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Politique - Page 35

  • Le billet du Premier Echevin - Juillet 2015

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    Le mois de juin est un mois indiqué pour vous rendre compte des activités de l’échevinat du premier semestre  2015.

    Certains de nos dossiers ont connu une avancée significative.

     

    Charbonnage de Cheratte : le dossier technique relatif aux assainissements et aux démolitions a été approuvé par le Région wallonne.  L’ouverture des offres est prévue  le 6 juillet. Un début des travaux pourrait intervenir avant la fin de l’année.

    Projet de réaménagement de la place Reine Astrid : le conseil communal s’est prononcé à l’unanimité sur la proposition des auteurs de projet le 2 février.  Le dossier poursuit son cheminement auprès de la Région wallonne.

    Projet de parking public avenue Albert Ier : suite à recours, le permis unique de ce dossier de promotion publique-privée (appartements, commerces, parking dont 100 places publiques) a été confirmé et motivé par le Ministre Di Antonio en date du 27 mars. A l’issue de la procédure de recours, un planning précis pour démarrer les travaux sera élaboré.

    Projet de bassins d’orage du Roua : le Ministre de la ruralité Collin a confirmé en date du 1ier avril un subside de 243.000 €.  L’ouverture des offres est intervenue ce 25 juin.  Un début de travaux pourrait intervenir hiver 2015 - printemps 2016.

    75000 euros ont été investis dans l'entretien annuel des voiries, soit 14.500 m², rues des Marguerites, de la Halle, Martin Gritte, des cerisiers, des érables, des pommiers, de borre et avenue albert Ier

    Mobilité : le Ministre Di Antonio vient de confirmer un subside de 186.000 € pour réfectionner la rampe pavée du pont Roi Baudouin.  Les pavés historiques subsisteront en partie et les liaisons cyclables entre le ravel et le pont seront améliorées. Par ailleurs la rue du village à Lanaye connaîtra dès le mois de septembre une première zone de réfection de son pavement au caractère si villageois, à hauteur de 100.000 € sur fonds propres.

    Mobilité douce : une somme de 75.000 € est investie sur fonds propres également pour poursuivre la réfection des trottoirs de la cité Plein Air à Cheratte, dès le mois de septembre.

    Cimetières : suite à l’interdiction d’utilisation de produits phyto sur le domaine public, un test de végétalisation des allées de cimetière se concrétise sur le cimetière du hameau de Mons-Bombaye.

    Bâtiments communaux : avec l’aide partielle de subsides UREBA (utilisation rationnelle de l’énergie dans les bâtiments communaux), d’importants travaux sont en cours au centre culturel (aménagement d’une aile pour l’échevinat de la famille, châssis du cloître, entrée permanente vers celui-ci, réfection complète de la toiture en 3 phases).  Par ailleurs, la maison de transit à Lanaye (ancien presbytère) verra une rénovation complète de ses logements dès le mois de septembre avec un subside wallon de 120.000 €.

    Environnement - ruralité : notre participation à l’émission « Printemps Grandeur Nature » de la RTBF le 11 avril a été un succès et a renforcé la  notoriété de notre ville.   

    Le Service Environnement a été à la base de multiples initiatives :  une exposition « Castors, vie de rives, vie de rêve ? » au musée de la Montagne St Pierre, des visites didactiques de l’échelle à poissons ainsi que des animations sur le monde de la chauve-souris. Des subsides PCDN et Biodibap ont été mis à profit pour poser des abris à chiroptères et des hôtels à moineaux, pour construire un mur en pierres sèches,   semer une prairie fleurie et planter un mini-verger à Devant-Le-Pont.

    Une candidature supracommunale (Oupeye, Bassenge, Dalhem et Visé) a été rentrée avec l’aide de Basse Meuse Développement dans le cadre du projet européen Leader GAL en février.  Si nous sommes retenus, il s’agira de mettre en place des initiatives au profit des zones rurales et semi-rurales en réponse aux attentes citoyennes (promotion des circuits courts et des produits locaux, promotion touristique et promotion de la mobilité douce, amélioration du service de la centrale de mobilité de la basse meuse, …..).

     

    A chaque fois, il est impossible de dresser un relevé exhaustif.  Seuls les éléments les plus remarquables font l’objet d’une sélection par l’auteur de ce billet.

    Qu’il me soit permis pour terminer de remercier le personnel communal pour son implication et de souhaiter à tous et à chacun d’excellents mois d’été ensoleillés.

     

    Luc LEJEUNE,

    Premier Echevin,

    Conseiller Provincial.

     

    Lien permanent Catégories : Politique
  • Perturbations dans la distribution du courrier ces mercredi et jeudi

    3883-1-medium.jpegNous venons d'être averti que le centre de tri et de distribution du courrier sera en grève à partir de ce soir et jusqu'à demain soir. Grosses perturbations donc dans la distribution demain et après-demain, le courrier n'étant pas livré dans les divers bureaux de poste locaux.

  • Grève générale de ce mercredi 22 avril: voici tout ce qui sera à l'arrêt, région par région, secteur par secteur

     

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    On ne va pas se mentir: ce mercredi 22 avril, ce sera le gros bordel en Belgique. En cause: une grève générale qui va paralyser de nombreux secteurs. Voici le point, région par région. (Rédaction en ligne)

    DANS LA REGION DE MONS

    Il n’y aura pas de piquet aux axes routiers ou aux abords des ronds-points. Ça, c’est une certitude. Seul le rond-point du PASS à Frameries pourrait faire exception. Pour cette grève générale de ce mercredi, les automobilistes pourront donc en général se déplacer sans encombre, ou presque.

    Car des perturbations, il y en aura. La CGSP prévoit de bloquer et de paralyser tous les services publics, autrement dit les administrations communales, les CPAS, les hôtels de Ville, etc. Empêcher les employés d’accéder à leur bureau fait aussi partie du plan. Les gardiens de la prison de Mons sont aussi appelés à la grève.

    Les trains resteront en gare. Les bus resteront au dépôt. Les écoles aussi doivent s’attendre à des perturbations. La CGSP appelle ses affiliés à ne pas donner cours. Mais, la CSC ne suit pas le mouvement, donc il y a peu de perturbations attendues pour les établissements chrétiens.

    Concrètement, à l'athénée royal de Mons, seule une dizaine de professeurs se sont déclarés grévistes pour ce mercredi. La direction précise que les élèves seront pris en charge de toute façon, même si certains cours ne sont pas assurés. A l'athénée Bervoets, on explique que l'école va fonctionner normalement. Dans les écoles fondamentales communales, l'échevine de l'enseignement a fait passer un mot dans les journaux de classes des enfants. Elle explique que les cours seront perturbés, qu'il est difficile de prévoir l'ampleur du mouvement et qu'il faut donc s'informer auprès des directions. Reste qu'une garderie sera de toute façon assurée au besoin.

    La poste pâtira également de cette grève puisque le centre de tri de Charleroi sera complètement bloqué. En marge des actions, un cortège est prévu. Il partira à 10h30 de la chaussée du Rœulx, à Mons pour longer le Boulevard, remonter la rue de Nimy et atteindre la Grand-Place.

    Les manifestants se donnent rendez-vous devant l’hôtel de Ville, pour un rassemblement symbolique. Deux autres cortèges partiront de Frameries et de Quaregnon pour rejoindre Mons.

    DANS LA REGION DE LIEGE

    Les transports

    En raison de la participation d’une partie du personnel à la manifestation syndicale, le réseau du TEC Liège-Verviers sera totalement à l’arrêt durant toute la journée de ce mercredi. Mieux vaut prendre toutes ses dispositions pour se déplacer dans l’arrondissement.

    Au niveau des trains, les transports publics devraient être quasiment à l’arrêt ce mercredi. Quelques petites lignes de campagnes devraient être épargnées, mais aucun train ne devrait circuler vers Bruxelles.

    Les écoles

    Dans les écoles, on s’attend aussi à des perturbations, surtout dans l’officiel. Faute de transports en communs, les élèves absents devraient de toute façon être très nombreux. Si les enseignants sont absents, les écoles sont toutefois tenues d’organiser une garderie pour les enfants.

    Les établissements, eux, ne peuvent pas le savoir à l’avance. " On va voir demain les perturbations, car les enseignants ne veulent pas nous le dire, explique-t-on à l’Athénée Royal Air Pur, de Seraing.Dans tous les cas, il y aura une garderie pour les primaires et les secondaires. Par contre, tout le personnel de cantine est en grève et nous sommes aussi obligés de fermer l’internat. » Même chose du côté de Liège1 ou encore du Centre Scolaire St-Benoît St-Servais. « C’est le principe d’une grève, on ne peut pas prévoir à l’avance, mais il y aura une garderie pour les enfants. »

    Le Collège Saint-Barthélemy, à Liège, peut toutefois dire qu’il ne sera pas concerné pas la grève. Mais faute de transports en communs, les élèves absents devraient de toute façon être très nombreux…

    Les administrations

    Les administrations communales vont aussi être impactées durant cette journée de grève. À Seraing, les services seront tout bonnement fermés tandis qu’à Liège, seules 4 Mairies de Quartier seront ouvertes au public ce mercredi 22 avril. Il s’agit des Mairies d’Angleur, Guillemins, Grivegnée, et Thier-à-Liège. Les autres resteront fermées. Le service des Naissances, rue François Lefebvre 66 à Rocourt et le service des Décès à la Cité administrative seront également ouverts, pour autant que les locaux soient accessibles au personnel. La situation reviendra à la normale à partir du jeudi 23 avril, selon l’horaire habituel.

    Les policiers et les pompiers seront aussi en grève​, avec un arrêt du travail administratif​. Le service postal, enfin, sera lui aussi très touché​. ​Aucun courrier ne devrait être distribué ce mercredi.

    DANS LA REGION DE VERVIERS

    Transports

    Les TEC Liège-Verviers annoncent que le réseau sera totalement à l’arrêt pour les lignes de l’agglomération verviétoise. Par contre, chez les privés, il y a de fortes chances pour qu’une bonne partie des chauffeurs prennent la route. Chez Satracom (Waimes et Trois-Ponts), le patron, Pierre Denis, pense que les chauffeurs éviteront peut-être «  certains endroits plus difficiles  », en ville. Au dépôt de Stembert, il est possible qu’on assiste à un blocage du site. Certes, ici, le SLFP est majoritaire et le syndicat libéral n’a pas donné de mot d’ordre de grève. Cependant, souligne Philippe Forthomme, «  si certains de nos affiliés veulent se joindre au mouvement, nous les couvrirons. » De plus, deux bus parqués devant l’entrée du dépôt et tout le monde s’y retrouverait bloqué ipso facto.

    Dans les écoles

    Dans les écoles aussi, on s’attend à des perturbations. Surtout dans l’officiel. Olivier Bouillon (CGSP) explique qu’il faut s’attendre à ce que ses affiliés ne répondent pas présents. Il n’y a pas de front commun, mais des affiliés CSC pourraient se joindre au mouvement. Dans les écoles, il ne devrait pas y avoir d’interdiction de travailler, mais aux profs absents pour grève devraient s’ajouter des cohortes d’élèves qui ne viendront pas, faute de moyens de transports en commun. L’École polytechnique et l’IPES, dans le provincial, devraient être davantage touchés par le mouvement. Dans l’enseignement spécialisé, un certain nombre d’enseignants de l’école de la rue des Wallons seront absents. Idem au fondamental à Thil Lorrain. Le libre pourrait être aussi touché, ici et là. Marc Lincé (SETCA) explique que certains affiliés du SEL (Syndicat de l’Enseignement Libre), relativement bien implanté dans des établissements comme Saint-Michel à Verviers, pourraient aller manifester à Herve. Par contre, en Communauté germanophone, il ne faut pas s’attendre à un mouvement de grande ampleur.

    Dans les administrations

    Les administrations, notamment communales, devraient être diversement touchées. Pour Michel Bordignon, secrétaire régional intersectoriel CGSP Verviers, «  Verviers sera quasi à l’arrêt  ». Néanmoins, de source communale, on apprend qu’on laissera le personnel entrer et que le but n’est pas de fermer. Car, rappelle-t-on, nombreux sont les employés et ouvriers qui ne sont pas affiliés à la CGSP. Dison devrait aussi être impactée. Herve ne sera pas en reste. Une manif devrait s’y dérouler, à l’administration. Un piquet est annoncé tôt le matin. Ce qui n’est pas étranger au fait que Pierre-Yves Jeholet, le maïeur de la capitale du Plateau est aussi le président fédéral verviétois du MR.

    La Poste sera très touchée, d’autant qu’on annonce un front commun CGSP-CSC-SLFP, là-bas. Un piquet devrait empêcher l’entrée des véhicules au centre des Plenesses. Le personnel voulant travailler devrait pouvoir pénétrer dans les locaux, mais il est douteux qu’un facteur puisse sortir avec du courrier ou même des journaux : le tri sera perturbé partout. Vous voilà donc prévenus : votre journal, jeudi, ce sera sûrement chez le libraire qu’il faudra l’acheter. La plate-forme d’Amblève, qui dessert l’Eifel, Malmedy, Stavelot et Waimes, sera certainement moins touchée, explique Daniel Norga, secrétaire régional CGSP secteur poste à Verviers.

    Rayon hôpitaux, à Verviers, seul le CHPLT sera touché. Bernard Mercenier, délégué CGSP, estime que 20 % du personnel affilié à son syndicat devrait se croiser les bras. Mais le service aux patients sera assuré.

    DANS LA REGION DE CHARLEROI

    Mercredi rouge en perspective. La région carolorégienne devrait répondre massivement à l’appel à la grève des services publics lancé par la CGSP. Petit tour d’horizon…

    > Trains: dès ce mardi 22 heures et jusqu’au mercredi même heure, les cheminots se croiseront les bras. En clair, les trains n’entreront pas en gare. Des piquets occuperont les lieux. Voyageurs, vous voilà prévenus: sortez le plan B.

    > TEC-Charleroi: des piquets se posteront devant les quatre dépôts (Genson, Jumet, Nalinnes et Anderlues). Pas de barrage bloquant, mais des actions de sensibilisation invitant les agents à ne pas prendre le volant. Le réseau risque par conséquent de subir d’importantes perturbations.

    > Poste: là aussi, des piquets prendront position aux endroits stratégiques, le centre de tri de Fleurus par exemple, dès ce mardi 22 heures. La distribution du courrier risque donc de ne pas être assurée.

    > Administrations: l’hôtel de ville de Charleroi, mais aussi les administrations communales de Gilly, Mont-sur-Marchienne, Marcinelle «joueront» à guichets fermés…

    Des piquets interdiront aussi les accès du Forem et de l’Onem.

    > Ministères: les accès aux ministères de la Région wallonne, ainsi qu’à ceux des Finances seront barrés.

    Des répercussions se feront aussi sentir à la prison de Jamioulx.

    > Les écoles: là encore, la mobilisation s’annonce importante. Elle rejaillira avec plus ou moins d’effets sur le fonctionnement des écoles. Là encore, des piquets de grève seront organisés en différents endroits. Pour rappel, conformément aux dispositions légales, l’accueil des élèves sera assuré.

    > Police: ici aussi, on annonce une participation massive à la grève, qui s’inscrit d’ailleurs dans une semaine d’actions très diverses: grève du zèle, non-répression des petites infractions, manifestation…

    Enfin, la matinée sera aussi émaillée d’actions de sensibilisation. Des blocages momentanés de la circulation seront opérés par les militants de la CGSP, qui informeront les automobilistes.

    DANS LA REGION DU CENTRE

    Administration: des piquets sont prévus devant toutes les administrations communales. Les parcs à conteneurs seront fermés également. L'hygéa sera bloqué aussi, donc pas de ramassage des poubelles. La SWDE sera fermée et l'ONEM et le Forem devraient l'être aussi ou, au moins, fortement perturbés.

    Ecoles : Dans le public, il ne devrait pas y avoir de piquets mais... pas de profs non plus. Visiblement, la grève sera très bien suivie dans les écoles publiques et peu de cours devraient être donnés. Certaines, comme notamment à Morlanwelz, ont conseillé aux élèves de ne pas venir.

    Pour l'enseignement libre, par contre, les conséquences devraient être plus limitées car c'est le SETCa et non la CGSP qui est à la manoeuvre. Toutefois, certains profs pourraient tout de même se mettre en grève et seraient dès lors couverts. Mais donc, beaucoup moins de perturbations que dans le public.

    Trains et bus: rien ne devrait circuler!

    Blocage:

    Une manifestation est prévue dans le centre-ville de La Louvière à partir de la place communale à 10 heures. Normalement, il ne devrait pas y avoir d'autres routes bloquées, hormis, peut-être, le rond-point des Tchats à Chapelle-lez-Herlaimont.

    Hôpitaux: Tivoli et Jolimont dépendent aux aussi de la CSC et du SETCa. Comme dans l'enseignement libre, les conséquences devraient être plus limitées. Par contre, le CHR Haute-Senne sera entièrement bloqué pendant une demi-heure, au moment du changement d'équipe (6h30 - 7h) car la concertation sociale n'a pas pu aboutir à la mise en place d'un service minimum. Le mouvement, volontairement bref, n'aura cependant pas de conséquence sur les patients. Retrouvez plus d'informations dans notre journal du 22/04.

    A BRUXELLES

    - On attend d'importantes perturbations dans les bureaux de poste

    - On s'attend à une grève totale ou presque à la Stib

    - On s'attend à d'importantes perturbations à la SNCB aussi

    - A prévoir également : des perturbations dans les administrations communales. A Bruxelles-Ville par exemple, les guichets population/ état-civil ne seront pas fermés mais on s'attend à des perturbations, donc des files encore plus longues que d'habitude.

    - Dans les écoles : peu dans le réseau libre, qui compte peu d'affiliés à la CGSP. Plus dans l'enseignement communal. A Ixelles, la commune a demandé aux parents qui le peuvent de garder leur enfant chez eux le matin ou, en tout cas, de les reprendre demain midi et de ne pas les laisser à la garderie. Mais, de toute façon, les écoles seront ouvertes et les garderies et animations de l'après-midi seront assurées.

    Des cours seront notamment supprimés à l'ULB ce mercredi suite à la paralysie de la Stib.

    DANS LA PROVINCE DU LUXEMBOURG

    - Selon la CSC, il n'y aura pas de perturbations au niveau des pouvoirs locaux: les 44 communes et CPAS ainsi que l'institution provinciale devraient donc tourner normalement. Idem pour les intercommunales comme Vivalia (soins médicaux) ou Idelux. La CGSP, elle, affirme qu'il y aura aussi des grévistes dans les hôpitaux (comme à la police et chez les pompiers), mais qu'un service minimum sera évidemment assuré.

    - Une partie du personnel des prisons devrait se tourner les pouces. Des piquets de grève seront installés devant les prisons (Arlon, Marche, Saint-Hubert).

    - La CGSP prévoit un rassemblement place Didier à Arlon. Celui-ci partira des locaux de la CGSP à Arlon. Il s'agit de placer des barrages filtrants devant les différents bureaux du SPW situés place Didier.

    - Aucun bus du service public et aucun train ne circuleront.

    - Des perturbations auront aussi lieu dans les écoles, où certains enseignants seront en grève.

    - Selon Olivier Dulon, secrétaire régional CGSP, la réunion d'hier à Bruxelles était si catastrophique que de nouvelles actions sont d'ores et déjà prévues jusqu'au mois de juin.

     

  • LE PRÉSIDENT PROVINCIAL DU SYNDICAT NATIONAL DU PERSONNEL DE POLICE DEMANDE DES COMPTES: «250.000 EUROS À UN POLICIER, C’EST SCANDALEUX»

     

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                                                                      (Photo S.Kip)

    Dans notre édition de samedi, nous évoquions l’accord financier intervenu entre Philippe Lambert, candidat malheureux au poste de chef de corps de la police de la Basse-Meuse depuis… 2011 et la zone de police. Celle-ci, pour mettre fin à la série de recours intentés au Conseil d’Etat depuis près de 15 ans, vient en effet de décider de lui verser 250.000 euros d’indemnités. Ce qui met fin à la saga «chef de zone», mais ouvre la porte à une nouvelle polémique. Cet arrangement «à l’amiable» n’est en effet pas du goût de Fabrice Discry, le président provincial du syndicat policier SNPS, qui va demander des comptes aux responsables de la zone de police bassimosane.

    « C’est scandaleux à plus d’un titre, tonne-t-il.Quel signal donne-t-on à la population? S’asseoir sur un arrêt du Conseil d’Etat, c’est nier l’état de droit. Et ça pose aussi des questions sur la légitimité du chef de corps… »

    Pour rappel, le conseil de police de la Basse-Meuse refuse depuis 2001 de nommer le commissaire Philippe Lambert au poste de chef de zone. Le commissaire Jean-François Adam lui a été préféré dans un premier temps, avant d’être pensionné. Et c’est le commissaire Alain Lambert qui a pris sa succession à la tête de la zone. Mais jusqu’à présent, Philippe Lambert avait réussi à faire casser toutes ces nominations par le Conseil d’Etat.

    Aujourd’hui, le dossier est clos. Le conseil de police a en effet décidé de verser 250.000 euros à Philippe Lambert pour solde de tout compte et de le laisser prendre sa pension. Son dernier recours n’a donc plus lieu d’être…

    Mais pour Fabrice Discry, « cet arrangement financier est préjudiciable à la sécurité tant des policiers que des citoyens. Cette zone de police rechigne sur de petites dépenses en faveur des policiers, revient sur des acquis statutaires, ne sait pas compléter le cadre des inspecteurs, tout ça par manque de moyens financiers nous dit-on, mais sait trouver 250.000 euros… Que le politique assume alors! Que le conseil de police débloque une dotation spécifique complémentaire, mais qu’il n’aille pas puiser cet argent dans le budget de la zone… »

    Pas question en effet, assure le président SNPS d’encore faire des économies sur le dos du personnel pour financer ce pécule en faveur de Philippe Lambert.

    Nul doute dès lors que les responsables de la zone vont devoir s’expliquer dans les prochaines semaines sur cette procédure semble-t-il votée à l’unanimité, mais moins unanimement appréciée à l’extérieur du conseil de police.

  • Scandaleux: la police de la Basse-Meuse verse 250.000 euros au commissaire pour le faire taire et éviter de le nommer chef de zone

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                      La police de la Basse-Meuse verse 250.000 euros au commissaire pour le faire    taire et éviter de le nommer chef de zone.                  Photo Sophie Kip

    La zone de police de la Basse-Meuse va payer 250.000 euros au commissaire Philippe Lambert pour éviter de le nommer chef de zone. C’est le prix à payer pour qu’il cesse ses recours au Conseil d’Etat, tous en sa faveur jusqu’à présent. (Rédaction en ligne)

    La zone de police de la Basse-Meuse – qui regroupe les communes de Bassenge, Blegny, Dalhem, Juprelle, Oupeye et Visé – se prépare à débourser discrètement 250.000 euros pour en terminer avec une procédure de nomination de chef de zone qui dure depuis… 14 ans ! Objectif : se « débarrasser » de l’encombrant Philippe Lambert, candidat malheureux au poste tant convoité, qui n’a cessé depuis lors d’introduire des recours au Conseil d’Etat. Conseil d’Etat qui, à chaque fois, lui a donné raison. Et manifestement, ça a fini par agacer les responsables de la zone de police, qui ont décidé d’en finir une bonne fois pour toutes en mettant la main au portefeuille pour offrir une retraite dorée au candidat mécontent.

    Pour les observateurs avisés de cette véritable saga, l’étau se resserrait en effet autour de la zone de police, qui n’allait plus avoir d’autre choix que de nommer Philippe Lambert au poste de chef de corps de la police de la Basse-Meuse. Ce qu’ils tentent justement d’éviter à tout prix depuis près de 15 ans. Seule alternative dès lors : acheter son départ et l’assurance qu’il cesserait toute action devant le Conseil d’Etat, actuelle et à venir…

    > Notre dossier complet sur ce payement à lire dans nos éditions papiers et numériques de ce samedi.