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Santé - Page 13

  • Ville de Visé - Vaccination

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    Chères citoyennes,
    Chers citoyens,

    L’épidémie de coronavirus n’est malheureusement toujours pas derrière nous ce qui nous impose à maintenir notre vigilance et à poursuivre nos efforts afin éradiquer ce virus ensemble.

    Les gestes barrières, les mesures d’hygiène et les mesures de distanciation sociale sont importantes et doivent être respectées au maximum.


    La vaccination du grand public sera disponible dans les prochaines semaines. La Wallonie vous convoquera, par tranche d’âge, par courrier à votre domicile afin de vous proposer un rendez-vous dans un centre de vaccination.
    La Ville de Visé s’est vue proposer par la Région, l’accueil d’un site de vaccination sur son territoire et nous serons enchantés de vous y accueillir.
    Dès que nous serons en possession de nouvelles informations nous ne manquerons pas de vous les communiquer.

    Nous savons que la situation est longue et difficile pour chacun de vous mais c’est en poursuivant nos efforts, qu’ensemble nous vaincrons. Continuez à rester prudents.

    Suivez toutes les informations sur le site de la Ville de Visé, le Facebook communal et sur le site https://www.info-coronavirus.be/fr/ 

  • L'AFSCA retire de la vente du saucisson vendu chez Aldi

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    Rappel de Aldi
    Produit : Saucisson fin en tranches 150g.
    Problématique : présence possible de la Salmonelle.



    DESCRIPTION DU PRODUIT

    Dénomination : Saucisson fin en tranches 150g
    Code EAN : 270 6001 8
    Marque : Délifin
    Type d'emballage : plastique
    Codes de lot et dates de péremption :

    Codes de lot

    Dates de péremption

    GUS164702 (1) 027

    14.03.2021

    GUS164702 (1) 029

    14.03.2021

    GUS164702 (1) 032

    17.03.2021

    GUS164702 (1) 034

    17.03.2021

    GUS164702 (1) 035

    17.03.2021

    GUS164702 (1) 040

    20.03.2021

    GUS164702 (1) 041

    20.03.2021

    GUS164702 (1) 042

    20.03.2021

    GUS164702 (1) 043

    21.03.2021

     

    Points de vente : ALDI magasins

    NATURE DU PROBLÈME

    La Salmonelle a été détectée dans le produit mentionné ci-dessus.

    ALDI a donc décidé, en consultation avec l'AFSCA, de retirer ce produit du marché et de le rappeler auprès des consommateurs.

    Les autres produits ALDI ne sont pas concernés par ce rappel de produit.

    DESCRIPTION DU RISQUE

    Les symptômes possibles d’une intoxication causée par la salmonelle sont les suivants : fièvre, crampes abdominales et diarrhée, et cela dans un délai de 12 à 48 h après la consommation de l’aliment contaminé. Le risque d’infection est plus élevé chez les personnes âgées, les enfants, les femmes enceintes et les personnes immunodéprimées.

    Les personnes qui ont consommé ces produits et qui présentent ce type de symptômes sont invitées à consulter sans délai leur médecin traitant en lui signalant cette consommation.

    CONSEILS POUR LES CONSOMMATEURS

    Veuillez ne pas consommer ces produits et les ramener en magasin.
    Les produits ramenés seront remboursés (également sans ticket de caisse).
    Pour toute information complémentaire, vous pouvez prendre contact avec ALDI via serviceclients@aldi.be.

  • Les masques distribués par le gouvernement retirés de la distribution

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    Le cabinet du ministre de la Santé Publique Frank Vandenbroucke a recommandé mercredi à ceux qui ont pris possession d’un masque gratuitement proposé par les autorités fédérales l’an dernier via les pharmaciens de ne plus les utiliser, dans l’attente de résultats d’une enquête complémentaire sur leur toxicité potentielle.

    Lors de la première vague de la pandémie, le gouvernement précédent avait commandé via le département de la Défense, des millions de masques à la société luxembourgeoise Avrox. Ces masques ont été et sont distribués gratuitement à la population, via les pharmacies.

    Mardi, la RTBF avait indiqué que Sciensano avait lancé une étude approfondie sur les composants qui s’échappent de ces masques et qui sont potentiellement nocifs. Comme celui utilisé dans la fabrication de vêtements, le tissu des masques a été traité avec du nitrate d’argent, qui permet de combattre les moisissures. En juin dernier, le Service Public Fédéral Santé affirmait que c’était sans danger.

    Risque potentiel pour la santé

    Mais un avis récent du Conseil Supérieur de la Santé qui s’est penché sur l’avis préliminaire de Sciensano est moins catégorique. Celui-ci y voit un risque potentiel pour la santé et arrive à la conclusion qu’il vaut mieux ne plus utiliser ces masques, a confirmé mardi soir le cabinet du ministres de la Santé Frank Vandenbroucke (sp.a).

    Selon la porte-parole du ministre, il n’y a, à ce stade, pas de preuve d’un danger pour la santé. La mesure est préventive. Il ne faut donc pas pour autant jeter dès à présent son masque à la poubelle. Le ministre Vandenbroucke a demandé une étude complémentaire à Sciensano et au Conseil Supérieur de la Santé.

    Retirés de la circulation

    Des 15 millions de masques en tissu commandés par la Défense à la société Avrox l’an dernier, environ dix millions n’ont pas encore été distribués: il en reste trois millions dans les pharmacies et quelque 6,5 millions à la caserne de Peutie. Tant que les résultats de l’étude complémentaires ne sont pas connue, ils ne seront pas distribués.

    Le ministère de la Santé et celui de la Défense ont en effet décidé de garder les stocks de plusieurs millions de masques toujours pas distribués. Consigne est aussi donnée aux pharmacies qui en disposent de ne plus les délivrer. (Source Métro)

  • Une lettre pour vous inviter à la vaccination

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    Entre mars et juin prochains, tous les Belges qui ne sont pas encore vaccinés contre le Covid recevront une lettre de trois pages les invitant à le faire.
    Deux semaines avant la date programmée, chaque Belge devrait en réalité recevoir une invitation sous trois formes différentes : par lettre, par courriel et par SMS. Les autorités auront obtenu ces informations auprès des mutuelles.
    Dans ce courrier, la première page se présente sous la forme d’un ticket électronique avec un code-barres et un code QR (quick response), ainsi qu’un lien vers un site pour s’y enregistrer. Cette page doit être conservée et emportée lors de la visite auprès du centre de vaccination.
    La 2e page spécifie le créneau horaire auquel chaque personne est attendue dans son centre de vaccination, et ce, aussi bien pour la première que la seconde injection.
    La 3 e page contient, elle, des informations pratiques sur la vaccination en elle-même.
    Pour la vaccination – qui n’est pas obligatoire, mais fortement recommandée – il convient donc de s’enregistrer au préalable pour confirmer sa venue dans le centre prévu. Cela doit permettre aux centres de vaccination de prévoir le nombre de personnes attendues chaque jour.
    (Source : 7Dimanche)
  • Au moins 18 résidents sur 90 d'un home à Visé positifs au Covid peu après avoir reçu la première dose de vaccin: rien d'anormal

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    La maison de repos Claire Fontaine dépend du centre public d’action sociale. Elle a procédé, comme de nombreux établissements du genre en région wallonne, à une vaccination en règle de ses résidents, en l’occurrence le troisième mardi de janvier. Mais dix jours plus tard, c’est-à-dire vendredi dernier, il a fallu procéder à un dépistage systématique de tout le monde, pensionnaires et travailleurs. C’est qu’entretemps, la campagne de tests salivaires, pratiquée à intervalle régulier parmi les membres du personnel volontaires, a révélé un cas positif.

    Et, révélés ce lundi, les chiffres de contamination ont de quoi surprendre par leur ampleur : dix-huit résidents sur une nonantaine, et huit personnes parmi les employés.

     


    Un confinement en chambre avait évidemment été organisé, avec annulation des visites, et mise en place d’un système de visioconversation. Des recherches doivent encore être menées pour établir l’origine de cette propagation sur des gens en principe immunisés, même si la protection totale n'intervient qu'une semaine après l'inoculation de la seconde dose.

    Les recherches, notamment en Israël qui est déjà très avancé dans da campagne de vaccination, montrent qu'une certaine protection intervient déjà une dizaine de jours après l'administration de la première dose. Mais d'une part, on ne sait pas quand ces résidents ont été contaminés, et d'autre part, ce n'est qu'une réduction des transmissions, pas un blocage complet.

    La question, à présent, c'est de savoir s'il convient ou non, la semaine prochaine, d’administrer la deuxième dose...

    Source : RTBF