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  • Gardes médicales des 21, 22 et 23 juillet 2023 pour la Basse-Meuse et la vallée du Geer

    images.jpegMédecin de garde : du lundi au jeudi soir de 19h00 à 08h00 : un seul numéro : 04/379.09.00. 

    Pour leur sécurité, les médecins de garde de la Basse-Meuse sont en liaison avec les services de la Police.

    Attention :  un poste de garde médicale est ouvert les week-ends et jours fériés de 08 hr à 20 hr rue Basse-Hermalle n° 2, à côté de la clinique. N° unique pour le médecin de garde : 04/374.09.34. 

     - Dentistes de garde : former le 100 pour connaître la liste. (Uniquement le week-end, pas de garde en semaine)

    PHARMACIES DE GARDE

    Pour toutes gardes entre 9h et 22h : www.pharmacie.be ou www.appl.be

    Pour toutes gardes entre 22h et 9h :

     Appeler le 0903/99.000

     - le vendredi 21 juillet 2023 : Pharmacie MANGILI, rue du Commerce 31 à Roclenge

       - Tél : 04/286.15.09       

     

    - le samedi 22 juillet 2023  : DEFAUWES-MERTENS, rue J. Muller 23 à Warsage 

       - Tél : 04/376.61.51

                                                    

     - le dimanche 23 juillet 2023  : Pharmacie MANGILI, rue du Commerce 31 à Roclenge 

      - Tél : 04/286.15.09       

     

  • Des ouvriers communaux de Visé menacés au canif parce qu’ils arrosaient des fleurs suspendues : « Ce geste est tout simplement inacceptable »

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    Ce lundi matin, deux ouvriers communaux de Visé ont été menacés au canif parce qu’ils arrosaient les fleurs suspendues sur l’avenue Albert 1er. L’homme était dérangé par… le bruit de la machine. Une plainte a été déposée.

    C’est une sacrée mésaventure vécue ce lundi matin par deux ouvriers de la commune de Visé. Vers 6h15 du matin, les deux hommes se sont dirigés vers l’avenue Albert 1er pour y arroser des fleurs qui sont suspendues à quelques mètres de hauteur.

    Pour ce faire, et pour arriver jusqu’aux fleurs, l’arrosage se fait avec une perche qui est reliée à un tuyau, lui-même alimenté en eau par une pompe thermique : « Et cette pompe produit du bruit, un bruit de tondeuse », explique Charles Havard, le directeur général de la commune.

    Il descend de chez lui

    Soudain, un homme a commencé à vociférer depuis sa fenêtre en direction des deux ouvriers. Mais ceux-ci n’ont rien entendu à cause du bruit de la pompe. Bien remonté, l’homme est descendu de chez lui… canif à la main. : « Il s’est montré menaçant, mais il n’a pas eu de gestes envers nos hommes. C’était plutôt envers le matériel qu’il en avait. Il voulait couper le tuyau d’arrosage. Il s’est approché d’eux sans les toucher », ajoute encore le DG.

    Mais ce n’est pas tout. L’homme est rentré chez lui et est revenu quelques minutes plus tard : « Il a arraché la perche des mains de l’ouvrier qui arrosait. Il a voulu rentrer dans le camion pour couper le moteur. À l’intérieur, un des deux ouvriers était au téléphone avec la police. Les policiers lui ont conseillé de ne pas s’interposer vu qu’ils allaient arriver dans cinq minutes. Il a arraché la perche mais il n’a pas coupé les tuyaux ».

    Plainte déposée

    Une fois sur place, la police a donné raison aux deux agents communaux : « Ce geste est tout simplement inacceptable. Si la personne est profondément dérangée par l’arrosage, on peut pacifiquement trouver des solutions, c’est possible. Les élus et les fonctionnaires de la commune sont facilement joignables. Dans tous les cas, on ne réagit pas comme ça, encore moins avec un canif. Nous réalisons l’arrosage le matin très tôt pour ne pas déranger la circulation vu qu’il s’agit d’un véhicule à plateau avec une citerne par-dessus. Et puis, on n’arrose pas en été pendant les heures chaudes. On le fait soit le matin, soit en soirée ».

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    Ce geste est tout simplement inacceptable. Si la personne est profondément dérangée par l’arrosage, elle peut nous en parler, on peut trouver des solutions.
    Charles Havard, Directeur général commune de Visé

    Une plainte a été déposée par les ouvriers et le dossier sera transmis au parquet de Liège : « Nos deux hommes ont été choqués par cette scène et ont un certificat pour quelques jours. En ce qui nous concerne, si le parquet poursuit, nous réclamerons les frais que nous coûtera l’absence des ouvriers », termine Charles Havard.

    Par Stefano Barattini

    Journaliste La Meuse et Karrré

  • La circulation s’améliore à Visé grâce... aux congés du bâtiment: les ouvriers ont en effet déserté le chantier

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    Les Visétois ou simplement les gens de passage ne nous contrediront pas. Depuis près d’un an, circuler dans Visé est on ne peut plus compliqué. Bonne nouvelle cependant, on va pouvoir un peu souffler ces deux dernières semaines de juillet.

    Les travaux de réaménagement de la place Reine Astrid battent son plein depuis la fin de l’été dernier. Et le moins que l’on puisse écrire, c’est qu’à cause d’eux, circuler dans Visé s’apparente à l’enfer. Alors certes, il faut bien que les travaux se fassent et avancent, mais les mesures de circulation sont changées tellement souvent qu’il est parfois très difficile de s’y retrouver et facile de se perdre. Du coup, ce sont les commerçants qui sont pénalisés puisque beaucoup évitent désormais le centre-ville de Visé.

    La circulation dans Visé est beaucoup moins problématique. Grâce à quoi? Aux congés du bâtiment évidemment. 
    Bonne nouvelle cependant. Pour les deux dernières semaines des soldes, la circulation dans Visé est beaucoup moins problématique. Grâce à quoi? Aux congés du bâtiment évidemment. Depuis vendredi, les ouvriers ont déserté le chantier pour partir en vacances. Les mesures de circulation ont dont été revues. Durant deux mois, il a ainsi été pratiquement impossible de circuler aux abords de la place Reine Astrid. C’est désormais en partie terminé.

    Si on ne peut toujours pas circuler dans une croix partant de l’avenue Albert 1er jusqu’à la rue Tour l’Evêque d’une part, et de l’autre, de l’avenue du Pont jusqu’à la rue des Déportés, la mobilité s’est néanmoins sensiblement améliorée dans le centre-ville. On peut en effet à nouveau emprunter les axes avenue du Pont/avenue Albert 1er (ici, dans les deux sens), Rempart des Arbalétriers/place Reine Astrid ou encore place Reine Astrid/rue du Collège. Néanmoins, il reste encore quelques difficultés. Si on peut emprunter l’axe avenue du Pont/avenue Albert 1er dans les deux sens, des barrières sont installées au milieu de la voirie pour délimiter les deux voies et empêcher de tourner à gauche. Lorsqu’on descend l’avenue Albert 1er, il est ainsi impossible de tourner à gauche pour prendre la place Reine Astrid et la rue du Collège. Si pour cette dernière mesure, la déviation n’est pas trop problématique, il suffit de prendre la rue des Récollets, pour l’interdiction de tourner à gauche en venant du Rempart des Arbalétriers, c’est autre chose. Nous l’avons constaté samedi, beaucoup ne pensent pas à suivre la déviation qui les fait remonter la rue de la Trairie pour ensuite redescendre l’avenue du Pont.

    Jusqu’au 31 juillet

    Au lieu de ça, ils tournent à droite depuis la place Reine Astrid vers l’avenue Albert 1er et font demi-tour à hauteur du carrefour avec la rue du Gollet. Ce qui évidemment pourrait poser, à terme, quelques soucis. Ces mesures de circulation sont d’application jusqu’au 31 juillet, date de reprise du chantier. Si vous voulez visualiser les plans de circulation, en vigueur et à venir, vous pouvez les trouvez sur vise.be dans l’onglet « Infos travaux ».

    Aurélie Drion pour La Meuse

  • Gardes médicales pour les 15 et 16 juillet 2023 dans la Basse-Meuse et la vallée du Geer

    images.jpegMédecin de garde : du lundi au jeudi soir de 19h00 à 08h00 : un seul numéro : 04/379.09.00. 

    Pour leur sécurité, les médecins de garde de la Basse-Meuse sont en liaison avec les services de la Police.

    Attention :  un poste de garde médicale est ouvert les week-ends et jours fériés de 08 hr à 20 hr rue Basse-Hermalle n° 2, à côté de la clinique. N° unique pour le médecin de garde : 04/374.09.34. 

     - Dentistes de garde : former le 100 pour connaître la liste. (Uniquement le week-end, pas de garde en semaine)

    PHARMACIES DE GARDE

    Pour toutes gardes entre 9h et 22h : www.pharmacie.be ou www.appl.be

    Pour toutes gardes entre 22h et 9h :

     Appeler le 0903/99.000

      - le samedi 15 juillet 2023  : Pharmacie INGRAO, rue Tollet 5 à Oupeye

       - Tél : 04/264.04.46

                                                    

     - le dimanche 16 juillet 2023  : Pharmacie MANGILI, rue du Commerce 31 à Roclenge 

      - Tél : 04/286.15.09          

                                                

  • Ambiance tendue à la maison de repos visétoise "Les 3 rois"

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    Implantée au n° 100 de l'allée des Alouettes, l'ancienne polyclinique a été transformée depuis plusieurs années en maison de repos dépendant de l'ISoSL. Depuis environ 4 ans, la directrice est en indisponibilité. Son poste est occupé ad intérim depuis septembre 2019 par madame Renier, infirmière en chef. Mais voilà, fin septembre l'intérim de Nicole Renier prendrait fin, au grand dam de nombreux membres du personnel et de résidents, ainsi que leur famille. 

    Une "porte-parole" des mécontents nous a contacté, voici ce qu'elle nous dit :

    "Dès son arrivée, madame Renier a mis en place plusieurs projets pour apporter plus d'humanité et de sérénité parmi les résidents. Ainsi, elle a embelli le hall d'entrée pour le rendre plus accueillant et convivial ; un centre "bien-être" a été crée afin d'accueillir les jours de semaine certains résidents atteints de troubles cognitifs profonds : ils peuvent ainsi déambuler à leur gré tout en étant sous surveillance.

    Trois tisaneries ont été créées afin de permettre au personnel de prendre leur pause dans un environnement agréable ; un concept a été mis en place avec l'assistante sociale et l'infirmière de liaison afin de rendre visite aux futurs résidents pour créer un contact et un suivi particulier durant la première quinzaine de leur séjour.

    Madame Renier a fait de l'excellent travail et nous souhaitons qu'elle conserve son poste de directrice. Nous avons lancé une pétition demandant le maintient de la directrice faisant fonction à son poste.  En 48 heures nous avions déjà récolté 80 signatures tant parmi les résidents et leur famille que parmi le personnel"

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    C'est le 5 juillet, à l'occasion d'un conseil extraordinaire des résidents que la nouvelle est tombée : madame Renier perd l'emploi de directrice ad intérim qu'elle occupait. Certains se posent des questions : il y aurait trois directrices alors qu'il n'en faut que deux. Pourquoi est-ce elle qui perd sa place alors que les deux autres auraient été engagées après elle ? Serait-ce parce qu'elle serait top "dépensière" ? Serait-ce un problème d'équivalence de diplôme ?

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    Eric Fivez, le directeur général de l'ISoSL se montre surpris de ce mouvement de grogne :

    « Il est vrai que j’ai rencontré Madame Renier à qui j’ai fait une proposition, explique le directeur général Eric Fievez. Il faut savoir que Madame Renier est infirmière en chef et qu’elle a été nommée comme faisant fonction en 2019 pour remplacer une directrice malade de longue durée. Il se fait que j’ai un agent nommé qui revient et à qui je suis obligé légalement de confier la direction d’une maison de repos. La mission de Madame Renier se termine donc fin septembre. Nous sommes dans un schéma administratif et pas du tout dans un licenciement. On est toujours en pourparlers sur son avenir et je ne crois pas que cette pétition va améliorer la situation », conclut-il.

    (P. Neufcour)