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  • Au Sacré Coeur aussi, un nouveau bâtiment va être érigé

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    Le pouvoir organisateur du collège Saint-Hadelin gère également deux autres établissements secondaires visétois : l’institut du Sacré-Cœur et l’institut Saint-Joseph. Au total, ces trois établissements scolaires accueillent plus de 2.400 élèves.

    Et parmi ces trois écoles, une autre va elle aussi connaître des travaux d’agrandissement. Il s’agit de l’institut du Sacré-Cœur qui voit également sa population scolaire grandir chaque année avec, pour conséquence, un besoin criant de nouvelles classes. Raison pour laquelle une nouvelle aile va être construite. Celle-ci sera érigée à l’angle de l’avenue Albert 1 er et de la rue du Gollet, en face du bâtiment principal.

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    « Nous avons là un terrain qui accueille une cour d’une de nos annexes et partiellement un parking. On va y construire un bâtiment qui s’élèvera aussi sur 4 niveaux. Il y aura un parking sur deux niveaux, avec une zone de dépose minute et puis, deux niveaux de classes et de laboratoires de sciences à destination des élèves de technique de transition. Une partie de la cour sera maintenue. C’est vrai que les élèves seront amenés à traverser la rue pour se rendre d’un bâtiment à l’autre, mais c’est le seul terrain dont nous disposions encore. » Les travaux devraient démarrer fin 2021 ou début 2022 pour s’achever un an plus tard.(Texte A. Drion - Photos P. Neufcour)

  • Le collège Saint-Hadelin va s'agrandir

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    Ecole réputée en Basse-Meuse, le collège Saint-Hadelin à Visé va s’agrandir. Une nouvelle aile va être construite dès la fin de cette année pour accueillir un nouveau hall, des salles de classe et de labo. De quoi pouvoir accueillir 200 élèves supplémentaires dans des conditions optimales.  

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    Fondé en 1881, le collège Saint-Hadelin jouit d’une excellente réputation en Basse-Meuse. Implanté en plein centre de Visé, 1.150 élèves fréquentent cet établissement secondaire. Et la prochaine rentrée s’annonce une fois de plus très bonne puisqu’on frôlera les 10 % d’augmentation. Mais ce succès engendre aussi quelques problèmes logistiques.
    Si une petite extension a été réalisée voici une dizaine d’années, pour accueillir les primaires et une partie des premières secondaires, le collège Saint-Hadelin n’a plus connu de projet d’agrandissement d’envergure depuis plus de 60 ans. Ce qui, aujourd’hui, se fait ressentir puisque le collège manque de plus en plus de place.

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    « On est vraiment très juste au niveau place et l’an prochain, on va devoir se serrer », confirme Michel Grosjean, directeur adjoint du collège. Mais fort heureusement, cette situation ne devrait plus durer très longtemps. Les travaux de construction d’une nouvelle aile devraient démarrer à la fin de cette année. « À l’arrière de la cour, nous avons un terrain vague qui a accueilli une piscine à ciel ouvert, remblayée au début des années 80. C’est à cet endroit que nous allons construire cette nouvelle aile. Celle-ci comportera quatre niveaux. En sous-sol par rapport à la cour et sur deux niveaux, il y aura le nouvel hall omnisports qui accueillera une salle pour les sports de ballon ainsi que des vestiaires et des douches. Au rez-de-chaussée, il y aura cinq nouvelles classes et à l’étage, on va aménager quatre nouveaux laboratoires ainsi qu’un local pour les préparations. Ceux-ci remplaceront ainsi nos anciens labos qui étaient dépassés. »
     
    Ces anciens laboratoires, au nombre de six et complétés par deux locaux de préparation, seront réaménagés. Certains accueilleront des classes pour les professeurs de sciences et d’autres des locaux informatiques. « Ce qui va nous permettre de regrouper tous nos locaux informatiques jusqu’ici éparpillés dans le bâtiment central. »
     
    Cette nouvelle aile sera également au top en matière d’économie d’énergie, avec notamment des façades en panneaux photovoltaïques. Et en plus du bâtiment, les extérieurs seront également aménagés afin d’ouvrir la cour sur cet espace et ainsi offrir de la verdure aux élèves. Cette nouvelle aile est estimée à un peu plus de trois millions d’euros, en partie subsidiés par la Fédération Wallonie-Bruxelles. Elle permettra d’accueillir 200 nouveaux élèves et d’offrir à tout un chacun un espace d’étude et de travail optimal.
    Michel Grosjean espère que les travaux pourront démarrer à la fin de cette année pour s’achever au début de l’année 2022. (Texte Aurélie Drion - Photos P. Neufcour)
  • La Maison du tourisme du Pays de Herve vous propose une balade à Soumagne - Ligne TGV

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    Dimanche 26 juillet 2020 à 9h30 : Ligne TGV, entre abeilles, légumes et fruits 

    Chaque dernier dimanche du mois de cette année 2020, la Maison du Tourisme du Pays de Herve vous propose une promenade guidée en pleine nature. Ces balades sont encadrées par un guide chevronné et ce dimanche c’est Didier Brick qui vous accompagnera pour un tour de 3 km pour une plongée dans l’univers naturel du terril.

    Que vous soyez promeneurs, observateurs débutants ou aguerris, venez découvrir la biodiversité dans les campagnes de Soumagne.

    Rendez-vous le dimanche 26 juillet 2020 sur le parking du Domaine provincial de Wégimont (entrée du château, Chaussée de Wégimont, 76 à 4630 Soumagne), quelques minutes avant le départ prévu à 9h30.

    Programme complet des promenades guidées en pleine nature sur https://www.paysdeherve.be/balades-guidees-mtph

    Remarque : INSCRIPTION RECOMMANDÉE AU 087/69.31.70 – maximum 50 pers.
    Les balades ne sont pas accessibles aux poussettes ni PMR. Les chiens tenus en laisse sont autorisés. S'équiper selon la météo (vêtements et chaussures ou bottes).

  • SORTIR DE LA GUERRE DE LA PAIX DES ARMES A LA RECONSTRUCTION (1918-…) OU VISE SE RECONSTRUIT.

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    Une journée d’étude a été organisée le 28 septembre 2018 au musée de la Vie Wallonne à Liège, en présence d’une cinquantaine de spectateurs.

    Le recueil des contributions vient de sortir de presse aux éditions de la Province de Liège.

    Quelles traces la Grande Guerre a-t-elle laissées au sein des différentes collections conservées au musée de la Vie Wallonne, qui fut fondé en 1913 et se tenait alors au musée Curtius (par Fabrice Meurant-Pailhe).

    Paul Delforge de l’Institut Destrée s’interroge si la Belgique fédérale ne serait pas née à Berlin car les occupants voulurent imposer la séparation entre Flandre et Wallonie. Mais sa réponse est plutôt négative car l’idée fédérale était même bien antérieure !

    Catherine Lanneau de l’Université de Liège va brillamment expliquer les enjeux politiques et sociaux de l’immédiat après -guerre : il y eut surtout les élections au suffrage universel (pour les hommes) et de nouvelles mesures sociales. Mais il y eut aussi la question flamande diversement résolue.

    La survivance de la culture de guerre à l’université de Liège fut expliquée par la maître en histoire de l’université de Liège, Virginie Royen. L’université de Liège préféra s’associer avec l’intelligentsia française qu’allemande ou s’opposer à la flamandisation de l’université de Gand. L’université se rappelait des déportations de ses étudiants en Allemagne et aussi de l’incendie du 20 août 1914.

    La conférence diplomatique de Spa était-elle une véritable négociation ? se demande Luc Peeters. Il faut savoir que des conférences de la Paix se déroulèrent du 18 janvier 1919 à Paris jusqu’au 10 août 1920 et le moment le plus connu fut le traité de Versailles parachevé le 20 juin 1919. Mais à Spa, du 5 au 16 juillet 1920 se tinrent 12 journées plénières réunissant Belges, Français et Anglais mais aussi d’autres pays moins impactés pour les Alliés face aux Allemands (de la République de Weimar) .

    Jean-Pierre Lensen, conservateur honoraire du musée de Visé aborda quant à lui les principaux jalons de la reconstruction patrimoniale de la ville de Visé, tant que l’évolution des travaux de 1919 à 1924 que les organismes (dont l’ORD) et les moyens qui permirent aussi à la capitale de la Basse-Meuse et des villages voisins comme Barchon, Berneau, Haccourt, Hermée, Heure-le-Romain, Vivegnis et Warsage d’être reconstruits en quelques années.

    Ces actes de cette journée d’études riches de 96 pages et de 27 illustrations peuvent être acquis au prix de 8 €, disponibles notamment au musée de Visé (disponible dès le 10 juillet au musée de Visé ou par paiement au compte de la SRAHV BE77 3400 27587242 – 10 € en comptant les frais de port)

    (Communiqué)

  • Nouveau : à partir du 1er septembre 2020 abonnements d'emplacement pour le parking Albert 1er disponibles

    fullsizeoutput_16a1c.jpegÀ partir du 1er septembre 2020, un maximum de 30 places de stationnement pourront être louées dans le parking Albert 1er par forfaits mensuels selon les montants suivants :
    • 100 € par mois pour un stationnement 24h
    • 60 € par mois pour un stationnement de 8h à 19h
    • 50 € par mois pour un stationnement de 19h à 8h

    Les abonnements sont mensuels. Il pourra y être mis fin à tout moment pour les mois suivants sans aucune indemnité, moyennant un préavis de trois mois.

    Chaque abonné sera redevable d’un montant de 30€ pour les frais d’installation comprenant la fourniture et l’apposition par la Ville de sa plaque numéralogique sur son emplacement.