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Environnement - Page 31

  • Visé : portraits de libellules

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                                                                                                    © P. Neufcour

    Du 1er au 15 octobre 2017 au Musée de la Montagne Saint Pierre, Place du Roi Albert à 4600 Lanaye (Visé)

    Eddy et François REMY nous plongent dans le monde coloré et fascinant des Libellules à travers leurs photographies.

    Ouverture : le week-end (samedi et dimanche) de 14h à 18 h et les autres jours sur demande

  • Cheratte : étape importante pour la reconversion de l'ancien charbonnage

    Au mois d'avril, la SPI était présente à Cannes, au MIPIM (Marché International des professionnels de l'immobilier). De nombreux promoteurs ont manifesté leur intérêt. En octobre, ce sera à Munich, dans un autre salon de l'immobilier, que la SPI poursuivra sa prospection.

    Environ 6 hectares sont à revaloriser : deux sur le site même de l'ancien charbonnage qui devraient être affectés au développement économique et quatre, en face, affectés au logement. Cette dernière surface appartenant à la Ville de Visé.

     

  • Balsamines de l’Himalaya : bilan de 3 semaines de gestion

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    Depuis 2012, le Contrat de Rivière Meuse Aval et affluents coordonne les chantiers de gestion de la balsamine de l’Himalaya sur l’ensemble du bassin hydrographique dont la Berwinne et le Geer.

    Pour rappel, les balsamines de l’Himalaya sont des plantes annuelles très dynamiques qui produisent de petites graines, jusqu’à 800 graines par plante, bien adaptées à la dispersion par l’eau. Ornées de jolies fleurs roses, elles peuvent atteindre de 2,5 à 4 mètres de haut et forment des massifs denses qui étouffent la flore indigène. Leur système racinaire, peu développé, joue également un rôle dans la fragilisation des berges de nos cours d’eau.

    Depuis juillet 2017, cette plante a rejoint officiellement la liste des « Espèces Exotiques Envahissantes » ciblées par le règlement européen.  Cette plante ne peut donc plus être détenue, vendue ou échangée de manière volontaire et les états membres doivent mettre en place des plans de gestion pour éviter sa propagation.

    Le CRMA n’a pas attendu ce nouveau règlement pour mettre en place des chantiers de gestion.

    Cette année encore, 5 étudiants ont été engagés entre le 3 et le 20 juillet pour renforcer l’équipe de coordination sur le terrain.

    Bilan de ces gestions en quelques chiffres :

    • 1.455 heures de gestions au total
    • 370 heures de gestions par les coordinateurs du CRMA soit 74 heures par coordinateur
    • 8.000 € investis pour l’engagement des étudiants
    • 163 km de cours d’eau parcourus (soit 326 km de berge !)
    • 232 « Points Noirs » traités

    Des constats sur le terrain :

    • Cet été particulièrement, les gelées tardives du mois d’avril suivies de la sécheresse ont eu un impact important sur ces populations de balsamines. Il nous a fallu parfois deux fois moins de temps qu’en 2016 pour gérer certains sites originellement fortement envahis.
    • Au fil des années les populations gérées ont tendance à se réduire, ce qui veut dire que nos efforts ne sont pas vains et que ces chantiers de gestions sont efficaces.

    Et pour les autres « Espèces Exotiques Envahissantes » ?

    Dans le cadre de son Plan Communal de Développement Rural, la Commune de Braives a inscrit une fiche relative à l’inventaire et la gestion de de ces « EEE ».

    Deux conférences données par Thomas Genty du Parc Naturel et Edmée Lambert du CRMA ont été organisées en avril et juin pour sensibiliser les habitants et jardiniers en herbe.

    Durant cet été plusieurs balades à vélo sont organisées afin de réaliser un recensement participatif de ces espèces.

    Intéressés de découvrir ces plantes invasives ? N’hésitez pas à participer à l’une de ces balades !

    Contact:  

    Edmée LAMBERT

    Coordinatrice Principale du CRMA

    Place Faniel, 8 à 4520 Wanze

    085/71 26 55 – 0478/190 394

    www.meuseaval.be

  • Basse-Meuse : les volailles retrouvent la liberté

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    Au début de ce mois, un cas de grippe aviaire avait été détecté dans un élevage amateur de Bassenge. Des mesures sanitaires avaient dû être prises. Pour éviter la propagation, une zone tampon temporaire d’un rayon de 3 km (englobant en partie 4 communes : Bassenge, Oupeye, Visé et Riemst) avait été délimitée. Dans cette zone, les déplacements de volailles, autres oiseaux et œufs à couver étaient interdits. Mais un toutes-boîtes de l'AFSCA vient d'être distribué aux habitants concernés, informant que la zone tampon et les mesures sanitaires étaient levées.

  • Petits déchets? Utilisez les poubelles, elles ne mordent pas!

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    En cette période estivale pendant laquelle les autoroutes et routes nationales seront fréquentées par de très nombreux voyageurs, la SOFICO et Wallonie Plus Propre s’associent pour lancer une campagne de sensibilisation à la propreté publique sur le réseau routier, soutenue par Maxime PREVOT, Ministre wallon des Travaux publics et de la Sécurité routière, et par Carlo DI ANTONIO, Ministre wallon de l’Environnement.

    A l’heure des départs en vacances, la SOFICO et Wallonie Plus Propre souhaitent ainsi rappeler aux usagers le bon comportement à adopter pour maintenir propres le réseau routier et les aires de repos : tous les petits déchets générés lors d’un trajet doivent impérativement être conservés dans le véhicule et être jetés dans les poubelles prévues à cet effet sur les aires de repos ou lors de l’arrivée à destination.

    Sur la route, comme à la maison, il est essentiel d’avoir un comportement responsable et respectueux en utilisant les poubelles mises à disposition.

    Ce geste simple permettra non seulement de préserver l’environnement, mais également de diminuer les dépenses publiques : sur une année, 4.300 tonnes de déchets sont collectés et ramassés sur le réseau structurant pour un budget de plus de 6 millions d’€.

    Eviter de de se débarrasser de ses emballages de nourriture et de boissons n’importe où, c’est également veiller à la sécurité de tous, puisque ces déchets sont susceptibles de boucher des avaloirs et donc, d’augmenter le risque d’aquaplanage en cas de fortes pluies.

    Pour rappel, toute personne qui jetterait une canette, un mégot, ou tout autre déchet par la fenêtre de son véhicule s’expose à une sanction de 100 € (montant majoré depuis le 1er janvier 2016).

    Soulignons par ailleurs que l’apport de sacs poubelles contenant des déchets autres que ceux générés lors du trajet (exemple : déchets ménagers) dans ou à côté des poubelles d’une aire autoroutière, s’expose également à une sanction de minimum 150 €.

    La campagne sera visible pendant tout le mois de juillet sur les 300 panneaux qui bordent les a utoroutes et les principales nationales de Wallonie.