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Faits divers - Page 33

  • Lantin: un détenu, condamné pour des faits de pédophilie, meurt suite aux coups violents qu'il a reçus à la tête à l'aide d'une chaise

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                                                 Photo FB, (A.O.)

    Comme Sudpresse le révèle dans ses éditions de ce mercredi, un détenu est mort ce mardi soir à la prison de Lantin, des suites d’une agression extrêmement violente de la part d’un autre détenu. Les faits nous ont été confirmés par le substitut de garde du parquet de Liège.

    Selon nos informations, une bagarre a eu lieu entre deux détenus dans l’annexe psychiatrique de la prison de Lantin ce mardi en soirée. Une bagarre d’une violence inouïe dans laquelle l’un des deux protagonistes a perdu la vie. « La victime purgeait une peine d’emprisonnement de 7 ans et son décès est probablement dû aux coups violents à la tête portés à l’aide d’une chaise», a précisé le procureur de Liège, Philippe Dulieu, en ajoutant qu’un couteau en plastique a également été utilisé.

    Il était condamné pour des faits de pédophilie prononcée en avril 2015 à Verviers.

    Selon Kathleen Van De Vijver, la porte-parole de l’administration pénitentiaire, c’est lors de la distribution des médicaments, mardi soir vers 21 heures, qu’un agent (non gréviste) a découvert le corps sans vie d’un détenu. « Il a été retrouvé avec du sang dans son lit. Il était mort. Son co-détenu avait du sang sur lui».

    Elle ajoute : «Même en cette période de grève, les deux auteurs étaient suivis par le psychiatre », insiste-t-elle. Était-ce normal que ces deux détenus partagent la même cellule ? « Dans ce cas précis, je ne le sais pas, répond Kathleen Van De Vijver. Mais il arrive que les psychiatres le conseillent. Il est parfois préférable d’être à deux que seul en cellule ». Elle précise que ni l’auteur ni la victime n’étaient renseignés comme « radicalisés ».

    Comment se fait-il que personne n’ait rien entendu de la bagarre et des éventuels appels au secours de la victime? Y avait-il une surveillance dans la section ? Autant de questions qui restent en suspens. Et surtout, cet homicide aurait-il été possible sans la grève, et si la prison fonctionnait normalement, avec un effectif normal ? L’administration pénitentiaire se refuse à prendre position et s’en remet à l’enquête, menée par la justice liégeoise.

    Dans «La Meuse» de ce samedi, le directeur de l’établissement, Marc Brisy, tirait déjà la sonnette d’alarme quant aux conditions de vie des détenus, tout en soutenant les revendications des agents. L’intéressé déclarait notamment: «Je crains des incidents graves. Des suicides de détenus, des agressions de membres du personnel. On est vraiment en situation de danger de mort, de manière générale.»

    Malheureusement, c’est bel et bien ce qui s’est produit. Ce n’est pas faute d’avoir prévenu. (Gaspard Grosjean)

    Une information exclusive à lire dans nos éditions Sudpresse de ce mercredi.

     

     

  • Lanaye: un Oupéyen de 19 ans, Sébastien Kellens, meurt sous les yeux de ses amis

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                                                                                                     © P. Neufcour

    Ce jeudi, vers 18 heures, un dramatique accident de la circulation s’est produit à Lanaye, au pied du thier de la Montagne Saint-Pierre. Un Oupéyen de 19 ans, Sebastien Kellens, a perdu la vie.

    Le jeune homme était passager, assis à l’arrière d’un véhicule conduit par un ami, et dans lequel deux autres copains avaient aussi pris place.

    En début de soirée, le conducteur de la Peugeot 208 noire qui descendait le thier, venant de Wonck, n'a pu négocier le virage à droite et a violemment percuté un arbre avant de terminer sa couse dans les taillis. Sebastien a été éjecté et est décédé sur place.

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                                                                                                    © P. Neufcour

    Le conducteur a indiqué avoir voulu éviter un cycliste, mais ce jeudi, le parquet ne confirmait pas cette thèse. Les auditions des rescapés devraient en dire plus sur les circonstances du drame.

    La thèse d'une vitesse inadaptée n'est pas écartée.

    L’accident a mobilisé un grand nombre de services de secours. Outre la police de la Basse-Meuse, la Croix Rouge d’Oupeye – arrivée en premier sur les lieux – le PIT André Renard, la Croix Rouge de Blegny et l’hélicoptère médicalisé de Bra-Sur-Lienne sont intervenus. Le parquet de Liège a été avisé des faits. Un expert est decendu sur place.

    (P.NF avec A.MA)

    Une information à lire dans La Meuse Liège de ce vendredi 13 mai.

      

  • Un Visétois de 19 ans met le feu à la maison de ses parents... parce qu'il ne s'entendait pas avec son père!

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    Photo d'illustration - Archives P. Neufcour

    Une querelle familiale a pris des proportions tragiques ce mercredi quand Benjamin L., un habitant de Visé de 19 ans, a décidé de mettre le feu à la maison de ses parents. La raison ? Il voulait se venger de son père.

    Les relations étaient en effet très tendues entre Benjamin et son père. Selon Benjamin, ce dernier le rabaissait constamment, et n’était jamais satisfait du travail qu’il accomplissait. Benjamin a donc profité de l’absence de ses parents pour mettre le feu à la maison familiale. Le feu s’est propagé au toit et à la chambre de ses parents.

    Fort heureusement, cet incendie criminel n’a fait aucune victime. Alertés par la fumée qui se dégageait de l’habitation, les voisins se sont directement rendus sur les lieux.

    C’est en inspectant la maison pour vérifier qu’il n’y avait personne dedans qu’ils se sont rendus compte que l’incendie était criminel...

    (Rédaction en ligne) 

    Tous les détails de cette querelle incendiaire dans La Meuse Liège de ce vendredi.

  • Blegny : Pierrot Ploemen est décédé après une chute à vélo à Barchon

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    Pierrot Ploemmen et son épouse

    Amené jeudi à la Citadelle à Liège après avoir sévèrement chuté à vélo à Barchon, Pierrot Ploemmen est décédé le lendemain matin. Agé de 78 ans, le Blegnytois laisse une famille et des amis ravagés par la tristesse, mais également une église dont il s’occupait tant, ainsi que le club de marche de Mortier au sein duquel il se montrait très actif.

    Avec le retour du soleil, les cyclistes se font plus nombreux sur les routes. Ce jeudi, on pouvait en voir des centaines du côté de Barchon. Le Blegnytois Pierre Ploemmen, mieux connu sous le nom de Pierrot, était l’un d’eux. Alors que ce passionné de cyclisme se trouvait dans la rue de Heuseux, toujours en travaux, il a soudain chuté. « C’était un endroit où le passage était plutôt étroit. De fait, plusieurs cyclistes descendaient cette rue à grande vitesse alors que Pierrot revenait vers le centre du village. Soudain, il a été déséquilibré par un rebord et il est violemment tombé au sol, sur la tête, dans une rigole », nous confie une source sous le couvert de l’anonymat.

    Rapidement, une infirmière du coin est sortie de chez elle pour lui prodiguer les premiers soins. Dans la foulée, il a fallu appeler les secours.

    Il portait son casque

    Finalement, c’est dans un hélicoptère médical que le Blegnytois a été transporté à la Citadelle. Toujours dans le coma jeudi soir, il est décédé vendredi matin. Pourtant, au moment de la chute, il portait bien un casque.

    Du côté de Blegny, c’est la consternation. Il faut dire que Pierrot Ploemmen était très connu dans sa région. « Pourtant, c’était un homme de l’ombre. Il ne se mettait jamais dans la lumière. Il l’aurait pourtant mérité vu tout ce qu’il réalisait près de chez lui », lance une seconde source, toujours de manière anonyme, avant de préciser les principales activités du Blegnytois. « Il s’occupait de l’église dans le centre du village. Il n’hésitait pas à mettre la main à la pâte lorsqu’il y avait des travaux à réaliser. De plus, après avoir fait partie de la chorale de Trembleur, il était un membre très actif de la chorale de Blegny ».

    Retrouvez l’intégralité de notre reportage dans La Meuse de ce samedi.

     

     
     
     
     
     
     
  • Avis de recherche lancé dans le cadre d'une tentative de meurtre à Visé

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    Les faits ont été perpétrés le mardi 26 avril, peu après 19h00, à quelques centaines de mètres de la clinique hermallienne, sur le chemin de halage qui jouxte la rive gauche de la Meuse, à hauteur de la rue Basse Hermalle. Une voiture venant de Visé et se dirigeant vers Oupeye a heurté une Néerlandaise née en 1988, alors que celle-ci se trouvait près d’un muret longeant le fleuve. Après avoir percuté la victime une première fois, le véhicule a effectué une marche arrière pour la renverser à nouveau. Lors de ce second impact, sa tête a frappé le pare-brise arrière de la voiture. Grièvement blessée, la jeune femme a été hospitalisée, mais se trouve hors de danger. Le véhicule suspect, actuellement recherché, est probablement une voiture de type berline, de couleur bordeaux ou mauve, précise-t-on au parquet de Liège. Son pare-brise arrière est brisé et il présente vraisemblablement des dégâts à l’avant gauche. Par ailleurs, une chaussure de marque CROCS bleue, fourrée, a été retrouvée dans une poubelle située non loin du lieu des faits. Cette chaussure appartenait à la victime. Les enquêteurs sont à la recherche de la personne qui a trouvé cette chaussure et l’a déposée dans cette poubelle. Dans son avis de recherche, le parquet de Liège demande à tout témoin de se manifester en contactant le numéro gratuit 0800/30.300.