permet de construire son propre raisonnement, sa propre expérience mais aussi de poser ses propres choix en dehors de toute référence à une quelconque transcendance. Le libre examen est donc formellement incompatible avec toute forme d’obscurantisme ou, plus largement, tout ce qui interdit la pensée critique.

    Face aux radicalismes, notamment religieux, et aux replis identitaires, il est urgent de permettre à chacun de maîtriser cette méthode et de la mettre en pratique.
    L’école a là un rôle essentiel à jouer en donnant à chaque enfant les clés pour exercer son libre examen ! Il appartient donc à nos responsables politiques de veiller à ce qu’elle participe activement à ces enjeux : la rencontre de l’Autre, l’accès aux savoirs et aux outils permettant à chacun de concevoir sa propre interprétation du monde.

    C’est dans cet esprit que le mouvement laïque soutient de longue date la création du cours d’Education à la Philosophie et à la Citoyenneté (EPC). Pour rassembler tous les élèves autour d’une réflexion commune, découvrir les courants de pensée et de croyance, se parler, confronter les idées, philosopher, s’initier à la démocratie et à la pratiquer sans a priori et, surtout, en exerçant son libre examen. »

    Pour lire régulièrement cette revue et y trouver de nombreux articles, tous très intéressants, n’hésitez pas à la demander à info@calliege.be  ou par téléphone au 04 232 70 40

    Bonne lecture !

    Claire Dethioux pour Culture et Action Laïque de la Basse-Meuse