Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Visé-infos - Page 1023

  • La Meuse d'aujourd'hui

    images.jpeg

    - Grèves et sabotages au TEC : ON EN A MARRE!!!

    - Delhaize : des dépôts secrets pour tromper les syndicats

    - Six grands chefs nous donnent leur recette du jour

    - Les nouveaux pauvres, des pensionnés, des jeunes, et même des travailleurs

    - Les déclarations choc des meurtriers d'Ihsane Jarfi

    - Des bus sabotés pour bloquer les non-grévistes

    - Croix-Rouge : des vandales éventrent des sacs d'habits

    - La Coopérative ardente, pour manger sain et local

    - Le mercenaire belge est en prison à Bangui

    - Plus de 100 personnes cherchent Béatrice

    - Météo : l'année 2014 sera la plus chaude. 

    Lien permanent Catégories : Divers
  • Le billet du C.A.L. Basse-Meuse

    image001.jpg

    Le billet du CAL Basse-Meuse

    La pauvreté

     

    Dans une émission de ‘Thalassa’ concernant les Pouilles et le sud de l’Italie, je viens de voir et entendre un Italien regretter que sa famille et d’autres avaient jadis été expulsés de leurs habitations troglodytiques : les sassi de Matera . Il disait : « Nous étions pauvres mais nous ne manquions de rien. »

    En réalité, ils n’avaient rien mais n’avaient besoin de rien, du moment qu’ils avaient assez à manger.  Chez nous, beaucoup d’enfants nés il y a plus de 60 ans n’avaient qu’un jouet, une poupée ou un nounours, ne possédaient que quelques vêtements et une ou deux paires de chaussures. Pour s’amuser, ils utilisaient leur imagination, ils avaient des copains et jouaient dans le jardin ou dans la rue. Si certains avaient des cours après l’école, c’était des cours de musique ou de danse, ou ils allaient jouer football.

    Maintenant avec le « progrès »,  il est nécessaire d’avoir tout : voiture, ordinateur, Smartphone, une garde-robe pleine à craquer de vêtements qu’on ne met pas, on a des tas d’activités extrascolaires, et les enfants pauvres qui n’ont pas la même chose se sentent exclus. Leurs parents sont tellement endettés par des loyers exorbitants, par des frais fixes que, quand ils ont payé leurs factures, ils n’ont plus de quoi s’acheter l’essentiel, c’est-à-dire la nourriture. Il y a de quoi se poser sérieusement des questions sur l’évolution de notre société ! 

    En cette période festive qui rime pour beaucoup d’entre nous avec dépenses et gaspillage, gardons quelques euros pour les organisations qui rassemblent des fonds pour les enfants pauvres !

    C.Dethioux, vice-présidente de Culture et Action Laïque de la Basse-Meuse

     

  • Un chauffeur du TEC-Liège: "Les syndicats sont venus mettre des bus en travers du dépôt et nous empêchent de travailler"

     

    953925352_B974134849Z.1_20141125100614_000_GP73H7QED.1-0.jpg

    On place un bus en travers, on débranche sa batterie et on ferme la barrière

    Luc Gochel

    Alors qu’aucun bus ne circule ce matin sur le réseau du TEC Liège, un chauffeur d’un petit dépôt veut dénoncer comment cela se passe réellement. « On met tous les chauffeurs dans le même sac, dit-il. Mais nous, on voulait tous travailler ici. Mais les syndicats sont venus durant la nuit placer des bus en travers de l’entrée et on perdra aussi notre journée de travail. » 

     Suite à l’échec des négociations avec la direction, les trois syndicats du TEC-Liège ont décidé hier de bloquer tous les dépôts de bus de la région liégeoise. Si à Jemeppe, il était déjà en grève depuis vendredi soir, à Robermont, ils ont placé des piquets devant l’entrée et ont empêché, non seulement les chauffeurs, mais aussi les employés de rentrer dans le bâtiment.

    Quant aux autres dépôts comme ceux de Rocourt, Omal, Oreye…, un chauffeur nous explique comment cela s’est réellement passé. « Quand je suis arrivé au dépôt pour prendre mon bus, j’ai découvert un bus mis en travers de l’entrée, empêchant tout véhicule de sortir, explique-t-il. Des syndicalistes étaient venus à minuit et demie et avaient débranché la batterie. »

    L’homme a demandé à son chef ce qu’il devait faire et celui-ci lui a conseillé de ne rien faire, de peur de bagarres ou de représailles sur le matériel. «  Mes collègues et moi, on a donc dû se déclarer en grève alors qu’on voulait vraiment travailler. Le public nous prend tous pour des glandeurs mais ce n’est pas le cas. La vérité, c’est qu’il y a une énorme pression syndicale pour nous empêcher de travailler. »

    Lien permanent Catégories : Société
  • Quoi de neuf ce matin?

    images.jpeg

    - Thomas, 17 ans, se jette sous un train comme son ami Robin

    - Béatrice, 14 ans, disparue depuis vendredi

    - + 25% de Belges aux Restos du coeur

    - Vermaelen encore blessé. Le Barça sent l'arnaque

    - Astérix : potion magique pour la Wallonie

    - Assises de Liège : Ihsane assassiné par 4 psychopathes

    - Pas de bus du tout ce mardi au TEC Liège

    - Sécurité : 4500 poteaux menaçants le long de nos autoroutes

    - Ans : Pascal incendie sa propre maison. L'homme de 41 ans ne voulait pas laisser de patrimoine à ses enfants

    - Le restaurant de l'Héliport gagne une * au Michelin

    -Des économies pas chères : Bassenge, Visé et Oupeye vont pouvoir rénover leurs bâtiments

    - Hauts fourneaux : les syndicats veulent la fin de la mise sous cocon

    - Etc, etc... 

    Lien permanent Catégories : Divers
  • Richelle : les deux concerts d'automne se sont déroulé à "église fermée"

     

    DSC_0041.jpg 

    André Borbé, le chanteur-compositeur pour les jeunes 

    Voilà déjà 19 ans que l'association "Les Rendez-vous de Richelle" organise un concert d'automne en l'église paroissiale. Cette année, cette association locale a fait appel à André Borbé, le chanteur pour enfants. C'est ainsi qu'a germé l'idée de faire participer des enfants des deux écoles (libre et communal) à cette fête, en créant de toute pièces quatre chansons. Ils en sont même arrivés à enregistrer un CD !

    Nous avons rencontré André Borbé, lors de la "générale". Il nous explique sa démarche. "Vu le nombre d'élèves de ces deux écoles de village, il était impossible de les faire participer tous. Le choix s'est  porté sur les classes de 3ème et de 4 ème. Cinq ateliers ont été organisés par classe : le premier jour chaque enfant devait se présenter par une courte phrase dont le dernier mot rimait avec son prénom. Ensuite, chacun devait proposer trois mots auquels il tenait particulièrement. Avec ces mots, par classe, nous avons écrit le texte d'une chanson. La mélodie est ensuite apparue, j'ai proposé une ligne musicale directrice, et les jeunes Richellois ont eux-même modifié et créé  la mélodie. J'y ai ensuite ajouté la partie instrumentale. En bout de course, chacune des quatre classe a composé une chanson".

    DSC_0019.JPG 

    Les 3èmes de l'école communale

    André Borbé présentait son récital en première partie du concert, les enfants venaient ensuite sur scène. "Ce qui m'a le plus marqué, ajoute le chanteur, c'est l'excellente ambiance qui a régné tant parmi les enfants que parmi les adultes, bien qu'ils soient issus de réseaux parfois antagonistes."

    DSC_0024.JPG

    Les 3èmes de l'école libre 

    Thierry Gaton, le président des "Rendez-vous de Richelle" complète : "C'est la seconde manifestation en commun que nous initions, en janvier nous avions déjà monté une exposition relative à la guerre 1914-1918. Le succès de ce travail réalisé en commun avait été tel que nous ne voulions pas en rester là".

    DSC_0031.JPG

    Les 4èmes de l'école communale

    Ainsi donc, un CD reprenant les quatre titres a été enregistré et est proposé à la vente pour la somme modique de 4 €. On y retrouve les titres "L'armure de Namur" (3éme communale),  "Le pont en bonbons" (4ème communale),  "Les abeilles" (3ème libre) et "Une histoire drôle" (4ème libre)

     

    DSC_0046.JPG

     

    Les 4èmes de l'école libre

    Pour plus de renseignements ou si vous désirez vous procurer ce très sympathique CD, vous pouvez contacter le O477/757.538 ou envoyer un mail à idalimier@gmail.com