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Justice - Page 5

  • Visé : Le Parquet de Liège à ouvert un dossier à charge de Viviane Dessart, échevine MR, pour abus de biens sociaux

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    Le parquet du Procureur du Roi de Liège a ouvert un dossier à charge de Viviane Dessart, l'échevine de la culture, du tourisme et "des voyages des aînés" de la ville de Visé,  pour abus de bien social. C'est une plainte qui a déclenché cette mise à l'information, pas, ou peut-être pas encore à l'instruction. Il est question de frais de déplacements indûment supportés par la collectivité, mais pas seulement. Les autorités judiciaires se montrent avares de commantaires, et pour cause:il pourrait s'agir d'une dénonciation de pure malveillance.

    Le climat politique local est en effet marqué par des rivalités internes au Mouvement Réformateur. Le bougmestre Marcel Neven a annoncé son retrait, mais le parti tarde à désigner sa tête de liste pour le scrutin d'octobre. Trois échevins sont en lice. Les pourparlers et conciliations auraient du se conclure au printemps dernier, puis à l'automne, mais les discussions sont toujours en cours. Cette "affaire Dessart" intervient au pire moment pour les libéraux: le temps que l'enquête soit diligentée, cette concurrente est lourdement handicapée par rapport à ses deux concurrents. Or, les décisions deviennent urgentes.

    L'intéressée, pour sa part, parle de dépenses de fonction, de pratiques sans ambiguité, admises de longue date au sein du collège communal.

    (Source : RTBF)

  • Argenteau : Christian Bodson a enfin gagné son procès!

    d-20160217-G6027N_thS.jpgImmobilier, bijoux, tableaux, comptes titres, la fortune de Jacques (décédé en octobre 1998) était inestimable. À tel point que les héritiers se sont déchirés devant le tribunal correctionnel à son sujet. Christian Bodson, un des enfants du couple, reprochait à plusieurs membres de la famille d’avoir caché une partie du magot au notaire. Le tribunal vient de lui donner raison.  
    En février 2016, Christian Bodson s’était exprimé dans nos colonnes. Derrière le volumineux dossier judiciaire qu’il consignait et qu’il enrichissait au fil de la procédure, l’homme ne cachait pas sa rancune. Depuis de nombreuses années, il était au cœur d’une bataille juridique impliquant plusieurs membres de sa famille.
    Au centre de celle-ci : un héritage familial plutôt coquet (biens immobiliers, comptes en Suisse, œuvres d’art, etc...). Le sexagénaire accusait son frère, sa sœur et même ses deux enfants d’avoir « caché » une partie de la fortune au notaire chargé de la succession, lors du décès de son papa. On parle ici d’un compte titres, ouvert en Suisse, d’une valeur de plus de 300.000 euros. Un montant qui avait été « donné » par le papa à deux de ses enfants, de son vivant, et qui aurait dû être déclaré au notaire lors du décès du patriarche. Or, devant lui, les ayants droit avaient déclaré n’avoir rien reçu du vivant de Jacques. Et ça, on ne peut pas le faire…
     
    Le frère et la soeur écopent de six mois de prison
     
    En mars 2017 le tribunal correctionnel de Liège a ouvert les débats de fond dans ce délicat dossier. Le frère, la sœur et les enfants de Christian Bodson étaient renvoyés pour une série de prévention liées au code civil. Ce 12 septembre, il a rendu son jugement. Si le fils de Christian Bodson a été acquitté des préventions, les autres membres de la famille ont eu moins de chance. La sœur et le frère écopent tous les deux de 6 mois de prison avec sursis pendant 3 ans et d’une amende de 8.260 euros. La fille de Christian est également condamnée à 100 heures de travail d’intérêt général et 275 euros d’amende, ou 6 mois de prison à titre subsidiaire.
    Les parties ont désormais 30 jours pour interjeter appel de cette décision s’ils le souhaitent.
    « Je suis satisfait », déclare Christian Bodson. « Les peines reçues, ils les ont méritées. Je souligne également que le tribunal n’a pas été tendre avec les amendes. Ce que j’espère, c’est qu’il n’y aura pas d’appel. Au stade actuel, J’ai droit à 1 euro symbolique. Le restant doit être déterminé par le Civil. »
    Dans 30 jours, si les prévenus n’ont pas fait appel de cette décision, les parties se reverront une nouvelle fois devant la justice, pour fixer l’agenda de la juridiction civile cette fois. Et là, ça risque de se chiffrer… (A.Ma -La Meuse)
     

     

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  • Triple meurtre de Visé : le pourvoi en Cassation d'Amedeo Troiano vient d'être rejeté

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    La cour de cassation a rejeté, mercredi, le pourvoi en cassation introduit par Amedeo Troiano contre l’arrêt de la cour d’assises de Liège qui l’a condamné à la réclusion à perpétuité en février dernier. Amedeo Troiano, âgé de 38 ans, avait été reconnu coupable de l’assassinat de Benoît Philippens et des meurtres de Carol Haid et d’Esteban Counet (originaire de Dolhain-Limbourg). Ce couple de banquiers et leur filleul âgé de 9 ans avaient été abattus le 18 avril 2014 à Visé. Amedeo Troiano avait qualifié le verdict de la cour d’assises de Liège de « scandaleux », affirmant être innocent.
    (Lire l'article complet dans nos éditions "papier" ou "numériques")

     

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  • Assises de Liège : perpétuité pour le triple homicide

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                                                                          Photo Thomas Van Ass

    Hier, il avait été reconnu coupable d'un assassinat et d'un double meurtre commis à Visé. Cet avant-midi, la Cour d'Assise de Liège vient de rendre son verdict. Amedeo Troiano est condamné à la réclusion criminelle à perpétuité.

    Lire l'article complet sur www.lameuse.be

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  • Une instruction ouverte à l'encontre de "Tonton Tapis": un plaignant l'accuse d'avoir organisé son insolvabilité

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    André Debor, alias « Tonton Tapis », a-t-il organisé son insolvabilité pour éviter d’exécuter un jugement du tribunal du commerce de Liège ? C’est ce que la justice liégeoise tente de découvrir. Suite à une plainte, déposée en avril, une instruction a été ouverte. En attendant, l’ancien roi de la moquette nie vigoureusement.

    En avril 2016, un homme a déposé plainte à l’encontre du septuagénaire visétois. En cause, un jugement datant de mars 2015, dans lequel la SPRL Manutex, dont André Debor était gérant, est condamnée à payer la somme de 51.000 euros (plus les indemnités de retard), au plaignant. Ce dernier n’a, à ce jour, rien perçu. Et pour cause : André Debor a mis fin aux activités de sa société peu de temps avant le jugement. Organisation de son insolvabilité, martèle l’homme à l’origine de la plainte. Absence de liquidité et donc, impossibilité de payer, précise André Debor par l’entremise de son conseil, Me Didier Grignard. (Rédaction en ligne)

    Une information à découvrir dans nos éditions de ce mercredi 16 novembre ou via notre liseuse numérique

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