En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le Service Environnement de la Ville de Visé vous informe de l'Action Radon 2019.Celle-ci débute le 1er octobre 2019 et se terminele 31 décembre 2019. Cette action vous permet d’acheter un détecteur radon au prix de 20 € à la place de 30€ afin de savoir si votre habitation est exposée ounon au radon.
Le radon est un gaz radioactif, formé par décroissance de l’uranium présent dans le sol et les roches.En Belgique, il se retrouve dans le sous-sol en quantités variables selon les caractéristiques géologiques. Depuis le sous-sol, il peut s’infiltrer dans tout type de bâtiment. Lors de l’inhalation, il atteint les poumons et irradie les tissus, ce qui peut les endommager et provoquer un cancer.
Pour plus de renseignements sur le radon, vous pouvez consulter le site de l'Agence fédérale de Contrôle nucléaire (http://www.fanc.fgov.be) ou contactez le Laboratoire de la Province de Liège, par mail via l'adresse : labo@provincedeliege.be ou par téléphone au 04/2797736.
Xavier MALMENDIER
Echevin de l’Environnement et du Développement Territorial
Aldi, en consultation avec l’Agence fédérale de la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca), a décidé vendredi de rappeler le rosbif cuit 100 grammes de la marque Délifin, en raison de la présence possible de la bactérie listeria.
Le rappel concerne le rosbif cuit conditionné en paquet de 100 grammes de la marque Délifin dont les dates de péremption expirent le 13 octobre. Le produit était en vente dans les magasins Aldi jusqu’au 4 octobre.
La listériose peut être dangereuse pour les jeunes enfants, les femmes enceintes, les personnes à faible immunité et les personnes âgées. Elle se marque par les symptômes suivants : nausées et vomissements, douleurs abdominales, diarrhée ou constipation, maux de tête et fièvre permanente.
Il est demandé aux personnes ayant acheté ce produit de ne pas le consommer et de le ramener dans le magasin où ils l’ont acheté. L’article leur sera remboursé.
Pour toute information complémentaire, les consommateurs peuvent prendre contact avec ALDI via contact@aldi.be
Des mesures exceptionnelles de confinement pour le patient. - CHC
Branle-bas de combat ce 14 août à la clinique Notre-Dame du CHC, à Hermalle. Dans la nuit, un patient, de retour de Goma et présentant la plupart des symptômes du virus Ebola, s’est présenté aux urgences. Si, au final, il ne souffrait « que » de la malaria, son cas a toutefois nécessité quelques mesures exceptionnelles.
Goma est au coeur de l’épidémie d’Ebola qui ravage depuis plus d’un an la République démocratique du Congo.
Quand, ce 14 août, un patient de retour de cette ville depuis quelques jours et présentant plusieurs des symptômes de ce virus mortel et fortement contagieux s’est rendu aux urgences de la clinique Notre-Dame, à Hermalle, tous les signaux étaient donc au rouge.
« D’après les médecins, il présentait quatre symptômes alarmants, confirme Catherine Marissiaux, la responsable de la communication pour le CHC. Comme il rentrait en outre de Goma… »
Très vite, après un contact avec le médecin hygiéniste du CHC ainsi qu’avec celui de la cellule de surveillance des maladies infectieuses de l’agence wallonne de la Santé, la décision de déclencher la procédure NRBC (nucléaire, radiologique, bactériologique, chimique) était prise.
« Tous les services d’urgence sont formés à des procédures particulières pour la prise en charge de patients radioactifs ou victimes de produits bactériologiques par exemple, continue Mme Marissiaux. Ça entraîne notamment le confinement du patient, un équipement et une façon de faire particuliers. Tout le matériel utilisé devait également faire l’objet d’un traitement spécifique après usage. »
Seule bonne nouvelle : le patient, vu l’heure de son arrivée à Hermalle, n’a croisé aucun autre patient, ce qui évité le déclenchement d’une procédure d’une tout autre ampleur encore.
Le personnel soignant du CHC s’est donc équipé de combinaisons de protection, tandis que le transfert du patient était organisé vers l’hôpital Reine Astrid. Un transfert sous haute protection également…
« Il y avait un camion de l’armée, une voiture de la police militaire, une ambulance et un smur de l’hôpital Reine Astrid… Mais tout s’est très bien déroulé. Et cela a démontré l’efficacité de cette procédure et de la chaîne de soins en pareil cas. »
Cas qui s’est finalement révélé négatif. Vers 23h, l’institut de médecine tropicale révélait en effet que le patient souffrait, non pas d’Ebola, mais d’une « simple » malaria.
Un diagnostic qui a facilité la suite des opérations au sein de la clinique Notre-Dame. « Après, nous avons désinfecté tous les endroits dans lesquels il était passé et sa chambre a été mise en quarantaine. Comme il ne s’agissait que d’un cas de malaria, nous avons ensuite pu la désinfecter nous-mêmes. Mais si Ebola avait été avéré, nous aurions dû faire appel à la Protection civile », détaille la porte-parole du CHC.
Au final, plus de peur que de mal donc. Le patient devrait en effet se remettre de sa malaria et le CHC a retrouvé sa quiétude, avec la satisfaction d’avoir fait face à une urgence peu commune de la meilleure des manières.
Ebola, un virus avec un taux de létalité de 30 à 90%
DIMANCHE, AOÛT 18, 2019 - 18:16
Le virus Ebola est responsable de fortes fièvres et d'hémorragies souvent mortelles pour l'homme, selon l’institut Pasteur. Le taux de létalité se situe entre 30 et 90% selon les épidémies et l'espèce virale. Le réservoir naturel du virus serait la chauve-souris. Le virus Ebola a été découvert en 1976, lors des deux flambées épidémiques au Soudan et en République démocratique du Congo. Depuis, une vingtaine de flambées épidémiques sont apparues en Afrique Centrale. En décembre 2013, le virus a atteint l’Afrique de l’Ouest, région qui était jusqu’alors épargnée par la maladie. En 2014, il provoque la plus grande épidémie connue jusqu’à présent. Une nouvelle épidémie est en cours en RDC. Elle a fait plus de 1.800 morts en un an.
Nous venons d'apprendre que notre ancien bourgmestre (de 1989 à 2018) a été victime d'un petit AVC la semaine dernière. Marcel Neven nous explique : "Suite à des problèmes aux reins, je me trouvais à l'hôpital lorsque cet "incident" s'est passé. Le jour où je devais sortir de l'hôpital, j'ai eu une légère perte d'équilibre. Les médecins ont préféré me garder quelques jours supplémentaires pour procéder à des examens complémentaires, et tout va bien".
Dès sa sortie de l'hôpital, ce lundi, l'ancien premier magistrat de la Cité de l'Oie a confirmé qu'il n'avait conservé aucune séquelle et qu'il avait d'ailleurs repris ses activités. Mardi, il s'est rendu à Spa afin d'assister à une représentation théâtrale.
Les dates limites de consommation sont pour le Roquefort Société tranche de 100g le 27 octobre ou le 3 novembre; pour le Roquefort Société tranche de 200g le 2 décembre, le 9 décembre ou le 16 décembre; et pour le Roquefort Société pain le 17 novembre. Les consommateurs qui auraient acquis les produits concernés sont priés de les ramener en magasin, un remboursement sera opéré.
Une infection causée par la salmonelle se traduit par de la fièvre, des crampes abdominales et de la diarrhée, dans un délai de 6 à 72 heures après la consommation. Les personnes âgées, les enfants, les femmes enceintes et les personnes immunodéprimées y sont plus sensibles.
Pour toute information complémentaire, la société est joignable au 0800/98.016 ou à l’adresse mail recall@roquefort-societe.com.