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© Benoit HucTarin des aulnes (femelle). (Voir en grand)C'est le bon moment pour observer cet oiseau en Belgique et en France car c'est essentiellement en tant qu'hivernant que nous avons l'occasion de le croiser chez nous. Il faut tenter de repérer les bandes de tarins dans les arbres (aulnes, bouleaux, mélèzes) dont les tarins consomment les graines. Celles des chardons les intéressent aussi de même que celles de nos mangeoires. (La suite dans mon livre "Accueillir les Oiseaux au Jardin")
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Les échanges, moteur vivant de la recherche du patrimoine pour une société d'histoire
Depuis le renouveau de la société d’histoire de Visé en 1981, ses responsables n’ont eu de cesse de développer leur contact en région francophone, en Belgique, si pas à l’étranger. A défaut d’échanger nos publications et nos recherches, nous pouvons aussi nous abonner à leur revue ou participer à leurs activités.
En 2020, nous comptons une cinquantaine d’échanges. Les sociétés voisines ont tout notre intérêt : les amis du musée herstalien, le musée de Berneau, le cercle de Herve ou de Fléron, l’institut archéologique liégeois ou le Vieux-Liège mais aussi le musée d’Armes, le musée de la Vie Wallonne, le musée de la Boverie, la Cité Miroir ou encore les archives de l’état de Liège (avec l’asbl CELIDA) ou le Trésor de la Cathédrale de Liège. En Haute-Meuse, nos contacts se sont tournées vers La mémoire de Neupré ou encore au niveau archéologique, les Chercheurs de la Wallonie avec le Préhistomuséum de Ramioul ou le cercle hutois des Sciences et des Beaux-Arts. Dans l’arrondissement de Verviers, ce sont deux sociétés qui nous sont en échange : les Archives verviétoises et la société d’histoire (en relation avec les musées verviétois) ou encore les musées de Spa ou l’asbl Temps jadis. D’autres associations de sauvegarde du patrimoine et de l’environnement nous intéressent : le Terroir (l’ASREPH) et Qualité Village Wallonie. Nous sommes engagés dans des associations généralistes comme Patrimoine Industriel Wallonie Bruxelles avec plusieurs musées y attachés comme Blegny-Mines (et le CLADIC), La fonderie de Molenbeek ou encore Bois-du-Luc. Nous sommes membres de la Fédération des Archéologues de Wallonie dont plusieurs musées locaux sont membres, comme le musée d’Eben ou le Cercle Hesbaye-Condroz. Nous sommes aussi abonnés à la société d’anthropologie et de préhistoire de Belgique, dont le siège est à l’institut royal des Sciences Naturelles de Belgique de Bruxelles.
Dans le domaine de l’histoire contemporaine, nos relations sont étroites avec la Maison du Souvenir d’Oupeye ou au niveau fédéral, avec le C.E.G.E.S. (centre d’études guerre et Société). Etant centre labellisé (pour la cellule Démocratie ou Barbarie de la Fédération Wallonie-Bruxelles), nous sommes en contact avec les Territoires de la Mémoire de Liège ou le musée de l’Armée de Buxelles. Dans le domaine muséal, nous avons été il y a plus de 22 ans, dans les fondateurs de Musée et Société en Wallonie, qui promotionne les musées en Wallonie. Nous sommes partie prenante de deux commissions : ARCHEOPASS réunissant les musées d’archéologie et HOMUSEE regroupant les musées d’ethnologie. Un contact qui ne pourra que s’élargir sera celui avec le musée gallo-romain de Tongres ; notre dernier contact fut tissé avec la société d’histoire de Kanne (Riemst). Des sociétés savantes (dénomination ancienne des sociétés d’histoire), nous faisons partie des Bibliophiles liégeois.
Nos contacts ne s’arrêtent pas à la région liégeoise : du côté de Namur, la société archéologique de Namur ou encore le musée de préhistoire du Malgré Tout de Treignes ou le Guetteur wallon. En province de Luxembourg, le musée en Piconrue de Bastogne, l’institut archéologique du Luxembourg d’Arlon, le Fourneau St-Michel, la société d’histoire de Durbuy (avec le site mégalithique de Wéris), la société de Marche-en-Famenne ou le Musée gaumais de Virton. En Brabant Wallon, le musée de Louvain-la-Neuve ou musée L, la revue d’histoire du Brabant Wallon ou l’association des sociétés d’histoire de cette province. Dans le Hainaut, les musées du carnaval de Binche, des Beaux-Arts de Charleroi , le centre de la Gravure de La Louvière, le musée royal de Mariemont ou encore le musée de la Photo de Charleroi. Quant à Bruxelles, les contacts de revue avec la fondation Marinus de Woluwe ou la Bibliothèque Royale. Nous sommes aussi en rapport avec nos voisins néerlandais : Uit Eijsdens Verleden, Maasgouw, Archéologie in Limburg ou encore l’association des arquebusiers des deux Limbourg. Nous pourrions en rajouter avec des contacts ponctuels comme ceux tissés pour le centenaire de la première guerre mondiale avec les 6 autres villes martyres belges et Eijsden…….
J.P.Lensen
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La mouette rit jaune
© Benoit Huc
Quand la Mouette rieuse rit jaune (ou plutôt orange), c'est qu'elle n'est pas encore au stade adulte... Contrairement aux adultes qui ont les pattes et la base du bec bien rouges (voir ma photo du 24 janvier) , les rieuses qui vivent leur premier hiver ont les pattes et la base du bec orange. Voir en grand.
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Les publications, témoignages des recherches sur notre présent et notre passé
Il y a cent ans, en 1921 les notables qui lancèrent une société d’histoire à Visé, en plus de quelques conférences et sorties ont édité un bulletin dont le premier numéro date de 1923. Huit numéros reprenant principalement les résumés des activités furent publiés dans l’entre-deux-guerres. Un 9e sortit dans les années 50 et le 10e clôturant toutes les activités de la Société jusqu’en 1965 paracheva le tout.
Au nouveau départ de l’association en 1982, et en fonction de la trésorerie de départ (1250 €), les publications repartirent à un rythme lent, suivant le nombre de membres (120 la première année et 20 ans plus tard, plus de 600 membres de toute la Belgique firent confiance à l’association). De ce trimestriel « les Notices visétoises » en format A5 passa en format 17X25 cm pour arriver en 2010 au format A4 avec un changement de noms en 2010 : Nouvelles Notices visétoises (le prochain numéro de mars portera le numéro 157).
Notre historien, John Knaepen, professeur d’histoire de l’Athénée royal de Visé, en retraite en 1981 lança dans cette revue, l’histoire des Rues de Visé jusqu’à la fin du 18es , tant du centre que des deux faubourgs, Souvré et Devant-le-Pont. L’asbl l’honora pour ses 80 ans car John souhaitait publier une adaptation de ces 16 revues pour rappeler les changements survenus jusqu’en 1940. Ce fut « Visé en avant » où le lecteur put découvrir aussi sa longue carrière éditoriale dans d’autres revues liégeoises.
Précédés chaque fois de conférences, l’historien continua sur sa lancée : ce fut successivement l’histoire de la Justice d’ancien régime avec au départ celle qui fit connaître Visé dans toute l’Europe, l’affaire Sartorius ou un crime odieux sur une jeune femme enceinte (1771-1779). En parallèle, l’historien s’attaqua à l’histoire d’un des trois bons métiers de Visé : les naiveurs. En plus des cherwiers (agriculteurs) et des vignerons, il y eut celui des naiveurs, commerçants par bateaux qui naviguaient sur la Meuse depuis sa source jusqu’aux Pays-Bas (dont Dordrecht). Après ces deux séries, John put publier les anciens métiers puis la toponymie visétoise (inachevé). L’historien nous quitta en 2012. Qu’il soit remercié pour tous ces travaux inédits.
En dehors de ces revues offertes aux membres, il y eut aussi une dizaine d’ouvrages lancés par souscription sur des sujets bien déterminés : l’archéologie, les croix et les potales, la révolution de 1789, les deux guerres mondiales, l’histoire du commerce et les enseignes, les blasons, la reconstruction après 1918, les voies de communication……
Dès 1989, grâce à l’association francophone des musées de Belgique, nous avons publie le premier numéro des Rendez-Vous de l’Histoire puis dans l’esprit de vulgariser le patrimoine, d’autres ont suivi avec la complicité de la ville de Visé ou aidé par la Province de Liège et d’autres sponsors. Fruit de nombreuses collaborations, sous l’égide de J.P.Lensen, ces livrets ont traité des quartiers du Grand Visé, des écoles, de certains peintres ou personnalités de chez nous (Marcelle Martin, Berthe Bovy…) mais aussi de la mémoire des deux guerres, du 18e s, de l’époque de 1830. La sortie du dernier numéro est prévue dans les prochaines semaines, sur le patrimoine mémoriel du cimetière de Lorette.
Mais d’autres sujets méritaient la publication. C’est ainsi que soucieux de faire connaître d’anciens livres épuises ou des travaux inédits furent lancés les Repros de l’Histoire. L’histoire de la paroisse de Visé de l’abbé Jean Ceyssens (déjà épuisé) fut le 1er numéro d’une série qui sortira son 13e numéro avec l’odyssée de M.Rion, prisonnier durant la 2e guerre. Dans les n°s précédents, on se pencha sur Argenteau, Lixhe, Navagne, la première guerre mondiale, le chapitre de saint Hadelin, la période médiévale.
Une 5e collection fut lancée par après : les cahiers de la Généalogie ; Les époux Schyns-Lacroix développèrent la plupart de ces cahiers : un ancêtre commun (du 18e généralement) et ses descendants jusqu’à nos jours. Un n° particulier mis en page par Melle Zecchinon reprend le détail de plus de 3000 cartes funéraires. Au total 13 cahiers.
Enfin les expositions, les journées du patrimoine et certaines animations donnent lieu à de petits livrets toujours intéressants sur tous les patrimoines abordés. Bref 200 ouvrages dont vous pouvez consulter la liste sur le site internet www.museedevise.be et presque tous sont toujours disponibles et à des prix défiant toute concurrence. (Communiqué)
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L'oiseau du jour par mon copain Benoit
Harle bièvre mâle (La femelle a la tête brune et moins sombre)Commentaire uniquement pour les photographes cette fois... Avec sa tête très noire et son corps très blanc, ce n'est pas un oiseau facile à photographier correctement. Une lumière frisante mais pas trop dure aide à faire ressortir le détail dans le noir (mais on ne peut pas toujours placer le soleil et les nuages là où on les voudrait <img src="https://static.xx.fbcdn.net/images/emoji.php/v9/teb/2/16/1f642.png" alt="