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Conférence illustrée de Pierre Somville, doyen honoraire de la Faculté de philo. et lettres de l’ULg au Forum de l'Athénée Royal à Visé, rue du Gollet, n° 2, le mardi 19 février à 20h - Entrée gratuite
Une organisation du Rotary-Club de Visé - Invitation cordiale
Le carnaval
s'invite à la bibliothèque communale de Visé
« Carnaval est revenu
L'avez-vous vu?
Il est passé dans la rue
Ni vu ni connu
Il porte un masque de carton
Et souffle dans un mirliton
Coiffé d'un chapeau biscornu
Mon p'tit bonhomme
À quoi joues-tu? »
Et si... Dimanche m'était conté !
Karine Moers, conteuse de nos régions, vous propose de passer un moment de conte haut en couleurs... Comptines, histoires, serpentins et cotillons seront de la partie pour une heure du conte carnavalesque...
Nous vous attendons nombreux le dimanche 2 février 2013 à 11h
Paf : 1€/enfant – 2€/adulte
Pour les enfants à partir de 3 ans.
Renseignements et réservations au 04/374.85.57 ou 04/374.85.50
Bibliothèque communale de Visé – Rue du Collège, 31
bib.communale@vise.be – http://animots.jimdo.com
Josée Viellevoye, Prix du Mérite Culturel 2007 de la Ville de Visé, a sorti son 5ème roman,
« Le signe », publié à Paris aux éditions L’Harmattan.
Sur son blog, Pascale Lora Schyns, (membre de l'Association des Ecrivains Belges de langue française) nous parle avec émotion du thème de ce récit :
« Le cancer est un des fléaux des temps modernes, un parmi d’autres. Il y a celles et ceux qui en réchappent sans toutefois être certains de leur avenir.
Et puis, il y a les autres, ceux qui n’auront pas la chance d’y survivre. Cette histoire leur donne la parole, jusqu’à la fin, lorsqu’à bout de souffle, ils ne pourront plus parler…
Elle passe également le relais à ceux qui restent, ceux pour qui la vie ne doit pas être assombrie par la mort, mais au contraire illuminée par le souvenir. La mort devient alors une conquête et non une défaite. »
Josée Viellevoye est née près de Londres en 1944. Elle passe sa jeunesse en Afrique puis s'établit sur les hauteurs visétoises où elle se consacre à sa famille.
Ce n'est que tardivement qu'elle se tourne vers l'écriture. Sa passion des voyages lointains, sa curiosité des êtres et des choses et surtout l'âge, vécu comme une liberté, sont pour elle des sources d'inspiration idéales.
Nous avions eu l'immense plaisir de la recevoir en 2010, à la bibliothèque communale de Visé, pour la présentation de « Sale daddy », son 4 ème ouvrage.
Avec « Le signe », comme par le passé, Josée Viellevoye touche notre corde sensible, avec des mots justes... Gageons qu'il en sera de même avec la vôtre !
Ce livre figure bien-sûr sur les étagères de nos bibliothèques communales.
Réservez-lui l'accueil qu'il mérite !
Bibliothèque communale de Visé
Rue du Collège,31 – 4600 Visé
04/374.85.57
Magnifique travail de recherche que celui réalisé par l'équipe du musée visétois. Toute la vie et la carrière de cette comédienne - et actrice - y sont évoquées en photos, affiches, et textes.
Nous y apprenons ainsi que Berthe, née le 6 janvier 1887 fit ses débuts sur les planches à 6 ans, en tenant des petits rôles dans des troupes de comédiens amateurs. Alors qu'elle a 12 ans, elle assiste à une représentation de "Britannicus" au Théâtre Royal de Liège. Une révélation. Elle sera comédienne.
En 1900, elle fait une rencontre qui va changer sa vie. Elle a l'occasion de réciter quelques vers devant la grande Sarah Bernhardt qui décide de la prendre sous son aile.
Sur sa recommandation, Berthe s'inscrira au conservatoire de Bruxelles, puis, en 1904 elle "descend" à Paris avec sa maman pour étudier au conservatoire de Paris. Elle a 17 ans. Après 2 ans d'étude, elle obtient un premier accessit de comédie avec "La Marâtre", d'Honoré de Balzac.
La jeune fille se produira également au théâtre de la Gaité et au théâtre de la Porte S Martin.
Berthe a 21 ans lorsqu'elle devient pensionnaire "du Français", la Comédie Française. Elle joue les ingénues, sous la direction de Sarah Bernardt, ainsi que des "emplois divers". C'est là qu'elle fait la connaissance de Sacha Guitry. De 1908 à 1914, elle sera dans la distribution d'une douzaine de pièces.
Pendant la même période, son nom figurera au générique de 37 films muets !
Lors de la guerre 1914 - 1918, Berthe sera associée notamment à quatre créations.
Mais Berthe, comme toutes les Liégeoises qui se respectent, a "les tchvès fwert près del tiesse". Elle saura faire valoir ses revendications et quelques petits "incidents" l'opposeront à d'autres membres de la troupe.
Mademoiselle Bovy sera reçue sociétaire de la Comédie Française le 1er janvier 1920.
La suite de la vie de Berthe, son ascension, son statut, ses déclarations, sa vie privée, sa rencontre avec l'amour de sa vie - Pierre Fresnay - ou encore Jean Cocteau, tout cela vous est présenté et expliqué à la chapelle des Sépulcrines, rue du Collège 31 à Visé.
Signalons enfin que Berthe Bovy, décédée en 1977, est enterrée à Liège, au cimetière de Sainte-Walburge. Elle y repose avec son père et ses grands parents paternels.
L'exposition est gratuite et est accessible tous les jours de 14h à 18h jusqu'au 3 février. Vous pourrez également vous y procurer les diverses publications éditées par le musée, dont le n° 37 des "Rendez-vous de l'Histoire", entièrement consacré à la fille de Théophile Bovy.
(Quelques photos prises lors du vernissage en album dans la marge droite)
N'est-ce pas superbe, pouvoir s'habiller comme un comédien ou une comédienne et jouer un rôle à sa façon? Avis aux comédiens en hebre. Ce sera un peu comme Alice au Pays des Merveilles.
Chapelle des Sepulcrines, rue du Collège 31 à Visé, le 27 janvier de 11h à 12h.
Renseignements : 0495/496391 - museedevise@skynet.be - http://www.museedevise.be