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Santé - Page 13

  • Les masques distribués par le gouvernement retirés de la distribution

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    Le cabinet du ministre de la Santé Publique Frank Vandenbroucke a recommandé mercredi à ceux qui ont pris possession d’un masque gratuitement proposé par les autorités fédérales l’an dernier via les pharmaciens de ne plus les utiliser, dans l’attente de résultats d’une enquête complémentaire sur leur toxicité potentielle.

    Lors de la première vague de la pandémie, le gouvernement précédent avait commandé via le département de la Défense, des millions de masques à la société luxembourgeoise Avrox. Ces masques ont été et sont distribués gratuitement à la population, via les pharmacies.

    Mardi, la RTBF avait indiqué que Sciensano avait lancé une étude approfondie sur les composants qui s’échappent de ces masques et qui sont potentiellement nocifs. Comme celui utilisé dans la fabrication de vêtements, le tissu des masques a été traité avec du nitrate d’argent, qui permet de combattre les moisissures. En juin dernier, le Service Public Fédéral Santé affirmait que c’était sans danger.

    Risque potentiel pour la santé

    Mais un avis récent du Conseil Supérieur de la Santé qui s’est penché sur l’avis préliminaire de Sciensano est moins catégorique. Celui-ci y voit un risque potentiel pour la santé et arrive à la conclusion qu’il vaut mieux ne plus utiliser ces masques, a confirmé mardi soir le cabinet du ministres de la Santé Frank Vandenbroucke (sp.a).

    Selon la porte-parole du ministre, il n’y a, à ce stade, pas de preuve d’un danger pour la santé. La mesure est préventive. Il ne faut donc pas pour autant jeter dès à présent son masque à la poubelle. Le ministre Vandenbroucke a demandé une étude complémentaire à Sciensano et au Conseil Supérieur de la Santé.

    Retirés de la circulation

    Des 15 millions de masques en tissu commandés par la Défense à la société Avrox l’an dernier, environ dix millions n’ont pas encore été distribués: il en reste trois millions dans les pharmacies et quelque 6,5 millions à la caserne de Peutie. Tant que les résultats de l’étude complémentaires ne sont pas connue, ils ne seront pas distribués.

    Le ministère de la Santé et celui de la Défense ont en effet décidé de garder les stocks de plusieurs millions de masques toujours pas distribués. Consigne est aussi donnée aux pharmacies qui en disposent de ne plus les délivrer. (Source Métro)

  • Une lettre pour vous inviter à la vaccination

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    Entre mars et juin prochains, tous les Belges qui ne sont pas encore vaccinés contre le Covid recevront une lettre de trois pages les invitant à le faire.
    Deux semaines avant la date programmée, chaque Belge devrait en réalité recevoir une invitation sous trois formes différentes : par lettre, par courriel et par SMS. Les autorités auront obtenu ces informations auprès des mutuelles.
    Dans ce courrier, la première page se présente sous la forme d’un ticket électronique avec un code-barres et un code QR (quick response), ainsi qu’un lien vers un site pour s’y enregistrer. Cette page doit être conservée et emportée lors de la visite auprès du centre de vaccination.
    La 2e page spécifie le créneau horaire auquel chaque personne est attendue dans son centre de vaccination, et ce, aussi bien pour la première que la seconde injection.
    La 3 e page contient, elle, des informations pratiques sur la vaccination en elle-même.
    Pour la vaccination – qui n’est pas obligatoire, mais fortement recommandée – il convient donc de s’enregistrer au préalable pour confirmer sa venue dans le centre prévu. Cela doit permettre aux centres de vaccination de prévoir le nombre de personnes attendues chaque jour.
    (Source : 7Dimanche)
  • Au moins 18 résidents sur 90 d'un home à Visé positifs au Covid peu après avoir reçu la première dose de vaccin: rien d'anormal

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    La maison de repos Claire Fontaine dépend du centre public d’action sociale. Elle a procédé, comme de nombreux établissements du genre en région wallonne, à une vaccination en règle de ses résidents, en l’occurrence le troisième mardi de janvier. Mais dix jours plus tard, c’est-à-dire vendredi dernier, il a fallu procéder à un dépistage systématique de tout le monde, pensionnaires et travailleurs. C’est qu’entretemps, la campagne de tests salivaires, pratiquée à intervalle régulier parmi les membres du personnel volontaires, a révélé un cas positif.

    Et, révélés ce lundi, les chiffres de contamination ont de quoi surprendre par leur ampleur : dix-huit résidents sur une nonantaine, et huit personnes parmi les employés.

     


    Un confinement en chambre avait évidemment été organisé, avec annulation des visites, et mise en place d’un système de visioconversation. Des recherches doivent encore être menées pour établir l’origine de cette propagation sur des gens en principe immunisés, même si la protection totale n'intervient qu'une semaine après l'inoculation de la seconde dose.

    Les recherches, notamment en Israël qui est déjà très avancé dans da campagne de vaccination, montrent qu'une certaine protection intervient déjà une dizaine de jours après l'administration de la première dose. Mais d'une part, on ne sait pas quand ces résidents ont été contaminés, et d'autre part, ce n'est qu'une réduction des transmissions, pas un blocage complet.

    La question, à présent, c'est de savoir s'il convient ou non, la semaine prochaine, d’administrer la deuxième dose...

    Source : RTBF

  • Attention si vous avez fait vos courses chez Carrefour ou Delhaize: ce produit retiré de la vente!

    Les «Schnitzer Bio Hamburger Buns» (125g) sont retirés de la vente en raison d’une teneur trop élevée en résidus de produits phytopharmaceutiques (oxyde d’éthylène) sur les graines de sésame.


    Toute information complémentaire peut être obtenue via l’adresse
    hanna.zwick@schnitzer.eu.

  • Coronavirus : la Norvège enquête sur les décès de personnes âgées suite à la vaccination par le vaccin Pfizer/BioNtech

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    Le vaccin contre le coronavirus pourrait-il être dangereux pour des personnes trop âgées, ou trop faibles ?
    En Norvège, une série de décès suspects, après vaccination, fait l’objet d’une enquête, suite à l’enregistrement de 13 décès. 13, et non 23 comme dit auparavant.

    On a dénombré des réactions auprès de 29 patients, entre 18 et 90 ans durant cette dernière semaine. 14 patients de la tranche 80-89 ans, soit la proportion la plus importante, ont enregistré des réactions. 13 de ces patients sont décédés sans que, précise l’Institut de Santé publique norvégien, on puisse à ce stade déterminer s’il y a corrélation ou causalité.

    Public plus fragile

    Prioritaires pour la vaccination, les personnes résidant dans les maisons de repos sont un public plus fragile, souvent atteint de pathologies, parfois à un stade sévère.

    Selon les premières analyses, les effets secondaires inoffensifs chez la plupart des vaccinés – comme l’allergie ou la fièvre – auraient pu provoquer la mort de ces patients particulièrement fragiles.
    C’est en tout cas l’hypothèse sur laquelle travaillent les experts norvégiens, en collaboration avec le fabricant Pfizer. Car comme tous les vaccins, si celui contre le Covid a été testé lors de son élaboration sur des milliers de patients, il l’a très peu été sur des publics spécifiques comme les personnes très âgées, ou les enfants.

    Recensement hebdomadaire

    L’Institut de santé publique norvégien recense toutes les réactions enregistrées suite à l’administration des vaccins anti-Covid. En l’occurrence, les chiffres de décès recensés ne concernent que le vaccin Pfizer/BioNTech, puisqu’on a commencé en Norvège l’administration du vaccin Moderna le 15 janvier dernier.

    L’agence publie de manière hebdomadaire ses rapports. Le dernier de ceux-ci fait donc état des cas des diverses réactions enregistrées : du malaise général, accompagné de douleurs autour de l’endroit de l’injection, en passant par les problèmes intestinaux, respiratoires, neurologiques ou musculaires, entre autres.

    Modifier les consignes

    En attendant les résultats de l’enquête en cours, l’Institut a décidé de modifier ses consignes pour la vaccination des plus vieux, ou des plus malades. Car "pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte", explique-t-il, "les avantages du vaccin peuvent être marginaux… Ou non pertinents".

    Faut-il s’inquiéter ?

    Alors, faut-il s’inquiéter, alors que chez nous, la campagne de vaccination est en plein essor ?

    Pour Eric Muraille, immunologiste à l’ULB, ce sont des chiffres qui sont attendus : "les effets secondaires observés sont normaux pour ce vaccin : fièvres, nausées, diarrhées". Des effets observés en phase 3 des tests de vaccins, et qui ne posent chez des individus en bonne santé pas de gros problèmes.

    "En revanche, chez des personnes très affaiblies, cela peut les faire basculer et entraîner un certain taux de mortalité".

    Peut-être faudra-t-il, à l’instar de la Norvège, bien peser le pour et le contre pour la vaccination de certains patients particulièrement faibles.

    On devrait avoir pour la fin janvier le premier rapport d’évaluation de la vaccination avec le vaccin Pfizer-BioNtech.

    (Source : RTBF Infos)