Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Divers - Page 231

  • Basse-Meuse : plus de policiers sur le terrain

    Agents de quartier : ils participeront à des patrouilles en soirée pour réduire les nuisances locales

    1406633277.pngVous vous plaignez parfois de ne pas voir assez votre agent de quartier ? Vous allez être servis. Les 40 agents de quartier actifs en Basse-Meuse ont en effet entamé un renforcement de leur présence sur le terrain, afin d’améliorer la qualité de vie et le bien-être des habitants. Alain Lambert, détaille le projet.

    «Le 8-12heures, 13-17 heures du lundi au vendredi, c’est terminé ». En ces quelques mots, Alain Lambert, le chef de zone ad-interim de la police de la Basse-Meuse résume assez bien le nouveau modèle de travail des 40 policiers de quartier qui travaillent sur la Basse-Meuse. Six communes et environ 80.000 habitants dont il faut assurer la sécurité et garantir et la qualité de vie.

    Et si les chiffres de la criminalité 2012 sont en baisse, ce n’est pas une raison pour relâcher les ef- forts. Au contraire. Ainsi, la zone vient de s'attaquer à un problème de taille : la présence policière sur le terrain.


    3618694418.JPG« Les agents de quartier étaient impliqués dans plusieurs tâches au niveau de la zone », explique Alain Lambert, « Pour renforcer leur présence sur le quartier, il fallait donc réduire ce travail en annexe, pour leur permettre de récupérer du temps et ainsi, de renforcer leur action locale ».

    Les agents de quartier effectuaient notamment des gardes au niveau de l’accueil, le soir et le week-end.Chacun n'en a plus que 2 par mois.. Une partie des agents de quartier pouvait aussi être réquisitionnée lors de manifestations diverses (GP de Francorchamps, manifestation à Bruxelles, matches du Standard). Là aussi, les agents de quartier seront désormais moins sollicités.

    De fait, les agents de quartier réorganisent aujourd’hui leur journée de travail. Il y a le travail « classique », qui consiste à répondre aux diverses demandes du parquet ou des bourgmestres, les vérifications de domicile, etc. "Mais un agent de quartier doit aussi devenir, à mes yeux,l'un des acteurs de la qualité de viedu quartier. Il circule à pied le plus possible, et voit donc des choses sur son parcours. C’est donc lui qui va contacter le service des travaux s’il voit un trou ou un problème de voiries, un habitant si sa haie déborde trop sur le trottoir et rend le passage dangereux, etc. »

    Et désormais, les policiers de quartier vont aussi travailler en soirée. Pas tous les jours évidemment, mais régulièrement. "Celà lui permettra de rencontrer les habitants qu'il ne peut pas voir en journée dans le cadre de ses missions administratives, mais aussi de se rendre sur une zone plus sensible de son quartier, où il sait qu'il y a des soucis, pout tenter d'y apporter une solution"


    DES PATROUILLES DE PLUSIEURS AGENTS DE QUARTIER SERONT AUSSI ORGANISÉES. L’agent de quartier ne sera pas seul, et pourra compter sur l’appui des patrouilles d’intervention « classiques » pour assurer le bon déroulement de sa mission. Vous voilà donc prévenus. (Laurence Piret).


    La suite dans nos éditions de ce jour

     

  • Dans votre journal ce vendredi

    SUDP_BASM_20130412_001_001.JPG

    - Exclusif : Katia, une Belge de 16 ans tuée par son tampon. Elle est morte des suites d'une septicémie

    - Texte déposé au Sénat : défense de critiquer l'islam

    - Sécurité : la police de la Basse-Meuse sera plus sur le terrain

    - Visé : l'opposition convoque un conseil extraordinaire

    - Consommation : comment les enseignes hollandaises envahissent la Belgique

    - Football : ce soir le Standard joue sa saison à Zulte

  • Ce matin dans votre journal

    SUDP_LIEG_20130411_001_001.JPG

    - Viol collectif à la prison de Mons : 7 détenus ont abusé d'un quadragénaire

    - Incroyable : RTL perd la bataille : tous les matches des Diables Rouges sur la RTBF

    - Saint-Nicolas : la mosquée et le centre islamique sont illégaux

    - Charleroi : Est-ce bien raisonnable ? 100 iPhones 4S pour les dirigeants: coût 70.000 €

    - Affaire Arnaud : un milliard d'euros de perdu

    - Visé : le concierge du centre culturel est écarté

    - Leurs souvenirs de mort, pas des bobards ! Tunnel et lumière, c'est réel

    - Sport : Le Barça a tremblé devant PSG (1-1)

  • Les titres de La Meuse ce mercredi

    SUDP_BASM_20130410_001_001.JPG

    - Les politiciens nous dévolent leur fortune

    - Visé : le concierge tire sur des enfants trop bruyant (voir notre interview d'un papa)

    - Exclusif : une canibale dans une prison blege. Il se mange lui-même

    - Les ténors du MR liégeois "recadrés" par le président

    - En 40 ans, comment les Belges ont changé

    - Arts : "La famille Soler" de Picasso, le trésor de Liège

    - La frite solidaire arrive à Liège

    - Football : PSG et Juventus : l'impossible mission

    - Etc, etc... 

  • EXCLUSIF : Excédé par le bruit des jeux, le concierge de l'Académie de musique visétoise menace les enfants et tire en l'air pour "les calmer" !

     

    DSC_0001.JPG

    L'habitation du concierge jouxte le bâtiment de l'Académie de musique

    Comme durant toutes les vacances scolaires, l'Echevinat de la culture visétois organise des stages à destination des enfants. Ces stages se déroulent dans le bâtiment qui abrite l'Académe de musique et l'Echevinat de la culture.

    Hier, pendant la récréation de midi, les enfants jouaient dans un couloir proche de leur salle de cours. Évidemment, quand on a 7 ou 8 ans, on parle fort, on crie... quoi de plus normal ?

    Le concierge (65), lui, ne l'entendait pas de cette oreille... Il semblerait qu'il soit venu demander aux petits de faire moins de bruit en jouant, que celà l'indisposait. Bien sur, à cet âge, si on tient compte de la remarque quelques instants, on est vite repris par l'ambiance des jeux.

    C'est alors que l'irascible concierge serait sorti de chez lui et, revenant dans le couloir, aurait menacé les enfants avec un pistolet puis aurait tiré en l'air "pour les faire taire".

    Trois jeunes enfants, particulièrement traumatisés, ont expliqué ce dont ils avaient été victimes à leurs animatrices. C'est vers 17h00, lorsque les parents sont venus rechercher leur progéniture, que certains d'entr'eux, apprenant les faits,  sont allés déposer plainte à la police toute proche.

    Interpellé, le concierge aurait reconnu les faits, expliquant qu'il ne supportait pas le bruit que faisaient les petits en jouant. Il a remis son pistolet d'alarme aux policiers. Averti, le Parquet a décidé de priver l'homme de sa liberté pour la nuit. Il comparaît aujourd'hui devant un magistrat.  

    Selon une de nos sources, ce ne serait pas la première fois que le sexagénaire vient se fâcher sur les enfants qui font du bruit durant les récréations.

    Ce matin, au début de la journée de stage, deux des petites filles manquaient à l'appel.

    L'échevine de la Culture, responsable de l'organisation de ces stages, a été contactée mais se refuse à tout commentaire.