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Visé-infos - Page 404

  • Ce dimanche, visite guidée de la réserve naturelle de la Montagne Saint-Pierre

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    Réserve Naturelle de la Montagne Saint-Pierre- Visite guidée

    Le Service Environnement de la Ville de Visé et l’asbl NATAGORA organisent le dimanche 30 juin 2019 à 13h30 une visite guidée de la réserve naturelle de la Montagne Saint-Pierre. Le prix est de 3€ par adulte, gratuit pour les membres Natagora.

     

    Lieu de rendez-vous : Maison de la Montagne Saint-Pierre - Place du Roi Albert à 4600 Lanaye

     

    L’inscription préalable auprès de l’Echevinat du Développement durable est obligatoire, clôture des inscriptions le vendredi 28 juin 2019 à 16h.

     

    Tél. :04/3748493 – Les jours ouvrables de 9h00 à 12h30 et de 14h00 à 16h00.

     

    Le Service Environnement

  • Visé : Âgé de 34 ans et diagnostiqué comme schizophrène,  il était porté disparu depuis le 18 juin 2018 

     
    Pour les proches de Patrick Rinder, ce Visétois de 34 ans disparu depuis juin 2018, c’est la délivrance ! L’homme, schizophrène depuis de nombreuses années, a été retrouvé en Espagne. En bonne santé, il a pu regagner la Belgique.  
    En Basse-Meuse, Patrick Rinder est bien connu de la population. Croatia Wandre, Hermée, Vivegnis, l’homme a écumé les clubs de football de la région avec un succès non-négligeable. Attaquant, il a fait les beaux jours de plusieurs matricules en première et deuxième provinciales, envoyant avec panache de nombreux ballons dans les filets adverses.
    Côté face, Patrick souffrait également d’une vilaine maladie. Diagnostiqué comme schizophrène il y a de nombreuses années, il vivait avec son papa. Et en juin 2018, c’est avec le véhicule de ce dernier qu’il a pris la route vers l’Espagne. Sans dire un mot à personne. Depuis le 18 juin de l’année dernière, il n’avait donc plus donné signe de vie à ses proches. Des proches qui étaient, on peut le comprendre, morts d’inquiétude.
    Le véhicule avec lequel le trentenaire visétois avait taillé la route, avait finalement été retrouvé à la frontière espagnole, près de Barcelone. Mal stationné, il avait été saisi par la police. Mais toujours aucune trace de Patrick… L’homme n’était ni en prison, ni dans un hôpital.
    Il ne répondait plus au téléphone et il n’y avait plus de mouvement sur sa carte bancaire.
    La famille voulait que le trentenaire soit retrouvé avant un drame, lui qui était parti sans son traitement. La police de la Basse-Meuse, en charge de l’enquête, cherchait véritablement une aiguille dans une botte de foin.
    En janvier dernier, la police fédérale avait d’ailleurs relayé l’information en diffusant un appel à témoins dans les médias. « Il est demandé à Patrick de se manifester afin de rassurer ses proches », disait le communiqué.
    L’homme a-t-il entendu les supplications de sa famille ? Récemment, les réseaux sociaux se sont emparés d’une bonne nouvelle : Patrick a été retrouvé en Espagne. Il est en bonne santé !
    En réalité, son retour parmi les siens date d’il y a plusieurs semaines. C’est le 24 avril dernier qu’on a retrouvé sa trace !
    En mai, la police fédérale retirait d’ailleurs l’information de son site internet, et indiquait qu’il avait été retrouvé en bonne santé.
    Mais l’information s’est répandue comme une traînée de poudre sur Facebook, seulement il y a quelques jours. De nombreux amis ont partagé la bonne nouvelle, saluant le retour de Patrick, et espérant bientôt le revoir en Basse-Meuse.
    La famille du trentenaire est évidemment ravie du dénouement.
    Patrick Rinder a pu regagner la Belgique, où il est désormais entouré par ses proches.

  • Le staff du Musée régional s'est étoffé

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    Le staff du musée régional d’archéologie et d’histoire de Visé, instrument patrimonial de l’asbl Société royale archéo-historique de Visé et de sa région s’est étoffé en mai de cette année avec l’aide de la Wallonie et de la ville de Visé.  Sur la photo, de gauche à droite, Marylène Zecchinon, de Lixhe, une des deux conservatrices du musée, son voisin David Dewaide de Berneau, stagiaire en secrétariat de l’Institut du Sacré-Cœur, Jean-Pierre Lensen de Visé, directeur (bénévole) du musée régional et secrétaire de la S.R.A.H.V., Cécile Lensen de Richelle l’autre conservatrice, Astou Sylla de Dalhem secrétaire du musée et trésorière-adjointe de la S.R.A.H.V et le dernier engagé, Régis Beuken de Cheratte, animateur polyvalent. Le travail ne manque pas : les activités grand public, les documents pédagogiques, les publications, les expositions (l’enfance en octobre et les 75 ans de la fin de la guerre en avril-mai 2020), la rénovation du musée et des  réserves, la numérisation des collections, les réseaux sociaux (www.museedevise.be), de nombreux partenariats et de futures fouilles archéologiques. Rappelons que le musée est ouvert de 14 h. à 16 h. du mardi au vendredi, le samedi et le premier dimanche du mois de 14 h. à 17 h et sur rendez-vous pour d’autres moments.

    (Communiqué)

     

    Jean-Pierre Lensen, directeur du musée régional de Visé

    Contact  0495-496391

    Site internet : www.museedevise.be

    Siège social SRAHV : Rue de Berneau, 1 4600 VISE

     

    Lien permanent Catégories : Histoire
  • Un pas vers l'UNESCO pour les cramignons 

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    Reconnus comme chef d’œuvre du patrimoine oral et immatériel de la Fédération Wallonie-Bruxelles 

    Le défilé des couples, femmes en long et hommes en smoking, fait partie de la tradition.
    Depuis ce 12 juin, les cramignons sont reconnu en tant que chef d'oeuvre du patrimoine oral et immatériel de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Une très belle reconnaissance pour une tradition qui attire, chaque année, des centaines de couples et des milliers de spectateurs dans la Basse-Meuse. Avant, on l'espère, une reconnaissance de l'UNESCO.  
    Lire le texte complet dans nos éditions de ce jour
  • Troisième arrestation pour Sullivan, le pervers visétois

     
    Le mandat d'arrêt délivré à l'encontre de Sullivan, un Visétois de 23 ans, a été confirmé ce mardi par la chambre du conseil de Liège.
     
    La justice s'est déjà montrée bien clémente avec ce pervers caché sous des airs de gamin... C'est via Facebook que le jeune homme cherche, depuis l'âge de 18 ans, de jeunes proies faciles. Il avait commencé sous le pseudonyme de "Fanny Theys", en se faisant passer pour une recruteuse d'agence de mannequins à la recherche de nouveaux modèles photos.
    Ses proies étaient choisies parmi les filles qui semblaient aimer poser sur les réseaux sociaux et se faire complimenter. Il discutait avec elles via Messenger, testant leur seuil de naïveté puis il leur disait qu'elles étaient magnifiques, photogéniques. Heureuses d'être prêtes, croyaient-elles, à embrasser une grande carrière de mannequin, elles ne se méfiaient pas quand il leur demandait des photos de plus en plus dénudées.
    Jusqu'au jour où les photos devenaient trop sexys, avec les filles dans leur plus simple appareil et là le vrai visage de Sullivan tombait : il les faisait chanter, réclamant soit de l'argent, soit des vidéos à caractère franchement sexuel.
     
    Il avait été jusqu'à réclamer de vraies relations sexuelles à une de ses victimes, et cela l'avait perdu puisque c'est ainsi, en 2016, qu'il avait été identifié... Dans la maison familiale, les enquêteurs avaient retrouvé des centaines de photos de jeunes filles dénudées, classées par noms. Pour ces faits, le parquet avait sollicité une peine de cinq ans de prison en raison de la gravité des faits et du nombre de victimes. Le jeune homme avait écopé de 15 mois avec sursis en mars 2017 et il avait recouvré la liberté.
    Il n'avait pas tardé avant de récidiver : en février 2018, il a été arrêté pour avoir de nouveau extorqué argent et/ou images pornographiques auprès de jeunes victimes, parfois de moins de 16 ans.
     
    Il aurait réclamé de l'argent aux filles, jusqu'à plusieurs centaines d'euros à chacune, pour ne pas leur imposer l'humiliation de la publication de leurs photos dénudées. Il avait été placé en détention sous bracelet durant un mois, puis il avait été libéré en attendant son nouveau procès.
    Mais il n'a pas fallu attendre celui-ci pour qu'il recommence : entre ce mois de janvier et juin, il aurait encore extorqué de l'argent à bon nombre de jeunes victimes. On lui reproche aussi un fait de viol, durant l'été 2018, auprès d'une adolescente de 14 ans, encore contactée par le biais de Facebook, qu'il aurait embarquée dans sa voiture après lui avoir donné rendez-vous à Liège pour une prétendue séance de photos. Elle aurait été abusée dans un champ et il aurait tout filmé.
    A ce stade du dossier, Me Molders-Pierre, à la défense, n'a pas souhaité faire de commentaire. Il a seulement précisé n'avoir pas sollicité de remise en liberté.
    (Source : La Meuse)