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  • Le mot du Bourgmestre

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    Le Femina Visé une nouvelle fois en finale de la Coupe de Belgique

    Le club de handball féminin a remporté 12 fois le championnat de Belgique et autant de fois la coupe. Malheureusement une blessure grave survenue à l'une de ses meilleures joueuses (Kristien Leonaers) en janvier 2016 l'a privée d'une victoire en championnat en 2016 (lors de l'accident le club était invaincu). Pendant une bonne partie de l'actuel championnat, les Visétoises toujours privées de Kristien échouèrent souvent de très peu et se retrouvèrent pour la 1ère fois depuis très longtemps en play-downs. En fin de championnat les résultats furent nettement meilleurs (larges victoires sur Saint-Trond et Bocholt qualifiés pour les play-off et surtout victoire contre Middelkerke en 1/2 finale de la coupe) et donc perspectives intéressantes pour reconduire la détention de la coupe de Belgique. La finale se disputera le lundi 17 avril (lundi de Pâques) à Louvain contre Saint-Trond. Un déplacement en car est prévu au départ du hall de Visé, à 10H15. Réservation pour les entrées et le car au 0495/545 228.

    Les visiteuses ne doivent pas se considérer comme favorites, mais compte tenu de leur malchance, elles méritent assurément une nouvelle victoire.
    L'importance du nombre de supporters sera peut-être décisive.

    Le 30 mars 2017,
    Marcel Neven
     

  • Le Gyro Go, la nouvelle activité inaugurée à Sarolay.

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    Depuis samedi, Maurice Dewalque nous offre la possibilité de nous familiariser avec les "gyropodes", ces drôles de petits véhicules électriques à deux roues.

    "Je désirais me lancer dans une nouvelle activité, nous explique Maurice. J'ai trouvé intéressant de proposer des gyropodes à la location. J'ai fait l'achat de 9 machines, elles sont disponibles tant pour les sociétés ou entreprises que pour les personnes privées".

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    Comment ça roule?

    Il suffit de déplacer le poids du corps pour mettre l'engin en mouvement. Se pencher légèrement vers l'avant, et c'est parti. Tout en vous tenant au guidon, vous reprenez la position verticale et la machine freine et s'arrête. Pour faire marche arrière, il suffit de porter le corps vers l'arrière, et ça recule. Pour virer, inclinez le guidon a gauche ou à droite, et ça tourne court! Ces engins ont une autonomie d'environ 2 heures, tout dépend évidemment de la vitesse maximale à laquelle vous circulez, ( 6 ou 18 km/h), la nature du terrain, mais également le poids du pilote.

    "Après une dizaine de minutes d'initiation, vous êtes fin prêts pour le départ, actuellement au siège de la société, au 148 de la rue Michel Beckers à Sarolay. Mais vous avez également la possibilité de vous faire livrer ces engins à une adresse déterminée."

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    Combien ça coûte?

    Au départ, la société Gyro Go conseille une balade d'une heure pour un montant de 30 €. Cet itinéraire est destiné à rester sur le plateau : Argenteau, Sarolay, Cheratte Haut. Autre possibilité, mais destinée aux pratiquants plus confirmés, une balade de deux heures comprenant un passage aux étangs de la Julienne pour la somme de 50 €.

    Rien ne vous empêche cependant de descendre le Thier de Sarolay puis d'emprunter la ravel jusqu'à Visé et retour. Des casques sont mis à la disposition des utilisateurs. Âge minimum requis : 12 ans. (P. Neufcour)

  • Edition spéciale : Un Wallon roi des Flandres

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    - Le vrai coût des cabinets ministériels wallons

    - Acheter un parking à Liège : un placement sûr

    - Nous avons les mains propres chez Ecolo

    - L'appartement de l'horreur : la locataire reste introuvable

    - Arrêté parce qu'il se vantait d'avoir braqué

    - Moins de déchets grâce aux conteneurs

    - Automobiles : le "boom" des ancêtres

    - Oupeye : un repas pour 60 sans déchets

    - Elle fait du chocolat avec les enfants malades

    - Double suicide à Namur : mère et fille avaient déjà contacté les pompes funèbres

    - Ils veulent garder leur voiture de société

    - Une baleine boréale à la côte belge

    - Du logement rapidement, à prix attrayant

    - Un mois d'avril aussi beau que mars

    - Philippe Gilbert : monumental

    - Foot : Richelle n'est pas troisième pour rien

    - Standard : no comment

    - Etc, etc... 

    Lien permanent Catégories : Divers
  • Les commerces de la Cité de l'Oie ne se portent pas si mal

     

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    Selon l'étude commandée par l'Agence de Développement local visétoise ( A.D.L.) à la société Pluris, le commerce visétois ne se porte pas si mal. Malgré la forte concentration de centres commerciaux proches de Visé tels Rocourt, Herstal ou encore Aubel et même Maastricht, le développement de l'E-commerce et la crise économique, Visé parvient à tirer son épingle du jeu.

    L'hyper centre de Visé est regroupé sur deux axes : l'Avenue du Pont et l'Avenue Albert 1er, mais aussi les rues du Collège et Haute. C'est là que se trouvent réparties les 192 cellules. "Fin 2016 on comptait 11 % de cellules libres " nous explique Bruno Bianchet, responsable de l’étude chez Pluris. "Si ce nombre est relativement important, il faut cependant relativiser : elles ne le restent pas très longtemps. Il existe à Visé une rotation importante de commerces."  Il faut également souligner que par rapport à d'autres villes de même importance, comme Waremme ou Bastogne par exemple, ce nombre est inférieur.

    L'association "Le commerce visétois"

    Selon Marc Wagelmans, à Visé, le mot "indépendant" dit bien ce qu'il veut dire. Nombreux sont les commerçants qui désirent profiter des avantages que procure cette association à ses membres, mais nombre d'entre eux ne désirent pas s'impliquer, par crainte, semblerait-il de perdre ne serait-ce que partiellement cette "indépendance".

    La diversité comme principal attrait

    Depuis janvier, 4 nouveaux commerces se sont installés, d'autres ont changé d'adresse pour des surfaces plus importantes. Selon l'étude, l'attrait principal de notre ville serait la diversité de ses établissements. Les services et l'Horéca ont évidemment augmenté depuis 2004, mais la ville reste connue pour l'alimentaire et l'équipement de la personne (vêtements, coiffure, chaussures...) avec une qualité élevée et des maisons renommées.  

    Pluris a mené son enquête sur 3 jours, tant auprès des passants que des commerçants (80 sur 192 ont accepté de participer à l'enquête). On peut ainsi constater que 45 % des chalands sont visétois, mais que 96 % sont originaires de la province de Liège. 25 % des visiteurs viennent pour acheter, et 68 % de ceux qui nous rendaient visite pour d'autres raisons y ont quand même effectué un achat. Tous sont d'accord pour mettre en exergue la diversité commerciale, l'accueil, la qualité du patrimoine, la facilité de déplacement des piétons, le coût du stationnement (90 minutes gratuites dans le centre), le sentiment de sécurité et les diverses animations. 

    Le manque d'emplacements de stationnement ou leur mauvaise signalisation sont relevés par tous. Points partagés également par les commerçants. Notons encore que l'avis de ces derniers est assez partagé quant à l'ouverture dominicale, et ne sont pas tentés par des "Nocturnes". En tant que consommateur et Visétois,  nous ne pouvons que regretter l'habitude de certains commerçants de fermer leur porte durant l'heure de midi.

    Réfléchir sur l'identité et la visibilité

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    Pour Stéphane Kariger, l'Echevin du commerce, "des actions doivent être menées afin d'éviter que la tendance ne s'inverse. Suite à l'enquête, plusieurs pistes de réflexion se sont dégagées."

    Ainsi, il reviendrait à la Ville et aux commerçants de réfléchir sur l'identité et la visibilité des commerces. "Il faut également travailler à l'amélioration de la signalisation et de la communication sur les parkings, il faut aussi améliorer la visibilité sur le Net et peut-être au niveau communal. Dix-mille "sets de table" représentant le centre de Visé et ses parkings ont été imprimés et sont ou seront très bientôt distribués dans les établissements Horeca; pourquoi ne pas faire comme dans d'autres villes, installer des bâches avec le plan de la ville sur les barrières qui délimitent les chantiers en cours?" nous précise encore Stéphane Kariger.

    Le montant des loyers

    Le loyer mensuel d'une cellule de petite surface varie de 1.000 à 1.250 €. Ce montant est parfois problématique car c'est souvent le prix du loyer qui entraîne la cessation d'activités d'un établissement. "Nous devons avoir une réflexion à ce sujet avec les propriétaires continue l'échevin. On envisage de créer un pop-un store, un espace qui serait à la disposition des candidats commerçants qui désirent se lancer et qui auraient ainsi l'occasion de tester la viabilité de leur activité avant de s'engager plus avant en signant un bail commercial. Nous devons aussi réfléchir à la possibilité de créer des cellules commerciales d'une superficie supérieure, car ces surfaces manquent à Visé".  

    Selon l'étude, 24 % des commerçants répondants déclarent payer un loyer allant de 1.250 à 2.000 € tous les mois, et 5 % un loyer supérieur à 2.000 € (P. Neufcour)

  • Cheratte : la vente publique du château Saroléa a été annulée

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    Après plusieurs années d'hésitations, l'année passée les propriétaires s'étaient décidés à vendre le château appartenant à leur famille depuis plus de 40 ans. Trois ventes publiques s'étaient succédées, mais les propriétaires estimaient que la plus haute offre (126.200 €) était insuffisante. 

     

    La dernière de ces séances devait avoir lieu le 30 janvier passé, mais le matin même elle a été annulée! Chatrles Havard, le Directeur Général de la Ville de Visé explique : "Un notaire nous a contacté le jour même, peu avant le début de la vente. Il nous demandait des informations complémentaires, notamment il désirait savoir si la Ville avait ou pas un droit de préemption sur le bien. C'est de cette manière que nous avons appris la suppression de la vente public car les propriétaires avaient trouvé eux-même un acquéreur privé qui était d'accord pour investir la somme demandée". 

    Ni le prix de vente ni le nom de l'acquéreur n'ont été divulgués, mais la Ville compte bien surveiller de près cette opération afin que la rénovation se fasse dans les meilleurs délais, avant que le bâtiment ne soit plus qu'une ruine totale. (P. Neufcour)