Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Faits divers - Page 29

  • Sandro Gryson, 5 ans, a été victime d'un malaise sur la plage de Sardaigne: la maman du petit, traumatisée, est toujours hospitalisée

    400764867_B979565292Z.1_20160830111852_000_GTL7GJA7T.1-0.jpg

    Dans nos éditions de lundi, nous évoquions le tragique accident qui a coûté la vie à un petit garçon âgé de cinq ans, Sandro Gryson. Nous avions écrit qu’il avait plongé d’un bateau. Ce n’était pas la réalité. Le petit garçon est décédé au bord de la plage de Porto Ainu, dans à peine 30 centimètres d’eau.

    Ces précisions nous ont été données par l’oncle de la maman qui, hier, était toujours hospitalisée car elle était traumatisée par la mort de Sandro.

    Elles nous ont aussi été livrées par la grand-mère paternelle du petit qui a appris la terrible nouvelle samedi soir. « Elle nous a appelés en pleurs. Nous n’avons pas compris tout de suite ce qui se passait », explique-t-elle avec des sanglots dans la voix. « C’est moi qui ai dû prévenir mon fils. C’est terrible. Il est divorcé de la maman de leurs deux enfants. Il ne savait pas qu’elle était partie avec Sandro et Antony en vacances en Sardaigne ».

    Elle nous apprend qu’il a pris le premier avion pour la Sardaigne.

    5 ans le 25 juillet

    « Il m’a appelée depuis la voiture. Il avait encore beaucoup de kilomètres à faire mais il voulait absolument voir son fils une dernière fois ».

    Sandro venait de fêter ses cinq ans, le 25 juillet.

    « Il avait toujours le sourire. Il allait rentrer en troisième année maternelle, à l’école de Sarolay, à Argenteau. Sa maman m’a dit qu’il avait été pris d’un malaise, qu’il avait vomi et qu’il s’était étouffé. Il était en train de jouer dans l’eau. Antony, son petit frère, est âgé de trois ans et demi. Il est actuellement pris en charge par le service pédiatrie ».

    Des nageurs ont tenté de ranimer Sandro sur place. Les pompiers sont vite arrivés mais, après une heure, il a fallu se rendre à la triste évidence : Sandro était décédé.

    « Une autopsie a lieu ce lundi après-midi… mais je ne pense pas qu’on aura les résultats aujourd’hui », poursuit la grand-mère. Les conditions météorologiques, samedi, étaient idéales, dans ce coin paradisiaque de la Sardaigne. La maman et ses enfants étaient arrivés la veille… (P.N.)

  • Incendie à Chertal: neuf camions de pompiers nécessaires pour maitriser les flammes

    DSC_0001.JPG

                                                      Photo : archives P.Nf

    Un incendie s’est déclaré samedi vers 17h45 dans un ancien bâtiment d’ArcelorMittal à Chertal (Oupeye), ont indiqué les pompiers de Liège.

    Neufs camions ont été envoyés sur place, dont une citerne provenant de la zone de Herve et une de la protection civile. L’intervention s’est terminée vers 21h30, mais le feu a repris et les pompiers ont dû retourner sur place à 3h00. Tout danger est maintenant écarté. L’origine du sinistre demeure inconnue.

    Les pompiers avaient été alertés d’un feu de broussa ille sur le site, mais à leur arrivée, ceux-ci ont trouvé deux bâtiments en feu.

    Le site, qui n’abrite plus aucune activité industrielle, est actuellement placé sous cocon par ArcelorMittal. (Belga)

  • Le Visétois Philippe Graffart condamné à cinq ans de prison à Singapour pour avoir tué son fils

    534134472_B979500575Z.1_20160822144708_000_GCO7FD0IT.1-0.jpg

    Un expatrié belge à Singapour a écopé de cinq ans de prison lundi pour avoir drogué et étouffé à mort son fils de cinq ans en octobre.

    Philippe (Marcel Guy) Graffart a plaidé coupable. Selon les faits exposés par l’accusation, il avait tué son fils en lui faisant ingérer des médicaments et l’avait ensuite étouffé avec un coussin.

    Le juge a qualifié les faits comme ayant causé «  une peine incommensurable et de la souffrance à tous ses proches  ».

    Philippe Graffart était à la tête du département investissements de Nordea, et était engagé dans une bataille juridique avec son ex-épouse au sujet de la procédure de divorce.

    L’enfant avait été retrouvé mort le 6 octobre. Après avoir tué son fils, le père avait tenté de se suicider en voiture contre le mur d’un tunnel sur une voie rapide.

    Le Belge a subi un examen psychiatrique, à l’issue duquel il est apparu qu’il souffrait de troubles dépressifs majeurs au moment des faits, «  qui ont altéré sa réflexion et sa capacité de jugement ».

    Sa défense s’est exprimée devant la cour, déclarant qu’il regrettait ce qui s’est passé.

    Il encourait une peine de maximum dix ans de prison.

  • Braquage chez Action à Haccourt : le braqueur était caché dans le faux plafond

     

    1754439061_B979476474Z.1_20160818235050_000_G417EJS9V.1-0.jpg

    Jeudi matin, le braqueur du magasin « Action », un grand bazar situé rue Jean-Marie Clerdin à Haccourt, a fait preuve d’une audace incroyable pour mettre à exécution ses desseins.

    Il a forcé une fenêtre à l’étage du magasin pour entrer dans le bâtiment. Il s’est retrouvé dans le faux plafond de l’immeuble où il a progressé vers la salle des coffres. Là, il a découpé une ouverture dans le faux plafond et a patiemment attendu qu’une première employée se présente, peu avant 9 heures, dans le magasin, afin de préparer l’ouverture du commerce.

    L’employée a remarqué le trou dans le plafond. Alors qu’elle allait donner l’alerte, le braqueur est sorti de sa tanière. Armé d’un pistolet, il a braqué l’employée en lui demandant d’ouvrir le coffre. La dame lui a signifié que le coffre était équipé d’un système de temporisation. Très calmement, le braqueur a alors entretenu la conversation avec son « otage » en attendant que le quart d’heure passe. Il a ensuite mis la main sur le contenu du coffre soit entre 10 et 12.000 euros.

    Une fois le braqueur parti, les secours ont été appelés. La police de la Basse-Meuse s’est rendue sur les lieux et la direction du magasin « Action » a baissé le rideau métallique pour permettre au labo de la police de procéder aux relevés d’empreintes. Les images des caméras de surveillance ne permettent malheureusement pas d’identifier le braqueur. Ce dernier fait preuve d’une étonnante habileté pour ne jamais se retrouver dans l’axe des caméras puisqu’à plusieurs reprises, on ne voit que ses reins.

    Le magasin est resté fermé durant la matinée. Sur le coup de midi, quelques clients étaient inquiets comme cette dame âgée qui vient de Visé. «  Cela fait deux fois que je viens ce matin et deux fois qu’on me dit de revenir dans une heure. Je viens chercher des boîtes et des os pour mes chiennes car elles n’aiment que ceux de chez Action. Je ne vais quand même pas être obligée de me rendre à Eisden.  »

    À peine avait-elle terminé sa phrase que le magasin rouvrait ses portes. Action s’était installé dans ce petit zoning commercial en mars dernier. Nous avons tenté d’obtenir des explications de la part de la direction et des membres du personnel. Sans succès.

    ( A.B.)

  • Cheratte : des moutons se promènent dans l'échangeur

    177043955_B979416675Z.1_20160811110149_000_G4P7CTGVU.1-0.jpg

    Mercredi soir, un internaute a capturé un moment particulièrement cocasse sur la E25, à hauteur de l’échangeur de Cheratte. Plusieurs moutons s’y promenaient tranquillement, au milieu de la circulation.

    D’après l’heure de la publication de la vidéo, les faits se sont passés ce mercredi soir, vers 21h. On y voit quelques moutons gambader joyeusement sur l’autoroute. Les bêtes ont apparemment compris qu’elles étaient pas au bon endroit pour une balade, et ont vite regagné leur prairie.

    (Vidéo disponible sur www.lameuse.be)