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Commerces - Page 8

  • Attention si vous avez fait vos courses chez Carrefour ou Delhaize: ce produit retiré de la vente!

    Les «Schnitzer Bio Hamburger Buns» (125g) sont retirés de la vente en raison d’une teneur trop élevée en résidus de produits phytopharmaceutiques (oxyde d’éthylène) sur les graines de sésame.


    Toute information complémentaire peut être obtenue via l’adresse
    hanna.zwick@schnitzer.eu.

  • Aldi retire de la vente des feuilletés Excellence

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    DESCRIPTION DU PRODUIT

    Dénomination : Feuilletés

    Marque : Excellence

    Code EAN : 270 3253 4

    Type d'emballage : boîte en carton

    Date de péremption (DDM): 07/02/2022

    Points de vente : les magasins ALDI (rayon surgelés)

    NATURE DU PROBLÈME

    Une teneur trop élevée en résidus de produits phytopharmaceutiques (oxyde d’éthylène) sur les graines de sésame a été trouvée dans les Feuilletés.

    ALDI a donc décidé, en consultation avec l'AFSCA, de retirer ce produit du marché et de le rappeler auprès des consommateurs.

    CONSEILS POUR LES CONSOMMATEURS

    Veuillez ne pas consommer ces produits et les ramener en magasin.

    Les produits ramenés seront remboursés (également sans ticket de caisse).

    Pour toute information complémentaire, vous pouvez prendre contact avec ALDI via serviceclients@aldi.be.

  • Un nouveau type de magasin à Visé

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    Photo : LPP

    Le 28 novembre, la coopérative "Les petits producteurs " a ouvert un magasin au 34 de la rue Haute à Visé (ancienne boutique Esprit"). une quinzaine de jours après l'ouverture, désirant en savoir un peu plus sur ce type de commerce "solidaire", nous avons rencontré l'administrateur-gérant de la coopérative, Pascal Hennen, qui nous explique en quoi leurs magasins sont différents des autres.

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    "Tout d'abord, nous n'entrons pas dans le circuit classique, nous voulons inciter les consommateurs à participer à un type de consommation durable.

    Comment ?

    En respectant la terre - nos produits sont à 95% certifiés bio,- en pratiquant le circuit court, et en rémunérant correctement les producteurs. Nous ne recevons aucun subside, nous n'avons pas souscrit de prêts auprès d'une banque ou d'une société, mais nous avons des coopérateurs. En investissant une somme de 250€ minimum, vous êtes "coopérateur"

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    Pascal Hennen connaît personnellement tous les producteurs qui participent au circuit, sauf ceux des bananes. Il se rend annuellement en Espagne, dans a même exploitation d'oranges bios tenue par deux frères, il se rend aussi en Grèce pour rencontrer son fournisseur d'huile d'olive et de fruits.

    Pourquoi avoir choisi Visé comme lieu d'implantation du quatrième magasin?

    La Basse-Meuse héberge un nombre important de ces petits producteurs de marchandises de qualité, précise-t-il et depuis un certain temps, la ville de Visé ne comptait plus de commerce de fruits, légumes, etc. Nous ne vendons que des produits saisonniers tient-il encore à préciser. Chez nous, vous ne trouverez pas de fraises au Nouvel An!

    La coopérative doit tenir la route, ajoute Philippe Sonnet, un Saint-Rémois responsable du magasin de Visé. Dans un avenir très bref, nous irons nous-mêmes chercher les marchandises chez les producteurs.

    Sont proposés  à la vente :

    - des fruits et légumes frais

    - des produits laitiers, de la viande et du pain

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    - des aliments en vrac tels pâtes, farines, céréales, café...

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    - des produits d'épicerie, confiture, vinaigre, thé, sirop, miel...

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    - de la bière et du vin sélectionnés par nos soins

    - des produits d'entretien...

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    La coopérative occupe et rémunère vingt personnes, pour un total de 15 équivalents temp plein.

    "Nous nous engageons envers les petits producteurs pour qu'ils soient rémunérés dignement : ils fixent leurs prix, nous les soutenons en cas de difficultés agricoles, nous avons imaginé des rémunérations complémentaires (producteur + vendeur en magasin - et nous payons rapidement leurs factures. Afin de rendre leur situation plus sereine, nous planifions avec eux une saison à l'avance les  besoins des magasins.

    Pour revaloriser leur travail, il faut conscientiser les clients sur les réalités du métier, soutenir l'installation de nouveaux producteurs et réfléchir collectivement pour que chaque ferme soit durable sur le plan économique, écologique, personnel et social

    La coopérative garantit un emploi stable en CDI à son équipe ainsi qu'une formation continuée : chaque membre du personnel passe six journées par an à travailler dans les champs afin de devenir les ambassadeurs des producteurs

    Répartition des revenus

    - 70% du montant couvrent les rémunérations des producteurs

    - 14% servent à payer les salaires

    - 6% constituent les bénéfices de la coopérative

    - 3% servent à la logistique (collecte des produits, optimisation des transports

    - 2% servent à payer les impôts qui s'élèvent à 25 % des bénéfices réalisés (à titre de comparaison, le groupe Delhaize était imposé en 2015 à ...0,116% ! )

    - 0% pour les actionnaires - En faisant appel à l'épargne des citoyennes et citoyens, il n'a pas fallu emprunter de l'argent, donc pas d'intérêts à payer aux banques. En cas de bénéfice exceptionnel, il est affecté en priorité aux producteurs, puis par décision collective, verser un dividende plafonné à 2% aux coopérateurs. 

    "Depuis l'ouverture du magasin, le gérant est content de la fréquentation. Cela démarre toujours très fort, précise-t-il, et maintenant la clientèle se fidélise déjà et nous comptons de plus en plus de fréquentation"

    D'autres renseignements peuvent être obtenus sur www.lespetitsproducteurs.be , www.lpp.coop/carotte-des-prix et www.lespetitsproducteurs.be/coop.

    Texte et photos : P. Neufcour

     

  • Voici toutes les nouvelles mesures annoncées par le Comité de concertation

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    Le Comité de concertation s’est réuni ce vendredi 27 novembre pour réévaluer les mesures de confinement qui sont en place depuis plusieurs semaines pour lutter contre la propagation du coronavirus en Belgique.

    Le moins que l’on puisse dire, c’est que nos responsables politiques se sont montrés prudents, alors que de nombreuses personnes espéraient un allégement des mesures. Si certains secteurs auront prochainement plus de libertés, plusieurs d’entre eux devront attendre de longues semaines avant d’entrevoir la fin du tunnel. « Il faut continuer à se protéger, surtout à l’approche de l’hiver », à d’ailleurs lâché le Premier ministre.

    Pour le ministre de la Santé, on sortira de l’oeil du cyclone si on arrive à maximum 800 nouveaux cas par jour et maximum 75 hospitalisations par jour et les autres indicateurs devront être favorables. À ce moment-là, on pourra imaginer un assouplissement.

    Voici, en résumé, les principales décisions qui ont donc été prises et les dates clés à retenir.

    Magasins (1er décembre)

    Comme attendu, les commerces dits « non-essentiels » pourront rouvrir dès la semaine prochaine, et plus précisément le 1er décembre « de façon responsable ». Mais sous strictes conditions. « Il n’y aura pas de fun shopping », a précisé Alexander De Croo. Il faudra faire ses courses seul (sauf si on accompagne une personne à mobilité réduite), durant un court laps de temps et il pourra y avoir maximum un client par 10 mètres carrés.

    L’accès aux rues commerçantes et aux centres commerciaux doit être géré par les autorités communales.

    Métiers de contacts

    Les métiers de contacts (coiffeurs, esthéticiennes, salon de massage et tatouages…) restent fermés.

    Musées et piscines

    Les musées et les piscines peuvent rouvrir dès la semaine prochaine (mais pas les centres aquatiques)

    Culture et sport

    Les secteurs culturels et sportifs (sauf les piscines et musées) restent à l’arrêt. Sur base des protocles, ces secteurs pourront être relancés si le contexte le permet. Ils doivent donc se préparer. Mais aucune date n’est évoquée.

    Noël (24 et 25 décembre)

    Le Comité de concertation a fait une exception pour le réveillon de Noël (le 24 au soir et le 25). Les personnes isolées pourront inviter leurs deux contacts rapprochés ensemble, ce qui n’est pas permis en temps normal. Rien ne change pour les familles qui ne peuvent recevoir qu’une seule personne. « Si aujourd’hui vous êtes déçus, je vous comprends. J’aurais aussi voulu fêter Noël avec ma famille, mais cette année, ce ne sera pas possible », a expliqué Alexander De Croo. « Il ne faut pas gâcher en quatre jours ce que nous avons fait ces dernières semaines ».

    Pour les rassemblements extérieurs, la règle de quatre reste d’application. Le couvre-feu fédéral entre minuit et 5h reste d’application. « Le couvre-feu du coté wallon est de 22h à 6h et il le restera », a précisé Elio Di Rupo. « La décision actuelle vaut jusqu'à la mi-décembre. Il faudra réévaluer la situation. Si nous décidons de maintenir le couvre-feu à 22h, je pense qu'on peut, le 24 et le 25, faire un couvre-feu de minuit à 5h mais je dois encore en parler au sein de mon gouvernement ».

    Il reste, quoi qu’il arrive, interdit de se rassembler. La vente et l’utilisation de feu d’artifice sont interdits.

    Horeca (15 janvier)

    À l’heure actuelle, le secteur de l’horeca reste fermé jusqu’au 15 janvier. Une évaluation aura lieu au début de l’année.

    Contrôles aux frontières et voyages à l’étranger

    Par ailleurs, Alexander De Croo a rappelé qu’il déconseillait fortement les vacances aux skis. Il y aura des contrôles aux frontières ! Pour vérifier si les personnes qui reviennent de l’étranger ont bien rempli leur formulaire et si elles respectent les mesures de quarantaine et d’isolement.

    Selon le Premier ministre, le vrai déconfinement n’aura lieu qu’à la moitié du mois de janvier.

    (Source Sudpresse)