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Société - Page 30

  • Les OGM dans l'alimentation humaine, parlons-en

    22491911_1962898527369568_1102939164855986523_n.jpgEn collaboration avec la section locale de "Nature et Progrès", "Visez les alternatives" organise une conférence débat portant sur la présence des OGM dans l'alimentation humaine. Cet évènement se déroulera le 8 mars 2018 au Centre culturel de Visé, rue du Collège 31.

    Il y a maintenant plusieurs décennies que l'homme s'est mis en tête de modifier les gênes de certains organismes vivants pour leur donner de nouvelles caractéristiques.C'est ainsi que sont nés les Organismes Génétiquement Modifiés.

    A l'origine, ces recherches étaient menées dans un but médical (thérapeutique) mais très vite, elles se sont orientées vers l'agriculture : augmenter les rendements en rendant les cultures plu résistantes aux maladies, aux parasites et aux pesticides dont le terrible glyphosate !

    Mais quelles sont les conséquence de la présence de ces OGM dans notre alimentation? Sont-ils nocifs pour l'espèce humaine? Pour les animaux? Pour les végétaux? Qu'en est-il de la biodiversité, que fait-on du principe de précaution? Ces OGM constituent-ils une menace pour les cultures bio? 

    C'est à toutes ces questions que nous nous posons légitimement que Madame Zilha, de Nature et Progrès, tentera de répondre en évoquant la percée de ces OGM dans notre alimentation, dans l'écosystème. Après cet échange entre informations et réflexion, le public sera mieux en position pour comprendre toute la problématique liée à ces OGM, mais aussi pour prendre position face aux nombreux enjeux en cause.

    Renseignements et inscription : 
    Cécile Marchal Tél : 0494 059266 - E-mail : ccilmarchal@gmail.com , 
    Guy Paulus Tél : 0498 637707 – E-mail : guymar5354@gmail.com

    (P. Neufcour)

     

     

  • Les OGM dans l'alimentation humaine, parlons-en

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    VILLE DE VISÉ

    En collaboration avec la section locale de "Nature et Progrès", "Visez les alternatives" organise une conférence débat portant sur la présence des OGM dans l'alimentation humaine. Cet évènement se déroulera le 8 mars 2018 au Centre culturel de Visé, rue du Collège 31.

    Il y a maintenant plusieurs décennies que l'homme s'est mis en tête de modifier les gênes de certains organismes vivants pour leur donner de nouvelles caractéristiques.C'est ainsi que sont nés les Organismes Génétiquement Modifiés.

    A l'origine, ces recherches étaient menées dans un but médical (thérapeutique) mais très vite, elles se sont orientées vers l'agriculture : augmenter les rendements en rendant les cultures plu résistantes aux maladies, aux parasites et aux pesticides dont le terrible glyphosate !

    Mais quelles sont les conséquence de la présence de ces OGM dans notre alimentation? Sont-ils nocifs pour l'espèce humaine? Pour les animaux? Pour les végétaux? Qu'en est-il de la biodiversité, que fait-on du principe de précaution? Ces OGM constituent-ils une menace pour les cultures bio? 

    C'est à toutes ces questions que nous nous posons légitimement que Madame Zilha, de Nature et Progrès, tentera de répondre en évoquant la percée de ces OGM dans notre alimentation, dans l'écosystème. Après cet échange entre informations et réflexion, le public sera mieux en position pour comprendre toute la problématique liée à ces OGM, mais aussi pour prendre position face aux nombreux enjeux en cause.

    Renseignements et inscription : 
    Cécile Marchal Tél : 0494 059266 - E-mail : ccilmarchal@gmail.com , 
    Guy Paulus Tél : 0498 637707 – E-mail : guymar5354@gmail.com

    (P. Neufcour)

     

     

  • Visé : sept nouvelles chambres inaugurées à Clairefontaine

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    Déjà en 2011, des travaux étaient prévus dans la maison de repos visétoise, afin de moderniser certaines chambres, et d'en aménager d'autres. Le montant, subséquent, était estimé à 3.300.000 €, dont 60% subsidiés.  Ces travaux étaient absolument nécessaires : il était prévu que la législation change en 2018 et que les chambres à trois lits soient interdites; or il en existait encore trois à Clairefontaine. Il fallait donc trouver une solution pour héberger les résidents. Par la même occasion, la maison de repos obtint l'autorisation d'ouvrir 10 nouveaux lits. Les travaux prévus devaient donc permettre d'installer sur le site un nouveau bâtiment capable d'héberger 19 lits (les 9 existant et les 10 nouveaux, mais aussi toute l'infrastructure y afférente.

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    Suite à un contact pris avec le ministre Prévot au début de cette mandature, la réponse fut "Pas de subside cette mandature faute de moyens à la Région Wallonne" . 

    La cession de Clairefontaine fut envisagée : il fallait trouver un opérateur spécialisé pouvant assumer la charge financière de ces travaux afin d'assurer la pérennité de l'établissement. Mais il fallait que cet opérateur respecte "les balises "sociales, humaines et financières".

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    Fin 2014, les services administratifs et sociaux du CPAS déménagent dans les locaux de l'ancien commissariat de police, libéré, lui, suite à son départ vers l'ancienne brigade de Gendarmerie. Une aile fut donc libérée, et avec l'accord des autorités communales la décision fut prise de transformer ces locaux en 5 chambres à 2 lits et deux chambres individuelles. Le montant de l'opération étant estimé à +/- 700.000 euros sur fonds propres.

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    C'est ainsi qu'en 2018, année qui commémore les 120 ans de la création de la maison la pérennité de Clairefontaine semble assurée, et ce toujours dans le "giron" du CPAS visétois.

    Et à l'avenir?

    Les subsides attendus grâce au plan "Papy boom" gérés maintenant par la ministre Gréoli devraient être libérés en 2019 et le 1.500.000 € tant attendus devrait permettre d'accueillir 7 résidents supplémentaires mais également permettre de moderniser plusieurs chambres (plus spacieuses, avec douches, commodités...) et également réaliser les locaux prévus au préalable suite à la délocalisation des services sociaux vers la rue de la Chinstrée.

    L'avenir de la maison de repos visétoise semble d'ores et déjà assuré.

    (© Texte et photos P. Neufcour)

  • Des chats disparaissent

     imgres.jpgIl semblerait que dans certains quartiers de l'entité, la "disparition" de chats soit en nette augmentation. A la demande de certains propriétaires de ces félins, merci de vous assurer qu'aucun de ces animaux n'est "prisonnier" d'une cave, d'un vide ventilé, d'un abri de jardin...

    Par la même occasion, merci aux propriétaires de chats d'équiper leur animal d'un collier à clochette, de manière à éviter le "carnage" commis par ces prédateurs d'oiseaux qui tentent de se nourrir durant l'hiver; ceci à la demande de nombreux citoyens qui pratiquent le nourrissage des oiseaux.

  • Automobiles : les constructeurs allemands au coeur du scandale

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    Le docteur MENGELE de retour ?

    Volkswagen, BMW, Daimler et l’équipementier Bosch affrontent deux affaires distinctes mais révélées quasi simultanément, impliquant toutes deux un organisme de recherche qu’ils finançaient, l’EUGT, fermé depuis un an. Le premier scandale, dévoilé par le « New York Times », porte sur des tests menés aux États-Unis sur dix singes, en 2014, enfermés face à des dessins animés pendant qu’on leur faisait respirer la fumée émise par une Beetle, successeur de la Coccinelle, modèle phare de Volkswagen. Et alors que VW avait réagi dès samedi, prenant « ses distances avec toute forme de maltraitance d’animaux », les journaux Stuttgarter Zeitung et Süddeutsche Zeitung évoquaient lundi d’autres tests, cette fois en Allemagne et sur des êtres humains. Un institut hospitalier d’Aix-la-Chapelle, mandaté par l’EUGT, a fait inhaler en 2013 et 2014 du dioxyde d’azote (NO2) à 25 personnes en bonne santé, à des concentrations variées, détaillent les deux journaux. Le but était de mesurer l’effet de l’exposition au NO2 sur le lieu de travail.

    Aucun effet ?

    L’étude n’a conclu à aucun « effet significatif » de ce gaz, émis notamment par les moteurs diesel, bien que l’OMS l’associe à une multitude de troubles cardiovasculaires et respiratoires. Daimler s’est « distancié expressément de l’étude et de l’EUGT », selon un porte-parole interrogé par l’AFP, tandis que BMW et Bosch ont démenti y avoir participé. Volkswagen a assuré qu’un « conseil scientifique indépendant » fixait les thèmes de recherche « très variés » de cet organisme, fondé en 2007 par les groupes allemands. Mais aucune de ces déclarations n’a suffi à éteindre la polémique.