- Médecin de garde : un seul numéro : 04/379.09.00. Pour leur sécurité, mes médecins de garde de                           la Basse Meuse sont en liaison avec les services de la Police.

- Dentistes de garde : former le 100 pour connaître la liste.

- Pharmacies de garde :

- Le samedi 11/02 dès 9 hr : Ph Henry, 46 rue du Collège à Visé Tel 04/379.15.22

                                          Ph Van Leeuw, 29 rue Haute à Eben-Emaël Tel 04/286.13.06

- Le dimanche 12/02 dès 9 hr: Ph Michel, 2 Place Molitor à Hermalle Tel 04/379.17.24

Les enquêteurs ont rapidement pu mettre un nom sur les restes humains découverts hier dans un talus du pont de Visé. Il 'agit de la dépouille de Monsieur Guillaume Gillard. Monsieur Gillard, 65 ans,  avait quitté à pieds son domicile de l'Allée des Alouettes le 30 octobre 2010 vers 10 hr. Malgré les signalements lancés et les recherches entreprises il n'avait jamais été retrouvé.   

Tous les renseignements, interviews de témoins, etc dans votre Meuse de demain.

Si vous devez faire le plein d'essence, n'hésitez pas à vous rendre à la pompe. En effet, à partir de demain un nouveau (triste) record sera battu. Suite à l'augmentation de 2 centimes, le prix maximum passera à 1,687€ le litre pour la 95 et à 1,707€ pour la 98. Le précédent record datait de mai 2011, où le prix de la 95 était monté à 1,682€.

De g. à d. : Louis-Marie Leroy, Peri, Ray, Stephane Kariger, Bernard Aussems, Thierry Martin   

25 ans d'illustration, de graphisme et de photographie. Tel est l'intitulé choisi par le couple d'artistes Visétois à l'occasion de leur première exposition.

Peri et Ray(monde) se sont rencontrés pendant leurs études d'histoire de l'Art. Ray est passionnée d'Art contemporain, tandis que Peri rêve d'affiches, de publicité. Ensemble ou séparément, ils créent, s'associent, se complètent.

Peri vous présente une série de portraits, tirés en noir et blanc (et de maîtresse façon), de personnages rencontrés en région liégeoise et en Basse-Meuse, des Polaroids, des croquis d'attitude selon modèles, des dessins réalisés en techniques diverses. Chacun est une expérimentation. 

Ray présente des oeuvres modernes, au graphisme épuré.

Vous pourrez également admirer deux albums illustrés pour enfants, des logos pour sociétés, des brochures éducatives, ainsi qu'environ 70 affiches réalisées par le couple, mêlant tout à la fois graphisme, photographie, dessin.

Parmi leurs principaux commanditaires figurent l'Université de Liège, le Palais des Congrès, l'Opéra Royal de Wallonie, le Musée Rops, FJT, Jazz in Time, l'Union des classes Moyennes, l'Office Régional de Promotion de l'Agriculture et l'Horticulture, Enjeu, Eraul, Jidé, FFC/FVB, etc.

Lors du vernissage, Je n'ai pu m'empêcher de me dire, en regardant telle ou telle affiche : "Mais je m'en souviens, je l'ai déjà vue celle-là !"

Bien peu d'entre nous, je crois, savaient que notre commune abritait cet atelier de créations artistiques.

L'exposition est accessible tous les jours de 14h à 18h, samedi et dimanche compris, jusqu'au 19 février. L'entrée est gratuite. Certaines oeuvres sont proposées à la vente.

Nos deux artistes vous proposent de leur rendre visite sur leur site webb : www.peri-ray.be

Le squelette était dissimulé sous la végétation, dans le petit espace libre au centre de la photo.

En fin d'après-midi, une équipe de six hommes du service des "Plantations" de la ville de Visé était occupée à élaguer et raser les buissons qui croissent dans le talus de la rampe du pont, menant vers la rue Basse Hermalle lorsqu'ils ont fait une découverte macabre. Serge Teheux, le chef du service explique : "Je n'accompagnais pas mes hommes, j'assistais à une réunion lorsqu'ils m'ont téléphoné. En recoupant les arbustes, un d'eux avait aperçu quelque chose de bizarre, sur le sol, en dessous de la végétation. En regardant de plus près, ils se sont aperçus qu'il s'agissait d'un cadavre. D'un squelette, même, qui portait des vêtements d'homme. Ils ont immédiatement cessé le travail, laissant tout en l'état et averti la police".

La police de la zone basse-Meuse est directement desendue sur les lieux. L'intevention du D.V.I. a été sollicitée, et les restes humains ont été amenés à l'Institut de médecine légale de Dos-Fanchon à Liège.

A l'heure actuelle, il est impossible de déterminer non seulement l'identité, mais aussi les causes du décès et la durée du séjour du corps de la victime a cet endroit.

Il y a plusieurs années que les arbustes n'avaient plus été retaillés.